19.1.06

tendre et douce enfance

Je connais les brumes claires
La neige rose des matins d'hiver
Je pourrais tout retrouver
Le lièvre blanc qu'on ne voit jamais

Mais l'oiseau, l'oiseau s'est envolé
Et moi jamais je ne le trouverai
Car j'ai vu, l'oiseau voler
J'ai vu l'oiseau, je sais qu'il partait
Je l'ai entendu pleurer
Le bel oiseau que le vent chassait

Je voudrais tout te donner
Mais toi pourquoi ne me dis tu rien
Quel est-il ton grand secret
Un secret d'homme
Je le comprends bien

Mais tu sais je peux te raconter
Combien l'oiseau est parti à regret
Si un jour tu m'écoutais
Tu apprendrais tout ce que je sais
L'oiseau part et puis revient
Tu le verras peut-être demain

Si jamais je rencontrais
Ce bel oiseau qui s'est envolé
S'il revient de son voyage
Tout près de toi le long du rivage

Moi vois-tu je lui raconterais
Combien pour toi je sais qu'il a compté
C'est l'oiseau que tu aimais
L'oiseau jaloux je l'ai deviné
Si jamais il revenait
Je lui dirais que tu l'attendais

(Mehdi El Glaoui, l'Oiseau, générique de Sébastien parmi les Hommes, Paroles Cécile Aubry, Musique Daniel White, Eric Demarsan, Philips)

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E. a dit...

mon dieu ! ça ne me rajeunit pas tout ça !!!! quel choc !

khoyot a dit...

N'est-ce pas ! c'était l'enfance de mon père et la chanson a passé sans vieillir (hummm) les générations ;o)