31.1.06

Fin de la trève

Sans doute devrais-je te présenter mes excuses pour mes paroles d'hier. Je n'ai pas eu,je n'ai pas pris le temps de t'expliquer le fond de mes pensées, j'ai jeté tout cela en pâtures et, face aux aléas de la technique, n'ai pu aller au-delà que les mots bruts. Sans doute, devrais-je, je ne le ferai pas. J'ai fait évacuer des idées par les mots, je les ai lancés, à toi la balle que tu ne saisiras pas. La nuit sans sommeil m'apporta le conseil en guise de réconfort.
Je ne veux pas que cela pèse entre nous, je crains que cela pèsera. Et bien soit, s'il faut que cela pèse, tant pis. Il est temps pour moi de cesser de geindre et de commencer, enfin, à vivre.
J'espère honnêtement, sincèrement, à très bientôt.
L.

0 Partage(s):