Poulet basquaise
J'ai accueilli chez moi ce week-end un ami français, encore un me direz-vous, que je connaissais peu. Le week-end s'est admirablement passé et l'entente a été merveilleuse et délicieuse. Pour être tout à fait honnête, ce garçon a littéralement changé ma vie. Oh ! Je sais, on dit cela bien des fois et dès que l'on prend un peu de recul, ce genre de phrases s'avère être de pures chimères. Eh bien ici, non, je l'affirme haut et fort, le répète à l'envi, ce garçon a changé ma vie !
Mais comment donc ? En trois petits jours ? Non en bien moins de temps que cela, il lui a fallu moins de dix minutes pour tout bouleverser dans ma petite existence. Si c'est pas malheureux ! Il lui a suffi d'un mot, d'un regard et c'est toute ma vie qui a basculé.
Mise en situation - Récapitulatif des faits -
Lundi 9 janvier 2006, fin de journée, Bruges. Le soleil est couché et après avoir marché des heures durant, après avoir vagabondé, erré une journée entière dans la Venise du Nord, ce charmant jeune homme m'entraîne dans une succursale d'un géant suédois de la fripe. Essayant les accessoires le plus idiots, il eut cette phrase magique : "Ca te va vraiment bien !" (variante commune d'un certain "il vous sied à ravir" issu d'un film dont il a été fait mention ici précédemment). Phrase suivie immédiatement d'un formel "Je t'assure ! C'est vraiment fait pour toi !". Résultat des courses, depuis lundi soir, moi qui en avais toujours rêvé mais n'avais jamais osé, voilà que maintenant,... je porte le béret !
Mais comment donc ? En trois petits jours ? Non en bien moins de temps que cela, il lui a fallu moins de dix minutes pour tout bouleverser dans ma petite existence. Si c'est pas malheureux ! Il lui a suffi d'un mot, d'un regard et c'est toute ma vie qui a basculé.
Mise en situation - Récapitulatif des faits -
Lundi 9 janvier 2006, fin de journée, Bruges. Le soleil est couché et après avoir marché des heures durant, après avoir vagabondé, erré une journée entière dans la Venise du Nord, ce charmant jeune homme m'entraîne dans une succursale d'un géant suédois de la fripe. Essayant les accessoires le plus idiots, il eut cette phrase magique : "Ca te va vraiment bien !" (variante commune d'un certain "il vous sied à ravir" issu d'un film dont il a été fait mention ici précédemment). Phrase suivie immédiatement d'un formel "Je t'assure ! C'est vraiment fait pour toi !". Résultat des courses, depuis lundi soir, moi qui en avais toujours rêvé mais n'avais jamais osé, voilà que maintenant,... je porte le béret !
6 Partage(s):
vu d'ici tu le portes plutôt bien !!
(c'est là qu'on va dormir?)
et le charmant jeune homme est-il le destinataire de ton boulversant post "je sais qu'il m'en voudra" ?
(dgxbcewd en vérification de mot !!! faut vraiment que j'ai envie de laisser des commentaires moi !!!!)
Rire, effectivement il te faut du courage.
Merci en tout cas, c'est ce qu'on me dit depuis et que j'assume donc le port du couvre-chef.
Et pour répondre à tes deux questions: le canapé sur lequel je suis installé peut faire office de lit d'une personne, oui.
Et non, ce sont deux personnes bien différentes
il te va bien mais un sourire irait mieux!
biz
Que dire sur ce charmant couvre-chef ? It's so french...
What do you mean ? Do you think I could become a frenchie ? Oh ! Gosh ! ;o)
On aura beau dire, l'oeil du français est affûté. Tu es charmant aisni coiffé!
partageons...