Avis de Recherche
Lorsqu'en son temps, j'ai découvert le blog de Rafaele, il y a quelques mois déjà, je me suis surpris, à la lecture à bondir face à la récurrence d'un prénom qui s'y trouvait. Ce prénom résonnait en moi d'un écho lourd. Mon premier amour, celui qu'on oublie pas. Le premier garçon pour lequel on pleure. J'ai lu Rafaele pleurant un inconnu portant ce doux prénom aux senteurs de mes vingt ans.
Et depuis, je pense. Je me rappele des émois de notre rencontre, du ridicule dont j'avais fait preuve pour lui tirer un regard, n'osant pas espérer un sourire. Depuis, sans nostalgie ni peine, je redécouvre les moments de partage que nous avons vécu, les instants de douceur et la douleur de la rupture. Je me souviens nos larmes et nos sourires.
C'était il y a plus de dix ans maintenant... Déjà... douze ans! Jeunes étudiants idiots et blafards, trop convaincus de nos valeurs, de nos cerveaux. Et depuis...
Je me demande où il est aujourd'hui, ce qu'il vit. Il est, il y a quelques années déjà, reparti dans son Ile-de-France natale pour rejoindre les siens et les vaines promesses ont fait place à l'absence et au silence.
J'aimerais te revoir, cher Romain, aussi purement et sincèrement que lorsque tu partis. J'aimerais bien des fois renouer avec toi de cette complicité si tendre et si chère qui nous unissait tant.
Si l'on sait où tu es, qu'on me le fasse savoir. Entendre rien qu'une fois encore la douceur de ta voix et relire à nouveau ton regard et tes vers.
Et depuis, je pense. Je me rappele des émois de notre rencontre, du ridicule dont j'avais fait preuve pour lui tirer un regard, n'osant pas espérer un sourire. Depuis, sans nostalgie ni peine, je redécouvre les moments de partage que nous avons vécu, les instants de douceur et la douleur de la rupture. Je me souviens nos larmes et nos sourires.
C'était il y a plus de dix ans maintenant... Déjà... douze ans! Jeunes étudiants idiots et blafards, trop convaincus de nos valeurs, de nos cerveaux. Et depuis...
Je me demande où il est aujourd'hui, ce qu'il vit. Il est, il y a quelques années déjà, reparti dans son Ile-de-France natale pour rejoindre les siens et les vaines promesses ont fait place à l'absence et au silence.
J'aimerais te revoir, cher Romain, aussi purement et sincèrement que lorsque tu partis. J'aimerais bien des fois renouer avec toi de cette complicité si tendre et si chère qui nous unissait tant.
Si l'on sait où tu es, qu'on me le fasse savoir. Entendre rien qu'une fois encore la douceur de ta voix et relire à nouveau ton regard et tes vers.
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Je ne sais si l'on peut utiliser l'adage selon lequel le premier amour est le dernier, en tout cas, tu en parles avec une douce mélancolie, ah si je connaissais ce Romain, je serai alors ton messager, mais ce n'est pas le cas...
Je ne crois pas en cet adage. J'ai aimé depuis, grandement même et j'espère aimer encore. Les amours sont à chaque fois premières, tant ils sont tous dissemblables bien que si proches. Je crois plutôt qu'on n'aime jamais deux fois de la même manière mais toujours avec la même intensité. De la même façon que pour moi, on ne cesse pas d'aimer, quand on aime, on aime toujours pour la vie.
Mais je sais juste qu'il est en France. Où? Je ne sais pas. Il a quitté Paris c'est tout ce que je sais. J'ai tenté une recherche sur le net sans rien de probant. :o( Mais je ne désespère pas, je crois qu'un jour j'entamerai des démarches, appellerai tous ceux qui portent son nom et qui sont répertoriés dans l'annuaire. Ou je ferai appel au canl de connaissances que nous avions en commun à l'époque. Il faut juste que la mélancolie fasse place à la force et je me bougerai...Mais je le retrouverai, je le sais! D'ici là, si tu croises un Romain, demande lui s'il est chimiste et s'il a étudié en Belgique, la probabilité de tomber sur le bon n'en sera que plus grande
Pour info, je travaille à l'ANPE, donc s'il est au chomage ou y a été, aucun problème pour retrouver qui que ce soit, lol !
Si un jour la mélancolie te passe...
Je suis entièrement d'accord avec toi sur l'adage, nos amours sont multiples, différentes, selon les personnes aimées, selon nos contextes d'alors, nos dispositions, les leçons de nos expériences passées...
Tu aimeras encore pour la première fois, et crèverons de croire que chaque amour, même s'il est le premier, sera nécessairement le dernier. Car, selon moi, oui, le désamour et les ruptures favorisent la croyance selon laquelle nous n'aimerons plus.
Et puis la peine et la douleur se dissipent.
Aimer n'est finalement qu'une suite de naissances et de deuils, c'est la vie.
Bref, va falloir que je me décide vite à naitre moi
Ah c'est vrai! Ton fichier est énorme!!! Comment n'y ai-je pensé plus tôt? :o) Tentant cette proposition. Mais je crains que, vu son nom de famille des plus courants, la recherche ne mène pas à grand chose. A tenter néanmoins...
J'ai déjà effectué des recherches en France, tu le sais. Le seul outil éfficace fut le minitel. Le nom de famille n'était pas courant, je te l'accorde. A essayer tout de même. Autrement, en cherchant un peu, il y a un moment, tout comme sur skynet, je suis tombé sur un annuaire sur le net, peut-être une autre piste mon Lo... Bizzz et bonne recherche...
partageons...