4.1.06

Aphorismes # 09

"Un homme qui n'aime pas l'Italie est toujours plus ou moins un barbare"


Félicien Marceau

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Anonyme a dit...

et quand on ne connait pas, qu'est-on ?

khoyot a dit...

On fait confiance à ceux qui aiment...

Anonyme a dit...

Je t'accorde donc toute ma confiance !

khoyot a dit...

Il est bien ce garçon :o) J'aime!

Alcib a dit...

J'aurais dû publier cette phrase avant que Félicien Marceau ne me la pique... C'est moi qui serais alors académicien ;o)
Il y a quelques années, quelques jours après être revenu d'un séjour à Paris où je laissais quelqu'un de très prometteur, j'ai rencontré à Montréal un garçon qui avait déjà tout pour me plaire. Beau, élégant, aux manières impeccables, K. était étudiant en histoire de l'art ; élevé à Toronto dans une famille anglophone, il n'en avait pas moins bien appris le français et quelques autres langues. Je crois toutefois que ce qui m'a le mieux séduit, c'est qu'il ait aussi appris l'italien... J'ai toujours cru que si quelqu'un se donnait la peine d'apprendre une langue « inutile » comme l'italien, il était immédiatement digne d'intérêt ; et si en plus il avait un peu de culture et de raffinement (ce qui me semble aller de soi quand on apprend l'italien), il avait tout pour plaire

Anonyme a dit...

J'aime bien moi les barbares..

Alcib a dit...

Petits voyous, délinquants légers, je veux bien, mais barbares, je ne crois pas que ça m'intéresserait vraiment ; j'ai trop identifié la barbarie à ce qui ne respecte rien de ce que j'aime... Avec le voyou, le délinquant, il y a des complicités possibles ; avec le barbare, je ne vois pas