31.1.06

Découverte

Je sais, je retarde de 18 guerres mais je n'ai découvert ça que... cette nuit ! Et, honnêtement, j'adhère entièrement !!!! 8 épisodes en une nuit, je sais, c'est excessif... Maintenant, juste un peu de frustration, je ne désire qu'une chose : voir la suite, et vite !!!!!

Fin de la trève

Sans doute devrais-je te présenter mes excuses pour mes paroles d'hier. Je n'ai pas eu,je n'ai pas pris le temps de t'expliquer le fond de mes pensées, j'ai jeté tout cela en pâtures et, face aux aléas de la technique, n'ai pu aller au-delà que les mots bruts. Sans doute, devrais-je, je ne le ferai pas. J'ai fait évacuer des idées par les mots, je les ai lancés, à toi la balle que tu ne saisiras pas. La nuit sans sommeil m'apporta le conseil en guise de réconfort.
Je ne veux pas que cela pèse entre nous, je crains que cela pèsera. Et bien soit, s'il faut que cela pèse, tant pis. Il est temps pour moi de cesser de geindre et de commencer, enfin, à vivre.
J'espère honnêtement, sincèrement, à très bientôt.
L.

If I need to be one of them

I'd be Teri Hatcher . But I'm not...

Trouver le repos

Nuit d'insomnie. Tout se bouscule. Trop. Trop de choses, trop de ressenti. Pas assez de vécu. Tout, là, dedans, caboche de bois ! Sensibilité trop grande, à fleur de peau, fragilisation, je reste là plaies béantes. Mais à quoi bon ? Ronger les sangs, suer ses eaux, se lézarder, s'arracher les tripes. Mais pourquoi donc ?
Respire... des choses simples, franches, honnêtes, rien d'autre.
Je m'enfonce le poignard au creux de l'estomac et remonte tout doucement, transperce le poumon, tu ne trouveras pas le coeur. Le coeur s'est raidi déjà. Fermer le coeur et avancer.
Nuit d'insomnie, je te hais !

30.1.06

Animalerie

Suite à l'article d'Eltan sur l'animal que nous étions avant, j'ai refait le test, par acquit de conscience et.... cette fois, le résultat est on ne peut plus surprenant....

You Were a Coyote

Brutally honest, you encourage people to show their true selves.
You laugh at life - none of it can be taken too seriously.

Grace à Alcib

Vous le savez, dès que vous mettez un lien vers un test sur votre blog, il faut que je fonce tête baissée pour le faire !
Cette fois, c'est au tour d'Alcib, rapace royal, d'en proposer un. Grâce à ce test, on ne peut plus rapide (il suffit d'encoder sa date de naissance), j'ai appris qu'auparavant, j'étais...

You Were a Horse

You can't be fenced in - you long to run free.
You are good at overcoming obstacles and realizing your potential.
What Animal Were You In a Past Life?

Ben oui ! Un cheval ! Bon, mon côté orgueilleux (si si David, j'en ai un très développé même) me poussera à croire qu'il s'agit d'un fier destrier, pur sang arabe et tout et tout... Mais mon côté lucide constate qu'en bon brabançon, j'aurais plutôt un large côté... cheval de trait... bah ! c'est déjà pas si mal...

29.1.06

Nous ne vieillirons pas ensemble.
Voici le jour
En trop : le temps déborde.
Mon amour si léger prend le poids d'un supplice.


Paul Eluard, Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six, 1946

Question # 59

A quoi bon ?

Il y a des mots # 03

J'avais prévenu, il y a récurrence dans mes réveils verbeux...

Mot du jour : pis-aller

pis-aller : nom masculin (invariable) . Solution à laquelle on a recours faute de mieux.


But du jeu : placer ce terme dans l'un de vos posts du jour...
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Mise à jour :
Ont participé cette fois, merci à eux :
Bleu , Alexandre, Timy

Donc trop facile cette fois ? Attendez le suivant ;o))

onirisme

Plus que deux jours, enfin trois si l'on compte aujourd'hui ! Plus que trois jours et je reprendrai le chemin du boulot. Plus que trois jours et, inévitablement, se réinstallera une routine quotidienne. Etrange comme, au fond de moi, j'angoisse, j'appréhende malgré tout ce retour à la vie active qui ne devrait, pourtant, pas être si brutale. Voilà un mois que j'ai pu me faire à cette idée, un mois que je sais où je vais, dans quel endroit, dans quelle ambiance je vais tomber. Aurais-je trouvé tant de satisfaction dans ma vie d'oisif que pour craindre à ce point une remise au travail ? Allons ! Au contraire ! J'en suis plutôt content car, après trois mois, il est temps de se redégourdir les jambes, de revoir du monde, de connaître la raison de son réveil. J'admets que, par moments, j'avais un peu envie de me cogner la tête aux murs ici. L'expérience m'a au moins appris cela, je ne suis pas fait pour végéter; je n'en ai guère eu l'habitude et me trouve assez rapidement indisposé par la siuation. Oh ! bien sûr, il faudrait sans doute rééditer l'expérience avec beaucoup plus de moyens, avec un portefeuille des plus garnis, je crois que je tiendrais un an au moins, je pourrais planifier des voyages, partir faire des découvertes un peu partout, visiter ou revisiter ces contrées qui me font rêver. Mais après cela ? Je ne crois pas que je tiendrais le coup, toute une vie de rentier durant. Ici, le premier mois a été des plus profitables, j'ai retrouvé mon sommeil, ô combien précieux, pris tout le repos qui me manquait depuis si longtemps. J'ai vidé tout mon stress, ma fatigue de ce boulot usant, éreintant qui me pompait énergie, vie et nerfs. Plus le temps passe et plus je sais que j'ai fait le bon choix. Pas simplement au niveau horaires, ceux que m'imposaient mon ancien patron frôlaient l'esclavagisme (plus de cinquante-cinq heures hebdomadaires en moyenne pour un salaire proche de ce que je pouvais espérer en allocations de chômage); mais il m'usait à l'intérieur, me rendait acariâtre, asocial et profondément malheureux. Le soulagement n'en fut donc que plus intense.
D'ici peu, il va falloir que je m'habitue à croiser de nouvelles têtes, que je m'adapte à de nouveaux systèmes de fonctionnements, que je m'intègre dans une nouvelle équipe, que j'apprenne un nouveau boulot dans un domaine qui m'est, encore une fois, entièrement inconnu. Comme à chaque changement, je m'interroge sur mes capacités à apprendre de nouvelles choses dans des domaines à ce point différents. Ma carrière n'a jamais été et ne sera visiblement jamais linéaire. Ai-je encore maintenant les mêmes facultés d'adaptation qu'il y a cinq ans ? J'ai la prétention de le croire et ose grandement l'espérer. Peutêtre, au fond, serait-il temps que je me pose et que j'apprenne à voir les choses sur le long terme. Mais là encore, je crois qu'au fond de moi, je m'y refuse tant je continue de rêver à d'autres horizons. Je crois bien que le temps approche et que mes projets mûrissent de plus en plus en moi. Partir avant qu'il ne soit trop tard, partir et aboutir. Le rêve ultime, le rêve d'enfant. Celui que l'on désire et qui revient, inlassablement. Celui que l'on craint plus que tout tant on sait qu'on ne se relèvera point d'un échec malheureux. Celui qui, malgré tout, reste le moteur d'une vie. Partir... bientôt... peut-être.

histoire d'yeux

Le vin sait revêtir le plus sordide bouge
D'un luxe miraculeux,
Et fait surgir plus d'un portique fabuleux
Dans l'or de sa vapeur rouge,
Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux.
L'opium agrandit ce qui n'a pas de bornes,
Allonge l'illimité,
Approfondit le temps, creuse la volupté,
Et de plaisirs noirs et mornes
Remplit l'âme au delà de sa capacité.
Tout cela ne vaut pas le poison qui découle
De tes yeux, de tes yeux verts,
Lacs où mon âme tremble et se voit à l'envers...
Mes songes viennent en foule
Pour se désaltérer à ces gouffres amers.
Tout cela ne vaut pas le terrible prodige
De ta salive qui mord,
Qui plonge dans l'oubli mon âme sans remords,
Et charriant le vertige,
La roule défaillante aux rives de la mort!
(Charles Baudelaire, "Le Poison", in Les Fleurs du Mal, 1861)

Apprends à me connaître

Che ne sai di un bambino che rubava
e soltanto nel buio giocava
e del sole che trafigge i solai che ne sai
e di un mondo tutto chiuso in una via
e di un cinema di periferia
che ne sai della nostra ferrovia che ne sai
Conosci me la mia lealtà
tu sai che oggi morirei per onestà
Conosci me il nome mio
tu sola sai se è vero o no che credo in Dio
Che ne sai tu di un campo di grano
poesia di un amore profano
la paura di esser preso per mano che ne sai
L'amore mio
che ne sai di un ragazzo perbene
è roccia ormai
che mostrava tutte quante le sue pene
e sfida il tempo
la mia sincerità per rubare la sua verginità
e sfida il tempo
e tu lo sai
sì, tu lo sai (che ne sai)
Davanti a me c'è un'altra vita
la nostra è già finita
e nuove notti e nuovi giorni
cara vai o torni con me
Davanti a te ci sono io
dammi forza o mio Dio
o un altro uomo
chiedo adesso perdono
e nuove notti (e nuove notti)
e nuovi giorni (e nuovi giorni)
cara - non odiarmi se puoi
Conosci me
che ne sai di un viaggio in Inghilterra
quel che direi
che ne sai di un amore israelita
perchè negli altri
(di due occhi sbarrati che mi han detto bugiardo è finita)
ritrovassi gli occhi miei
Che ne sai di un ragazzo che ti amava
che parlava e niente sapeva
eppur quel che diceva chissà perchè chissà
sì tu lo sai (adesso è verità)
Davanti a me c'è un'altra vita
la nostra è già finita
e nuove notti e nuovi giorni
cara vai o torni con me
Davanti a te ci sono io
dammi forza o mio Dio
o un altro uomo
chiedo adesso perdono
e nuove notti (e nuove notti)
e nuovi giorni (e nuovi giorni)
cara - non odiarmi se puoi


(Lucio Battisti, Pensieri e Parole, 1971)

28.1.06

Merci J.

Te connaître toi, c'est connaître la signification profonde du terme "amitié"

Question # 58

Pourra-t-on être si l'on n'a pas été ?

Bon ça va, je sors !

C'est la St Thomas (d'Aquin) aujourd'hui ! Qui l'eût cru ?






Bonne fête, Thomas ! ;o)

Humeur # 75

il n'aura fallu qu'un sms pour que ma (courte) nuit soit la plus belle...

Je pensais ne rien en dire

(© Getty Image)
Mais, après tout, non je ne le tairai pas. Amélie Mauresmo a remporté son premier titre du Grand Chelem cette nuit en battant Justine Hénin-Hardenne 6-1 2-0 (abandon). Dommage que le sacre d'Amélie ait été gâché par l'abandon de la Belge tant on sentait que la Française était entrée facilement dans la partie, nous offrant un tennis presque parfait. Elle a mérité son titre tant son adversaire du jour, qui peut invoquer tous les problèmes gastriques qu'elle veut, était incapable de trouver des solutions face à la domination de Mauresmo...

Ne gardons que cela en tête : Mauresmo a remporté l'Australian Open

27.1.06

Entendu en rue...

Je vous prie d'emblée d'excuser la teneur des propos qui vont suivre, j'ai hésité un peu avant de les publier mais, deux jours après, ça me fait toujours rire...

Petite altercation en rue entre Monsieur qui croise Madame qui revient d'une séance shopping "profitons des soldes" :

  • Monsieur : Oh p'tain ! T'es ch*****, déjà que j'ai plus un balle pour me torcher le c** !
  • Madame : T'as qu'à essayer de te laver !


Imparable !

27 janvier

Journée Internationale du Souvenir

Ephémérides # 31 (pour Manu)

Bon Anniversaire, Wolfgang !

Mouais bof...

"Plaie d'argent n'est pas mortelle"


Bah non, tant qu'il reste des boîtes pour le chat...

Soutien à Garfieldd


Surtout ne pas lâcher la pression tant que Gilles de Robien n'aura pas rendu sa décision...

Constat charmant

Il a la voix plus douce que le trait, c'est vous dire...

26.1.06

Pensée

"Le con n'est jamais celui qui aime, c'est celui qui n'aime plus ou n'a jamais aimé"

(fp, 05.12.2005)

Euh... ?

C'est de l'info ça ?

A la lecture d'un mail...

Je ne te dirai pas 'Ne fais pas ça !'; je ne te dirai pas 'Non t'en va pas !'. Je comprends tes raisons, à savoir si je les approuve, je n'ai pas à en discuter.
Sache simplement que j'aime te lire, j'aime ta pertinence, ton incision, ton humour décalé parfois, mais aussi ta justesse de ton ! La récurrence m'importe peu, tu restes maître, seul maître d'ailleurs.
Juste un salut mais pas d'adieux. Reviens quand tu veux. Je sais une chose, c'est que la rencontre prochaine, programmée, m'enchante et caresse joliment toute mon impatience...

Bonnes vacances !

Le petit canard est mort !

Tu l'as tué...
Je n'irai plus m'asseoir auprès de son lac, tu l'as enseveli. Je n'irai plus flâner par là où je me posais parfois, souvent encore, pour y relire Aragon ou y réécouter Saez. Il était le témoin, notre jardin à nous. J'en avais seul la clé, tu en restais propriétaire. Il a tout emporté avec lui, sous les décombres d'une histoire qui se pouvait belle. Sheller et Zazie l'ont suivi, je ne les entendrai plus, ne pourrai plus les lire.
Le petit canard est mort, comme notre idylle du reste. Le regret n'est que là, j'ai ma mémoire et ma conscience pour moi.

Question # 57

Pourquoi ?

le goût de ta salive, comme une madeleine

Ce test auquel j'ai participé hier soir m'a légèrement perturbé. J'y ai repensé tout au long de la nuit. Oh ! non, pas comme ça ! Qu'alliez-vous donc imaginer ? Du tout ! J'ai repensé cette nuit à mes amants d'autrefois (enfin... d'autrefois, je suis pas encore totalement hors service non plus). Pas à tous, certes, non qu'ils furent à ce point nombreux, mais à tous ceux qui ont un peu compté dans ma vie. Et, je suis bien obligé de l'admettre, je me suis souvenu de (tous) nos moments intimes.

Oui, vous que j'ai aimés, vous qui avez croisé ma route même un peu, j'ai revu vos yeux, j'ai entendu à nouveau votre souffle haletant, j'ai ressenti votre haleine, j'ai revu vibrer vos corps lorsque je vous touchais. Je t'ai entendu toi me redire à bout de souffle 'Oh ! Laurent !' au creux de l'oreille, j'ai revu tes yeux révulsés au moment fatidique, j'ai savouré à nouveau au goût de ta peau aux senteurs boisées, j'ai revu ta peau de poule et revécu tes tressaillements sous mes caresses.
J'ai ressenti tes mains sur mon corps, j'ai senti ta langue sur mon sein, humé tes embruns et chaviré à nouveau en imaginant tes lèvres parcourir mon torse et le reste.

J'ai été épuisé à nouveau comme après la délivrance, en repensant à toi, j'ai souri du bonheur éprouvé par la complicité de deux corps qui s'abandonnaient entièrement ! Pour certains d'entre vous, le souvenir me comble et la crainte d'une expérience dont l'intensité en serait amoindrie me fait hésiter un peu; mais pour d'autres, j'ai des envies d'encore, et encore, et encore ! J'en voudrais encore de ces 'Oh! Oui !", de toutes ces onomatopées compulsives, convulsives, de ces regards épris, empreints de désir et de satisfaction partagées.

Le corps et sa mémoire

Jamais je ne m'étais senti aussi désiré par quelqu'un que je désirais tant...


l'étincelle avait dessiné son corps pour mes lèvres et mes mains

Humeur # 74

Le sourire aux coins des lèvres ne s'estompe pas

Question # 56

S'il ne me répond pas, c'est parce qu'il travaille ou parce que c'était à moi qu'il s'adressait ?

Australian Open

A défaut de finale 100 % belge, nous aurons droit à une finale 100% francophone.

Amélie Mauresmo s'est qualifiée pour la finale suite à l'abandon sur blessure de Kim Clijsters ! Attention, Timy, je ne retire aucun mérite à Mauresmo car le match était de bonne qualité. De longs rallyes de fond de court, un premier set intense ! Bref du bon... et du moins bon ! Des points gagnants époustouflants de part et d'autre avec, sans chauvinisme, un léger avantage pour la Belge qui a pratiquement disparu dans le deuxième set. Dommage qu'elle se soit blessée au moment où elle semblait revenir dans la partie car l'issue du match était totalement incertaine et cette demi-finale aurait encore pu nous montrer de très beaux coups... Je me dis juste : Pourvu que Kim soit rétablie pour le tournoi d'Anvers le 13 février ! Et là, elle aura sa revanche sur Mauresmo qui ne parviendra pas à défendre son titre ;o) (oui là c'est du chauvinisme, quoique, non c'est juste que je suis un peu fan de Kimmeke...)

NB: Si j'étais totalement mauvaise langue, je dirais qu'il a quand même fallu 2 abandons pour que Mauresmo arrive en finale mais comme je ne le suis pas...

1ères infos tennistiques du jour

Vers une finale dame 100 % belge à l'Australian Open ?

J. Henin-Hardenne d. M. Sharapova 4-6 6-1 6-4

La réponse d'ici une heure... ou deux :o)

25.1.06

C'est bon pour l'ego...

Taux d'obsession sexuelle : 65.4 %

Pour toi, le sexe est important mais tu sais fixer certaines
limites. Tu y penses tout le temps (et c’est normal) mais tu ne mets pas tous
tes fantasmes à exécution (et c’est sain). Tu le pratiques régulièrement et tu
ne t’embarrasses pas de complexes inutiles. Bien dans ta peau, tu es conscient
de tes atouts et veux mordre la vie à pleine dents. Pour la plupart des garçons,
tu as le profil de l’amant idéal…





Ah j'aime ces tests qui me parlent...

Ah ! La Poste !

  • Lui : Monsieur khoyot ?
  • Moi : Oui ?
  • Lui : bonjour, je vous appelle à propos de l'e-mail que vous venez de m'envoyer où vous vous montrez énervé.
  • Moi : Ah ! Oui, je vous écoute !
  • Lui : J'ai fait mon enquête, j'ai eu la réponse ce matin ! Sachez d'abord que si le recommandé ne vous est pas parvenu, c'est parce que votre boîte aux lettres n'est pas réglementaire ! Alors...
  • Moi : Pas réglementaire ????
  • Lui : Oui ! Les boîtes aux lettres doivent être numérotées dès qu'il y en a plus de 5 dans un immeuble !!!!
  • Moi : Ah ? Mais il n'y en a que 4 !
  • Lui : Non ! 5 !
  • Moi : Vous êtes passé voir ?
  • Lui : Non monsieur, je ne me déplace pas sur le terrain !
  • Moi : Je vous envoie la photo de ma porte d'entrée par mail si vous voulez...
  • Lui : (...) euh .. enfin l'enquête le montrera
  • Moi : Mais ça ne résoud pas mon problème
  • Lui : Oui vous allez encore m'en vouloir
  • Moi : Pas à vous personnellement mais à l'incompétence généralisée des services de la Poste, oui !
  • Lui : Vous voyez
  • Moi : Bon ! Concrètement ? Où est ce recommandé ?
  • Lui : Vous osez dire que c'est la 3è fois que vous le réclamez
  • Moi : C'est vrai je me suis trompé, une fois au bureau de poste et trois mails, ça fait quatre fois, excusez-moi.
  • Lui : Mais nous faisons notre travail, Monsieur
  • Moi : La distribution du courrier n'en fait pas partie ?
  • Lui : (...)
  • Moi : Bon ? Quand recevrais-je ce recommandé ?
  • Lui : Vous pouvez demander un repassage
  • Moi : Je vous ai indiqué que je l'avais demandé et, le jour prévu, personne ne s'est présenté
  • Lui : Quand ?
  • Moi : La demande a été postée le 14
  • Lui : Où ?
  • Moi : Dans la boîte attenante au bureau de poste, rue du B...
  • Lui : Le bureau est chée de B...
  • Moi : l'immeuble fait le coin et la boîte est rue du B...
  • Lui : Ah ? Ils ne l'ont jamais reçue ...
  • Moi : Et ? Et mon recommandé ???
  • Lui : Ben je vous invite à venir voir comment ça se passe et le boulot qu'on a
  • Moi : Ca justifie l'incompétence ?
  • Lui : Mais... ??!!?? Mais enfin, je ne comprends pas pourquoi c'est chez moi que vous vous plaignez
  • Moi : Ce n'est pas le service de réclamations de la Poste ?
  • Lui : Si ! Justement !
  • Moi : ... ??!!??(Il m'a eu là !!!) Alors ? Je suis donc au bon endroit ! Bon ! On ne va pas y passer l'après-midi, recontactez-moi demain avec une solution
  • Lui : On verra
  • Moi : Demain, 14 heures, j'envoie un mail à l'Ombudsman
  • Lui : On vous rappelle demain matin sans faute !!!
  • Moi : Bonne journée

Ma patience a des limites !

Jouons à "Skyblog"

Elle, c ma tas de kfé du matin ! c une cops trop cool, trop bien ! on stap des délires 2 ouf à2 ! faut la voir com elle est trop super j'l'adooooooooor trop d'la balle!!!


!!!!LACHEZ VOS COM!!!!!!!!!!!

Kim n°1 mondial !

(photo AFP)

Kim Clijsters d. Martina Hingis 6-3 2-6 6-4
(Australian Open, 1/4 finale)

Pour Timy : Mauresmo pouvait espérer redevenir n°1 si elle gagnait le tournoi et si Clijsters ne dépassait pas le stade des 1/4 de finale. Son accession aux 1/2 deminales, offre le trône à Kim ! Beau match, pas un grand match mais beau match malgré tout. Parfois un peu décousu, mais une chose est sûre, il va falloir recompter avec Hingis !

Humeur # 73

J'avance, à mon rythme, certes, mais j'avance !

Mémo

Maintenant que j'ai viré tous mes vieux journaux, il faut vraiment que j'achète un arbre à chat si je veux sauvegarder mes meubles...

24.1.06

Réflexion légère sur moi-même... ou les autres

Avoir le courage d'aimer, c'est se donner la force de continuer de rêver.

le souvenir de


Parfois, le souvenir de nous me donne le vague à l'âme
Parfois, le souvenir de nous me fait trembler d'émoi
Parfois, le souvenir d'un nous révolu par mes soins me fait sourire d'amour
Parfois, le souvenir d'un nous me fait pleurer encore
Parfois, le souvenir de nous me fait me tordre de remords
Toujours, le souvenir de toi me fait vibrer de joie

Toujours, le souvenir de toi...

Si ça marche pour les mots...

J'ai une chanson idiote en tête depuis le lever !!! Aaaarghhh!!! L'enfer ! Car évidemment c'est plus proche du 'Petit vin blanc' que de l'Ave Maria de Gounod ! C'est sournois ces saletés de chansons populaires à trois balles, ça vous rentre dans le crâne et ça vous tient la journée... Bon allez cadeau pour vous, histoire de pas être seul à chantonner :
A far l’amore comincia tu
a far l’amore comincia tu

Se lui ti porta su un letto vuoto
il vuoto daglielo indietro a lui
fagli vedere che non è un gioco
fagli capire quello che vuoi

A far l’amore comincia tu
a far l’amore comincia tu

E se si attacca col sentimento
portalo in fondo ad un cielo blu
le sue paure di quel momento
le fai scoppiare soltanto tu

Scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Liebe liebe liebe lei
è un disastro se te ne vai
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

A far l’amore comincia tu
a far l’amore comincia tu

Scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Liebe liebe liebe lei
è un disastro se te ne vai
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

A far l’amore comincia tu
a far l’amore comincia tu

Scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Liebe liebe liebe lei
è un disastro se te ne vai
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Liebe liebe liebe lei
è un disastro se te ne vai
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

Liebe liebe liebe lei
è un disastro se te ne vai
scoppia scoppia mi sco
scoppia scoppia mi scoppia il cuor

(Raffaella Carrà, A far l'amore commincia tu, album Forte Forte Forte, 1976)

Kim n° 1 mondial ?

Probable ...

J. Henin-Hardenne d. L. Davenport 2-6 6-2 6-3
(Australian Open, 1/4 Finale)

23.1.06

Supputations

Si lon me prédit un mardi particulièrement chanceux, je courrai donc faire valider mon bulletin... Mais on ne me prédit qu'un vendredi moyen, voire piètre. Cela annihilera-t-il mes chances ?
Quand donc faut-il considérer le jour de chance ? Le jour où l'on mise ? Ou le jour du tirage ?

Corpus Christi

N'attendez pas de moi que j'attise vos désirs ou qu'au contraire je limite vos élans.
N'attendez pas de moi que je vous livre plus, je ne saurais donner moins
A l'heure où mon coeur aux yeux de tous se dérobe, mon corps seul est à prendre.
L'illusion sincère d'une flamme illuminera mon oeil.
Prenez, prenez ! Prenez donc tout ce que je ne vous donne pas !

Cheville droite


Australian Open : 75 % de n° 1

6 des 8 joueuses encore en lice dans le tableau du simple dames de l'Australian open (1/4 de finale) sont ou ont été n° 1 mondial.

Les Quarts de finale dames :
Lindsay Davenport (USA - WTA 1/TS 1) - Justine Henin-Hardenne (BEL - WTA 6/TS 8)
Maria Sharapova (RUS - WTA 4/TS 4) - Nadia Petrova (RUS -WTA 7/TS 6)
Patty Schnyder (SUI - WTA 8/TS 7) - Amélie Mauresmo (FRA - WTA 3/TS 3)
Martina Hingis (SUI -WTA 349) - Kim Clijsters (BEL -WTA 2/TS 2)

Chose cetaine : une présence russe en 1/2 Avec des "si" : si Justine Henin-Hardenne bat Lindsay Davenport, elle offre alors la place de n°1 à... Kim Clijsters (elles qui se détestent ;o))

Fantaisie et amusement d'un rien

Je m'amuse à imaginer certains d'entre vous à cliquer systématiquement sur tous les points de suspension que je pourrais laisser maintenant. Juste au cas où ...

Ca m'amuse ! C'est idiot, mais j'en ris tout seul ...

22.1.06

1ère candi Histoire, quand le regard d'autrui est salvateur

En ce temps-là, je m'étais enfoncé dans les tréfonds de la déprime, la nourriture était devenue ma seule amie. Ma journée était un repas, le ventre rythmait ma vie et compensait toutes mes frustrations. Je brillais par ma bêtise, me remarquais par mon incapacité à prendre soin de moi, je ne méritais nul respect, nulle considération. J'étais devenu une ombre livide, une ombre lourde aux trois chiffres avant la virgule sur la balance. Laurent n'existait pas, il était voué aux échecs et aux sandwiches. Tout me fuyait, moi le premier d'ailleurs. J'étais incapable d'aimer, incapable de m'aimer.
Pourtant, j'avais des amis, des proches, des vrais, de ceux qui sont encore là aujourd'hui, de ceux qui vous sauvent la vie. Je ne les voyais pas, je ne voyais rien. Je me goinfrais et gonflais à ne plus pouvoir passer les portes. Je ne conscientisais pas ma chute, n'entendais pas les appels amis, ne voyais pas les mains tendues. Jusqu'au jour où... Il n'aura fallu qu'un cliché, qu'une photo ! Me voir enfin avec tout le recul nécessaire. Réaliser ! Réaliser pour enfin me prendre en main. Longue et lente fut la chute, longue fut la reprise en main. Vingt longs mois de descente aux enfers, vingt mois d'abstinence complète, d'effacement de soi, vingt mois à se perdre.
Lorsque je pris conscience de ce que j'étais devenu, de qui je n'étais plus, le choc fut rude... mais salutaire ! J'ai commencé à réfléchir, enfin, à voir plus loin. Je me suis accroché à un espoir, le seul qui me semblait sensé. Je me suis interrogé. Cela faisait presque deux ans que je me détruisais à feu doux, deux ans que je me dépréciais, me dénigrais et, soudainement, une question m'envahit, prit toute la place, ne me lâchait plus. Elle tournait, tournait, me faisait vaciller. Pourquoi m'aiment-ils ? Pourquoi ces gens que j'aime profondément, que j'estime, pourquoi eux, ces dignes, ces nobles, ces bons s'attachent-ils à moi ? Pourquoi m'aiment-ils ? Cela signifiait-il que, malgré tout, j'étais resté aimable ? Si eux, ces êtres de valeur, avaient décidé de continuer de m'aimer, comment se pouvait-il que je ne puisse voir ce qu'il y avait de bon, de bien au plus profond de moi ? Ils ne pouvaient tous se fourvoyer en même temps, c'était improbable, d'autant que je n'avais pas l'habitude de jouer un jeu face à eux, non pas face à eux !
Leur regard m'a sauvé, sans le savoir, sans qu'ils s'en rendent compte. J'ai, grâce à eux, regagné confiance et estime de soi. Qu'il fut âpre le chemin de la reconquête de soi, qu'elle fut ardue la route qui mène à la connaissance et à l'acceptation de soi. Voici presque douze ans que cette reconquête a commencé, elle n'est pas encore achevée, ne le sera probablement jamais. Mais le regard des autres, sans complaisance, m'a appris à, régulièrement, me remettre en question et à abolir le principe, trop cher au scorpion que je suis, de la destruction gratuite. Depuis, je continue d'avancer avec une foi, jamais démentie, en l'avenir.

Question # 55

Vivre avec, dans ou par le regard d'autrui ?

Chandeleur

J'ai fait des crêpes ! J'ai fait des crêpes ! Je m'entraîne et je joue au 2 février...

Sofia se lèche les babines, moi j'apprécie modérément... elles sont bonnes pourtant mais pourquoi m'amuser à faire des crêpes alors que je n'en suis guère friand ...

Cherchez pas à comprendre, moi j'ai renconcé y a longtemps ;o)

Question # 55

Pourquoi n'a-t-on pas encore eu l'idée d'inventer un lave-linge capable de rassembler les chaussettes par paire ?



(Ou pourquoi toutes mes chaussettes sont-elles noires ou bleues marine ?)

Ephémérides # 30

Bon Anniversaire, Chacha !

Gatto

Lors d'une séance câlins, le chat ronronne.
Lors d'une séance câlins, le chat se tourne au sol, offrant son poitrail aux caresses.
Lors d'une séance câlins, le chat se dodeline, se dandine, soumis.

Ce soir, j'irai en ville jouer au chat. Serai-je le chat ou resterai-je la main ?

Question # 54

Pourquoi faut-il que je vous aime tant ?

Souvenirs

La douceur de la plume glissant sur le Velin

Vénalité

A en croire Alexandre, si je vendais mes (très rares) passages sur MSN, je serais plus riche qu'en empochant la cagnotte de l'Euromillions ! Des amateurs ?

21.1.06

Après l'effort...

Ah ! Qu'elle était douce cette sortie de douche ! Une journée à se taper les corvées me confirme que je ne suis pas et ne serai jamais une fée du logis. Seule la cuisine m'amuse, et encore ...

Ah ! Qu'elle était gaie cette sortie de douche ! Epuisé par ces efforts abscons, lassé par tant d'ennui, j'ai vu ton nom, ton sourire, ta frimousse apparaître à l'écran !

Ah ! Que je les aime nos échanges ! Même brefs, même longs ! Dieu que je les aime !!! Tu repars au turbin, courage et repense à tous nos éclats de rire, voilà qui égayera ta soirée et ton laborieux sabbat... Ah ! Dieu que c'était bon de t'entendre rire ! Dieu que j'ai aimé !!!

Alors, c'est décidé, ce soir, je sors ! ma récompense pour cette journée d'efforts... Julie, Paulette, Michele, tous les autres, on va se torcher où ce soir ???

Résolution !!

il va vraiment falloir que je me défasse de cette sale habitude de tout conserver (tic d'historien ?) au titre que cela puisse servir un jour !!! Je ne suis ni la Bibliothèque Royale, ni les Archives Générales du Royaume quand même !!!!

Découverte musicale (?)

Il y a quelques temps, j'avais reçu de l'un de mes amis le dernier (si seulement !) album de Grégory Lemarchal (no comment please !). Et, je crois, n'avais encore guère pris la peine de l'écouter. Je ne connaissais que cette première chanson qui est passée, en son temps, en boucle sur les ondes et cela me faisait penser à de l'easy listening très bon marché mais pas désagréable.

Ce matin, je me suis donc dit, journée foutue pour journée foutue, écoutons donc cet album ! Hé bien croyez-moi si vous le voulez mais cet album est parfaitement écoutable quand vous avez le bruit de l'aspirateur en puissance maximale ! A conseiller donc !

Aujourd'hui, c'est samedi !

Et un programme passionnant m'attend... :

Mais quel merveilleux samedi en perspective n'est-ce pas ?

Trouvé sur le web

Trouvé cela sur le site des Hauts-Maux. C'est le genre d'humour qui donne à mon faciès un large sourire pour un petit temps ;o)

Le titre du post est "Le Jeu des 7 différences"


Ne pas crier victoire !

Le Ministre de l'Education Nationale français, Gilles de Robien, a fait savoir, par voie de presse qu'il reviendrait sur la décision de révocation du proviseur du Lycée de Mende (Lozère) et qu'il "arrêtera une décision mieux proportionnée à la faute commise par ce fonctionnaire " (lire le communiqué du 20.01.2006) (info relayée par TF1.fr)

Avant de crier victoire et de danser sous les lampions, attendons de voir quelle sanction décidera de prendre le Ministre. Ceteris Paribus nous dresse l'éventail des sanctions qui peuvent être infligées à un fonctionnaire français en fonction de leur gravité. Voyons ce qu'il adviendra de Garfieldd...

Kim Clijsters

Plus elle souffre du dos, plus ses victoires sont expéditives


(K.Clijsters d. R. Vinci 6-1, 6-2 - Australian Open 3d round)

Bonne nouvelle !!

C'est le Printemps !!!!



Non ! khoyot, le 21 MARS seulement !!!

Rabat-joie !!!

20.1.06

Cher Rafaele,

Par bonté d'âme, par générosité extrême, par la gentillesse, la douceur et l'abnégation qui me caractérisent, j'ai décidé de te laisser gagner la grosse cagnotte de l'Euromillions ce soir et ne revendique plus, dès lors, la paternité des 125 millions mis en jeu.

Puisse donc cet argent faire ton bonheur et puisses-tu te souvenir qu'un gentil bloggueur a été sinon ton fétiche, au moins ta patte de lapin.

Bien à toi,

khoyot

PS Bon d'accord, j'ai oublié de faire valider mon bulletin mais bon tant qu'à faire si cette cagnotte doit tomber ce soir, autant qu'elle te revienne

Indice

Une vision a été mise en suspension

Vous croyez qu'ils vont finir par comprendre ?


Paf ! Dans les dents !

  • Lui : Et tu fais quoi dans la vie à part ton blog ?
  • Moi : (honteux) Ben... euh... rien !

Réflexion légère sur moi même... ou les autres

Notre capacité à aimer n'a d'égale que notre volonté de sourire

Un jour

Peut-être qu'un jour où vous aurez envie de me lire, peut-être qu'un jour qui sait, lorsque vous taperez mon adresse ou cliquerez sur le lien qui mène ici, apparaîtra cet écran : Peut-être, un jour, sans doute. Mais pas maintenant, j'ai encore envie d'écrire, encore envie de lire, même des âneries, mais j'ai encore envie de blog...

Ouvrez les yeux !

une photo était cachée, vous ne l'avez pas vue, tam tam dam tam tam pidam...

Mascarade ! Mascarade, s'écria-t-il !

Ne cherchez pas de sens, je suis Belge, n'oubliez jamais...

Dreyfuss II

On se souvient tous, je crois, du livre de Gilles Perrault de 1978, relatant l'histoire d'un enlèvement et du meurtre d'une enfant dans la région marseillaise en 1974. A l'époque, la justice, par la voix d'un jury populaire, avait condamné à la guillotine Christian Ranucci, une vingtaine d'années au moment des faits. Exécuté en 1976, Ranucci a toujours clamé son innocence. Gilles Perrault nous proposait, à l'époque, une contre-enquête qui semblait donner raison à l'inculpé.

Voilà que maintenant, une lettre arrive auprès des institutions judiciaires belges soulignant certains faits et mettant en corrélation l'enlèvement et le meurtre de la petite Marie-Dolorès Rambla avec l'affaire Fourniret qui secoue la Belgique et la France depuis peu.


Des éléments troublants, des correspondances inquiétantes, dans le modus operandi, dans la présence du tueur en série dans la région au moment des faits, la même voiture, etc, etc...

Troublantes et étonnantes coïncidences...


Ce n'est pas à moi à refaire le procès, je n'en ai ni l'envie ni l'autorité. Mais même 30 ans après les faits, la justice française rouvrira-t-elle un dossier devenu, par force du temps, vérité d'Etat ?

à moitié plein

Tout doucement, je me transforme. La métamorphose, lente, implacable, efficace poursuit son oeuvre sans se soucier du reste. A force de rencontres, à force de découvertes, à force d'échanges et de partages, je deviens plus perméables aux expériences d'autrui. J'écoute, analyse, ingère et tente d'appliquer. Au fur et à mesure, je mets les choses en place, je regarde par l'autre bout de la lorgnette. Petit à petit, tout cela s'installe en moi, confortablement, durablement. Est-ce l'âge tout simplement ? Je ne sais pas. Certaines paroles échangées m'ont marqué, certaines remarques blessé, toutes ces discussions me font avancer.
Oui, car il s'agit bien de cela, d'évolution, d'avancement, de progrès.
Doucement, lentement, sûrement, j'abandonne ma carcasse d'être froid et cynique. Je cesse de vouloir à tout prix trouver le bon mot, celui qui créera l'éclat de rire aux dépens de l'autre, je cesse de saisir toutes ces perches trop faciles, trop cassantes. Doucement, je me libère de l'orgueil étouffant qui empoisonnait ma vie, ne le place plus là où il n'y a pas lieu d'être. Doucement, j'apprends à accepter les aléas quels qu'ils soient, à regarder les choses en face et à positiver.
Ce fut beaucoup plus facile que prévu, loin d'un optimisme béat, loin d'un positivisme idiot et ringard, cette attitude-là n'enjolive pas benoîtement, elle assume, englobe, observe et accepte.
Oh ! Oui, je change ! Les changements sont perceptibles, visibles, tangibles. On les souligne pour moi, on s'en étonne. J'en ai vu même craindre une réponse qui, au lieu d'arriver perfide, fut tout autre; j'ai vu l'ennemi s'étonner, rougir et sourire d'un sourire sincère qui remerciait. Cette philosophie-là, je sais d'où elle me vient, je sais de qui elle me vient; à toi qui me l'as appris sans t'en rendre compte, à toi qui m'as marqué sans le savoir, à toi qui m'as sauvé, je voudrais te dire combien tu as raison, combien tes choix sont justes et bons.

Ce bonheur-là est simplissime, je n'oublierai jamais !

Femme de ménage

Il y a du désordre dans ma vie
Je m’emballe d’un rien
Je m’émeus d’un tout
M’empoisonne les sens
Et file à la dérive

Il y a du désordre dans ma vie
Mon chez moi est un foutoir
Un bazar d’après la nuit
Je suis en train de choir
Où donc est la sortie ?

Il y a du désordre dans ma vie
On ne voit plus que ça
L’intérêt dérisoire
D’un salmigondis immonde
Qui m’enfonce au-delà

Il y a du désordre dans ma vie
Un chat n’y retrouverait pas ses petits
Il y a du désordre dans ma vie
Je n’ai plus de repère

Et je vais bien, merci

19.1.06

7 x 7 = 49 - Le Carré de 7

Le piège diabolique de la chaîne blogguesque s'est refermé sur moi par la grâce (ou à cause) de l' ami Peio.

Le Carré de 7

7 choses que vous voulez faire avant de mourir

  1. Changer le monde (enfin mon monde)
  2. Me trouver vraiment
  3. Ne plus avoir peur
  4. Voir mes nièces heureuses
  5. Parler enfin à ma mère
  6. Lui refaire l'amour
  7. Revoir Rome et la Toscane

7 choses que vous faites bien

  1. le rôti Orloff et les chicons braisés
  2. l'amour (sensuel et charnel) (rien d'immodeste toutefois !)
  3. aimer
  4. rêver
  5. râler, bougonner
  6. embrasser
  7. déblatérer des inepties

7 choses que vous ne pouvez pas / ne savez pas faire

  1. avaler des carbonades flamandes
  2. digérer la cannelle
  3. bricoler
  4. rester impassible
  5. la fermer
  6. écouter Mylène Farmer
  7. embrasser une bouche pleine de chicots

7 choses qui vous attirent dans le sexe opposé (ou non... ben oui suis homo quand même)

  1. ses mains
  2. ses yeux, son regard plutôt
  3. ses dents
  4. le fait que ce soit lui, tout simplement (si lui existait bien sûr)
  5. ses fesses (bah oui !!!)
  6. son rire et sa capacité à me faire sourire
  7. sa tendresse

7 choses que vous dites souvent

  1. "C'est pas grave !"
  2. "Quelle patience !"
  3. "Allez alors !"
  4. "Bonjour vous ! hmmm"
  5. "En fait"
  6. "Plastico ! Hep hep hep, te sauve pas toi !"
  7. " Regarde un petit peuye..."

7 béguins pour des célébrités

  1. Johnny Depp
  2. Hugh Grant (tombé amoureux fou dans Maurice)
  3. Romain Colinet
  4. Jean-Jacques Goldmann (version 1984 !) (naaan ! même pas honte !)
  5. Antonio Banderas
  6. Luke Perry (ben oui, j'ai aussi été ado !)
  7. Tyger Tyson (PD jusqu'au bout le père khoyot)

7 bloggueurs à qui vous passez la main

  1. David
  2. Manu
  3. Alcib
  4. Joss (curieux de voir ce que ça donne en version québécoise)
  5. Timy
  6. Alexandre (les comparaisons des éléments du couple m'amuseront)
  7. Miss Fiotte

J'aurais bien passé la main à Rafaele ou à Eltan, mais Peio s'en est déjà chargé...

Vaisselle

A se vouloir trop honnête,
on finit par se déjuger, par se maljuger

A se vouloir trop honnête,
on perd trop souvent de vue les raisons qui nous animent

A se vouloir trop honnête,
on finit par manquer de recul

A se vouloir trop honnête,
on finit par ne plus s'apprécier !

une voix, des lectures, une vision

Merci ! A vous ! J'avais annoncé ce matin mon humeur maussade et les raisons de celle-ci. Vous avez été plusieurs à tenter de me faire sourire, avec succès en prime ! Première bonne nouvelle. Tu fais bien l'idiot, David; tu m'emmènes quand tu veux en bateau, jf; tu as mérité un prix princier, Manu !

Puis, il y eut cet appel ce midi. *soupir*. Tu m'as fait rire, beaucoup. Du coup, un large sourire m'est resté sur la face un bon moment. Content que la surprise te plaise... J'essayerai de me connecter en début de soirée ce soir ou alors samedi, on verra !

Et, enfin, toi, mon beauf' ! Merci pour l'éclat de rire duquel je ne me remets pas encore tout à fait...

tendre et douce enfance

Je connais les brumes claires
La neige rose des matins d'hiver
Je pourrais tout retrouver
Le lièvre blanc qu'on ne voit jamais

Mais l'oiseau, l'oiseau s'est envolé
Et moi jamais je ne le trouverai
Car j'ai vu, l'oiseau voler
J'ai vu l'oiseau, je sais qu'il partait
Je l'ai entendu pleurer
Le bel oiseau que le vent chassait

Je voudrais tout te donner
Mais toi pourquoi ne me dis tu rien
Quel est-il ton grand secret
Un secret d'homme
Je le comprends bien

Mais tu sais je peux te raconter
Combien l'oiseau est parti à regret
Si un jour tu m'écoutais
Tu apprendrais tout ce que je sais
L'oiseau part et puis revient
Tu le verras peut-être demain

Si jamais je rencontrais
Ce bel oiseau qui s'est envolé
S'il revient de son voyage
Tout près de toi le long du rivage

Moi vois-tu je lui raconterais
Combien pour toi je sais qu'il a compté
C'est l'oiseau que tu aimais
L'oiseau jaloux je l'ai deviné
Si jamais il revenait
Je lui dirais que tu l'attendais

(Mehdi El Glaoui, l'Oiseau, générique de Sébastien parmi les Hommes, Paroles Cécile Aubry, Musique Daniel White, Eric Demarsan, Philips)

En réponse à Johan Hufnagel

Depuis quelques jours, je lis un peu partout les réactions de bloggueurs à propos de ce qu'il y a maintenant lieu d'appeler "l'affaire Garfieldd" . Je ne vais plus m'étendre très longuement sur cette affaire, vous savez tous ici mon indignation à ce propos, néanmoins, je voudrais revenir sur le commentaire que Johan Hufnagel, rédacteur en chef de libé.fr, a laissé sur le blog d'Embruns et que je reproduis ici :

5. Le 18 janvier, Johan Hufnagel a dit :
Bonjour,
je suis rédacteur en chef de Libé.fr. Je ne saisis pas précisément les reproches faits à l'article sur le blogueur révoqué. Il me semble que nous présentons les faits le plus clairement possible, donnons les positions des personnes qui défendent le blogueur révoqué. A moins que vous ayez des informations précises, documentées sur ce que vous avancez à propos de cette commission (précédents, écrits,etc et dans ce cas nous l'écrirons). Pour les autres commentaires, je vous renvoie à ce qu'écrit Phil ici. Il est par ailleurs écrit «évoqué» (effleurer, mentionner selon le robert) pour donner un exemple de ce qui est reproché à garfiedd. Pour terminer, nos n'avons pas expliqué les keywords google parce que nous sommmes un journal national et qu'une grande partie de nos lecteurs ne savent pas ce que c'est. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas à envoyer des mails. Nous ne répondrons pas aux injures.


Monsieur,

Croyez-vous honnêtement que souligner l'ignorance de vos lecteurs pour certains termes vous exempte de toute forme de didactisme à leur égard ? Croyez-vous sincèrement qu'une information partielle reste de l'information ? Est-ce ainsi que Libération conçoit la manière d'aborder un sujet quel qu'il soit ?
Si tel est le cas, il ne fait que mettre en exergue un manque de respect et un dédain profonds à l'égard de vos lecteurs. C'est par le biais d'informations erronnées, manipulées, tronquées, partiales et incomplètes que s'asseoient les dictatures.
Emanant d'un journal qui s'est, tout au long de la première partie de 2005, battu pour le droit à l'information (souvenez vous de Florence et d'Hussein), on ne peut que rester pantois face à une réponse de ce type. A vous lire, votre journal ne semble rester sensible qu'aux cas qui le touchent de plein fouet.
Je m'étonne, tout bonnement, je m'étonne. Quel genre de journaliste êtes-vous ? Quelle objectivité défendez-vous ? Quel type de leader d'opinions voudriez-vous devenir ?
Moi qui restais persuadé que le premier devoir du journaliste était l'honnêteté, à tout le moins, l'honnêteté intellectuelle. Evidemment, vous avez eu le courage de faire un correctif; évidemment et heureusement, vous avez un tant soi peu rétabli une vérité qui sautait aux yeux de tous, mais la reconnaissance de l'erreur implique une certaine humilité dont vous n'avez pas fait preuve. Vous n'avez pas présenté d'excuse à un être humain déjà affaibli par une décision lourde et, à mes yeux, injuste et inique. Non ! Au contraire, vous n'avez, dans cette histoire, pensé qu'à vous sans jamais réfléchir aux répercussions, aux dégâts causés à quelqu'un qui, dans les faits, a déjà tout perdu.
Tout cela me rappelle étrangement et amèrement un certain procès d'Outreau...

Bien à vous,

khoyot

Question # 53

Qui me fera sourire ? Qui me mettra de bonne humeur aujourd'hui ?

Appelez - moi Marmotte !

Suite aux bons conseils de l'ami Rafi, je me suis rué vers ce test jugé immédiatement indispensable pour relancer une journée bien mal partie... Mouais ! Bof ! Oui, j'aime dormir, certes, mais 100 ans !!! Et puis classique, classique ???!!!??? Enfin, si le test le dit, c'est que c'est vrai

César de Paepe

Je me sens vaseux aujourd'hui, pas bien. Les tambours du Bronx ont élu domicile en mon crâne malgré une soirée sans alcool. J'ai rêvé cette nuit, un mauvais rêve. Je ne sais mais je crois rêver rarement, enfin je me souviens rarement de mes rêves, a fortiori de mes cauchemars. Mais ici, tout me semblait crédible, réaliste. Je me rappelle chaque détail, chaque bibelot posé sur les étagères des pièces que je visitais. Ce cauchemar n'a pas de sens, vraiment pas de sens mais je me sens perturbé par la violence du réveil qu'il entraîna.
Suivre une des personnes que l'on chérit le plus, l'accompagner jusqu'au bout, jusqu'à sa propre perte, endosser pour elle toutes les responsabilités du monde, assumer les conséquences de ses actes jusqu'à en périr et se voir juger par l'absente de mon enfance et de ma vie d'adulte.

Je me suis réveillé en colère.

Pas tant à cause des actes posés, ce n'était qu'un rêve, je sais que jamais je ne ferai ce que j'y ai fait. Mais à cause d'elle ! Pourquoi donc ai-je rêvé d'elle ? Pourquoi y ai-je pensé ? Je n'ai pas l'impression de souffrir d'un quelconque sentiment de manque par rapport à elle, j'ai même plutôt l'idée de m'en être déjà fait un deuil. Aussi triste cela puisse paraître, elle m'est aujourd'hui totalement étrangère. Voilà plus de trente mois qu'on ne s'est vus ou entendus. Elle ne sait même pas que je porte la barbe. Je ne suis même pas certain de la reconnaître si je venais à la croiser en rue. Elle a toujours brillé par son absence à laquelle, depuis longtemps, j'ai répondu par une certaine indifférence. Que venait-elle donc faire dans ce cauchemar, elle qui, a priori, n'avait rien à y faire ? Pourquoi donc suis-je allé me réfugier en cette maison lorsque le danger approchait, lorsque le piège se refermait ? Certes, c'est la maison de mon enfance; certes, c'est là où demeurent mes souvenirs. Mais, elle, elle n'aurait jamais permis qu'on me sauvât. Courir vers elle signifiait, je le savais, me jeter dans la gueule du loup.

Je me suis réveillé en colère.

Répondrai-je si elle m'appelle ?

Humeur # 72

Pas bien !

Il y a des phrases qui vous parlent peut-être plus que de raison tant elles sonnent par leur justesse. Cette vérité-là ne fera pas écho qu'en moi, j'en suis sûr.
Mais sa véracité est telle que tout commentaire serait vain

Ecrire sur un blog c'est écrire en même temps que les autres


Vous vendez encore des montres ?

Je n'ai pas le génie d'Alexandre, pas l'ombre de son talent; je n'ai pas la culture cinématographique d'E., mais je voudrais quand même parler ici du film que je suis allé voir ce soir.
"La Saveur de la Pastèque"
Une comédie musicale juteuse et fruitée de Tsai Ming-liang

La sècheresse est telle à Taiwan que la population est invitée à remplacer l'eau par le jus de pastèque. Elle, c'est en volant l'eau des toilettes publiques qu'elle subsiste. Lui, c'est en se baignant dans les citernes d'eau de plui qu'il tente de se rafraîchir.
Solitaires, assoiffés, épuisés par la chaleur et le désir, ils se retrouvent pour mieux se perdre dans l'excitation torride et la saveur de la pastèque...
Ca, c'est ce qu'ils en disent ! Les Inrockuptibles ont eu beau titrer "Le film le plus délirant de l'année", ce film est d'un ennui mortel ! Pourtant, il y aurait pu y avoir de l'idée. On aurait pu se dire qu'un film distribué par cinéart en Belgique et par Mk2 en France, à première vue la mayonnaise aurait dû prendre. Hé bien, non ! Pas du tout même. 1h35 dure-t-il selon les horloges, si jen crois l'état de mes fesses et de mes jambes après la séance, six heures auraient pu s'écouler.

Petit tableau rapide : prenez un élève de Jacques Demy, oh prenez le cancre il fera l'affaire, faites-lui connaître l'univers de Catherine Breillat et de Virgine Despentes, que vous ne manquerez pas de brîmer de morale à l'américaine car, il faut pas rêver, ce film reste soft, très soft même, moins soft que le blog de Garfield, d'accord, mais très soft néanmoins. A tout cela, vous ajoutez une légère pointe de Priscilla, Reine du Désert et... tadam... voilà ce que ça donne !


Comédie musicale annonçait-on ? Quatre chansons parsèment le film. Mais quelles chansons ! Là, c'est sûr rien à redire. Kitschissimes au possible. On commence par une guimauve du héros, traveloté et maquillé comme un camion volé, d'une mièvrerie à faire passer la série Harlequin pour du Frédéric Dard. Les trois autres chansons sont du même registre, tirées des Parapluies de Cherbourg et des Demoiselles de Rochefort à la sauce aigre-douce. Jolis tableaux néanmoins et délires pas toujours inintéressants.


Le reste du film se déroule sans musique, presque sans dialogue (certainement le dialoguiste le mieux payé de l'histoire du cinéma parlant). Caméra en plan fixe. Plus qu'un film, c'est un diaporama où toutes les images ne sont même pas jolies. Le directeur photo devait être heureux après montage.

Quant à l'histoire,... ben... euh...
Alors soit, il me manque bon nombre de références, ce que je n'exclus nullement, soit il y a de l'onirisme pur dans ce film, mais en tout état de cause, je ne l'ai pas compris, pas vu, pas entendu. Tout m'a échappé. Si Tsai Ming-liang a voulu créer un monde, un univers, je n'ai jamais pu y entrer. Nous étions près d'une dizaine ce soir, l'un a dormi, deux ont soupiré, l'un regardait sa montre toutes les deux minutes, certains ont gémi, d'autres ont ri d'incrédulité; bref, nous étions tous dans le même état, ébahis, hallucinés et, à jamais, dégoûtés de la pastèque.