31.12.05

Mariée


Mariée
Envoyé à l'origine par andy-650sv
Dira-t-il encore oui après ça?

Comme ça c'est fait!


30.12.05

Des Chiffres & des Lettres

La lettre de l'année :

J

Jonathan, Julie, Julien, Juliette, Jérémy, Jérome, John, Jean-François, Jean, Jean-Yves,... de plus en plus de J. autour de moi

Le chiffre de l'année

13.267,83

Une somme rondelette qui m'est promise et qui tomberait à point nommé dans ma petite escarcelle. Je vais encore attendre un peu avant de me décider à la toucher

Question # 44

Sommes-nous ce que nous écrivons?

Pas bien!

Il faut que je me rende à l'évidence, je refume de plus en plus régulièrement!

Nuit de la Saint Sylvestre


Pour sûr, demain, c'est le réveillon de l'an et, comme chaque année, je dois admettre que ça me fout un peu les boules. Je n'ai jamais vraiment aimé cette nuit-là où tout sonne faux. Une nuit où il est de bon ton d'être joyeux, de bonne humeur, festif même si le coeur n'y est pas. Une nuit où tout sonne faux et où tout est cher... On sent les gens se forcer à rire, à sourire. La façade doit être préservée. On ne s'amuse guère mais on se persuade qu'on déprimerait encore plus si l'on passait la soirée seul chez soi comme on en a réellement envie. Longtemps, je me suis arrangé pour être de corvée ce soir-là. Il faut dire que travailler dans le loisir y aidait grandement. Théâtre, bars de nuit, etc... tant d'endroits pleinement sollicités en ces nuits de réjouissance qu'il ne nécessite pas de penser à autre chose: bosser! Voilà quelques années que ce n'est plus le cas (deux ou trois ans je pense) et donc quelques années que je suis soumis au même régime que les autres : m'amuser à tout prix. J'ai finalement décidé d'accepter ce dîner entre amis, dîner qui s'annonce calme et qui ne sera que le prélude à une longue nuit de sortie. Le dîner sera agréable, je le pressens, mais le reste de la nuit ne m'enchante guère. Que mes amis et connaissances ne m'en tiennent pas rigueur, cette année, je ne cèderai pas au rituel du message SMS formaté et envoyé à tous, un peu personnalisé pour les plus proches. Non! Pas cette fois! Mesures d'économies drastiques obligent et ceux que j'aime le savent que je les aime, pas besoin de nouvel an pour le leur rappeler. Allez! plus qu'une fois dormir et l'enfer passera.... J'aimerais que ça se termine vite!

Marie Laforêt

Il neige! Het sneeuwt! It snows! Er schneit! Nieva! Nevica! Neva! acoperit de zăpadă! Negxi! Sne! To śniegi! Ninguit! Han snöar!

La fin de l'oisiveté

Ce n'est pas que je me languissais. Ce n'est pas que je m'ennuyais, non, au contraire, je savourais mes doux moments d'oisiveté profonde. Seulement voilà, toutes les bonnes choses doivent avoir une fin. Heureusement, diront certains. Je répondrai simplement d'un petit "nous verrons bien"...
2005 semble se terminer en fanfare et met les bouchées doubles pour bousculer ma petite vie et faire en sorte que 2006, année paire donc année magique, soit une année pleine de rebondissements. Un entretien d'embauche qui n'en était pas un, un long moment de rires et de discussions, de présentations, mais tout était acquis, d'emblée, sans rien faire, cela m'est tombé sans que j'aie à me défendre, à demander. Mon engagement était une évidence pour ce patron du simple bonjour souriant que je lui ai adressé en lui serrant la main. La demande venait plus de son côté. Je signe pour une mission temporaire, il s'inquiète déjà de mon avenir chez lui, se mord les lèvres quand j'énonce mes projets qui, immanquablement, devraient m'en éloigner. Il mise sur les gens dont il s'entoure, sur leur personnalité. Je mise sur mon épanouissement qui, a priori, ne devait pas me mener vers cet endroit. Qu'importe, j'ai accepté. Plus parce que je me suis senti en pleine confiance lors de cet entretien que par besoin de me nourrir. Je verrai bien. En attendant, reprendre un rythme de vie normal, basé sur le travail me fera, je le sais, le plus grand bien. Je pars apprendre un nouveau métier, une nouvelle société, des nouvelles personnes... Je pars découvrir un monde qui m'est totalement étranger, un monde que je ne soupçonnais pas pouvoir approcher un jour. Mais, au fond, n'en a-t-il pas toujours été ainsi dans ma carrière professionnelle?

EDIT 30.12.2005 12:15 PM

En réponse à David (tiens c'était sa fête hier, bonne fête donc ainsi qu'à tous les David que je connais, hein mon Vilain!), il s'agit juste d'un métier que je crois sérieux dans une société et un domaine très très très sérieux... c'en est tellement sérieux qu'il va falloir que je me remette à porter ce genre de choses... pas top hein!... On s'y fait, malheureusement...

28.12.05

Ben oui, parfois j'ai honte

Mais c'est pas grave....

Rappelons que nous sommes le 28 décembre 2005, 362ème jour de l'année.

Nous fêtons aujourd'hui les Saints Innocents.

Facile je sais. Bon ça va, je sors!

Question # 43

Sans pommes de terre, est-ce toujours de la tartiflette?

désolant

On ne tire profit que de l'échec, la réussite n'offre qu'une expérience dont on se nourrit sans apprendre.

Vous êtes aux Galeries...

Vu La Revue 2006 au Théâtre des Galeries hier soir... Par amitié et sympathie pour les intervenants de ce spectacle, je n'en parlerai pas.
Me retrouver dans ce théâtre où j'ai passé de nombreuses heures, étant jeune, reste un plaisir. Les sourires de tous mes anciens collègues compensent largement la qualité du spectacle proposé.
Mais elle semble plaire, le public était enthousiaste... J'ai du mal à le suivre, c'est tout.

Fan?


Nom : Alessio Boni
Profession : Acteur
Nationalité : Italien
Filmographie sommaire: Arrivano gli Italiani, Senza paura, La Meglio Gioventù, Vita e perdere, Quando sei nato non puoi più nasconderti, La Bestia nel Cuore

A découvrir ou à redécouvrir car derrière ces yeux verts et ce visage d'ange, se cache un acteur hors pair... J'aime!

27.12.05

Ca marche

Ne plus tenir compte du message précédent, ça marche à nouveau.... Y a des moments où tout m'échappe.... Ca m' E-NER-VE!

Enfin... si vous avez une explication, je suis toujours curieux de la connaître...

Mais où est-il donc passé?

Je ne vois plus mon blog... Impossible de le lire ????!!!??? Mais où donc a disparu ce fichu blog? Si quelqu'un a une idée (et réussit à lire ces pages) qu'il me fasse signe et m'indique comment faire pour afficher autre chose qu'un écran blanc sur mon ordi car, si je ne m'abuse, mon fond de page est plutôt noir non?
Pfffffffffff Foutue technologie!

26.12.05

Chapeau bas

"J'ai perdu l'habitude de mentir à mesure que ma vie devenait réelle et douloureuse"
Cette phrase, écrite par Father Lucifer, est très certainement l'une des phrases les plus justes qu'il m'ait été donné de lire depuis longtemps maintenant. Je l'ai reçue comme un coup de poing en pleine face. De la perte du rêve et de ses illusions, associée au mensonge à la prise en compte, la prise en charge de sa réalité si douloureuse soit-elle mais, finalement, assumée... Difficile à décrire comme sensation et à quel point cet adage fait écho en moi.
Je reste ému, presque sans voix.
Mon optimisme béat, confinant quelques fois -je le concède- à la naïveté et la sottise, me pousse à y voir quelqu'espoir. Cependant, aussi amer ce constat puisse paraître, il est d'une justesse qui force le respect. Chapeau bas!

25.12.05

Bilan 2005

Après avoir lu la rétrospective d’Eltan sur l’année qui vient de s’écouler, je me suis demandé quel avait été le bilan de ma vie en 2005. Quelles nouveautés ? Quels changements ? Suis-je parvenu à effectuer les grands bouleversements que j’espérais au moment des bonnes résolutions ?



Rapide topo :

Janvier : L’année débute comme la précédente s’est achevée : froide et laborieuse. Au sortir d’un réveillon dans un cadre sordide mais bien entouré, je reprends rapidement ce boulot qui me gave. Le mois passe sans événement marquant. A vrai dire, je sombre dans la routine. Arrivée de deux étudiants stagiaires à l'agence, J. et N..Dès son entrée, J. me perturbe... Ils resteront là quatre mois durant. Je resterai perturbé jusqu'au mois de mai, je le sais.
Février : S. et K. quittent l’agence, qui par choix, qui par obligation. Voilà deux des personnes qui me donnaient le sourire au travail que je ne verrai plus quotidiennement. L’ambiance risque de se dégrader
Mars : Je poursuis ma petite vie, mon petit bonhomme de chemin. Paulette est là pour me faire rire mais rien ne se passe. J’engrange le travail et ne fais presque plus que ça. Le cœur et le corps sont au repos, involontaire certes, mais au repos quand même. Le corps ressent le besoin d’exulter tandis que le cœur est au chaud et sa léthargie risque d’être longue. Seul événement du mois, un mec qui vient me trouver et veut impérativement me trouver mal dans ma peau, mal dans ma tête. Va cuver, pauvre tache ! Oui j’ai pris +/- 15 kilos et alors ? C’est le résultat d’une longue lutte : l’arrêt de la clope et là je suis plutôt fier de moi. En 31 ans, je ne me suis jamais senti autant en accord avec moi-même, je finis par cesser de faire des compromis avec moi !
Avril : Un pape meurt et un autre monte sur le trône. C’est pas aujourd’hui que le Vatican nous montrera un grand signe d’ouverture. Le choix est trop clair. Pendant que les Chrétiens pleurent et se réjouissent d’une fumée blanche, je me prélasse à Barcelone avec F. Quatre jours de bonheur pur, de complicité jamais éteinte en 16 ans. Notre voyage d’avril devient une tradition et c’est tant mieux. Nous faisons nos projets pour l’an prochain : ce sera Lisbonne.
Mai : Mon temps passé au travail est de plus en plus grand. L’enthousiasme est au plus bas cependant. Ce boulot me gave et je gave tous mes proches de mes complaintes. Les travaux de rénovation vont bon train. Coincés dans une caravane sur le toit depuis fin février, on nous apprend qu’on y passera également l’été. Joie, bonheur. A quatre à bosser plein temps dans un espace de 12 m². La promiscuité nous rapprochera-t-elle ? On verra. J. et N. achèvent leur stage chez nous. Nous garderons contact, surtout avec J. dont je me suis pas mal rapproché sans pour autant... Je suis toujours aussi charmé.
Juin : Premières chaleurs. 34° dans un espace métallique. Nous suintons et réclamons des compresseurs d’airco que nous obtiendrons. Je me fais installer ma ligne ADSL, officiellement pour faciliter ma recherche de nouvel emploi, réellement, la découverte du monde virtuel me fascine. L’addiction n’est pas loin. Mon corps réclame son dû. Il y a 10 ans, naissaient l'essence de ma vie, mon étoile, ma L.
Juillet : Premiers départs en vacances, synonymes pour moi de surcharge de travail. Plus de resto, il change de formule et ne fais plus partie de l’affaire. Bonne chose. Je retrouve mes week-ends, en suis un peu perturbé. Cologne avec Paulette pour la CSD. Mais pourquoi donc ai-je eu besoin d’y emmener ce mec rencontré la veille du départ ? Il gâche un peu la fête mais on réussira bien à le perdre dans la foule…
Août : Je bosse, je bosse. J’ouvre mon blog, sans trop savoir où ça va me mener. J’en découvre d’autres. Des partages s’installent. C’est drôle au fond. Je n’ai jamais réussi à tenir régulièrement un journal mais celui-ci semble m’offrir des possibilités plus grandes… à suivre donc. Je suis en charge d’un pauvre italien esseulé dans cet été pourri bruxellois où la pluie s’est invitée. Je connaissais peu D. mais je le découvre un peu plus et, très honnêtement, j’aime beaucoup ! Ils forment un couple magique avec M. Les soirées sont longues et amusantes. J’en redemande !!!
Septembre : Les travaux à l’agence touchent à leur fin, nous allons enfin prendre place dans nos nouvelles installations toutes modernisées. Mon supérieur est muté et arrivée d’un nouveau. Rarement vu un crétin pareil. Je suis donc chargé de l’épauler et de lui faciliter la vie… Mouais. Le contact humain ne prend pas, d’emblée, on se hait cordialement. A bout de nerfs, je remets ma démission le 13. Dans deux mois, je serai libre de toute obligation par rapport à ce boulot qui m’empêche de vivre depuis près de cinq ans. Fin du mois, je pars à Lille rencontrer un autre bloggueur. La découverte réelle est encore plus riche que la virtuelle. Le don est sincère et généreux et je réalise d’entrée de jeu tout ce que je reçois ce soir-là. Le mystère ne sera pas pour autant percé mais je ferai tout ce qu’il y a en mon pouvoir pour creuser cette voie…
Clijsters remporte l’US Open
Octobre : La vie continue et je supporte de moins en moins les âneries de l’imbécile qui est en censé me diriger. Les désaccords sont flagrants et les coups de sang de plus en plus violents. Je rencontre J. et me laisse aller. Je réaliserai rapidement mon erreur mais tant pis, en attendant ça fait du bien de se sentir vivant. Deux grèves générales paralysent le royaume, j’en suis ! Le débat sur les fins de carrières fait rage et la cause vaut la peine de se battre pour elle.
Sofia arrive dans mon appartement et dans ma vie. Je gagatise et ça me fait du bien.
Novembre : Je vieillis et suis loin d’être le seul en ce mois sacré. Mon contrat prend fin et mes luttes administratives commencent. Je prends enfin le temps de me reposer sans stresser sur mon avenir. Les négociations pour la reprise de ce bar échouent de façon abrupte. Peu me chaud, ça m’a reboosté et j’ai peut-être fini par trouver ma voie.
Dixième Swim For Life : plus de 22.000 Euros engrangés, un record.
Décembre : Calme et chômé. Je refais le point sur moi, sur ma vie, mes attentes. Je savoure le soulagement lié au fait que j’ai quitté ce boulot. Je prends le temps de réapprendre à me connaître, avec intransigeance. Je ne m’assouplirai pas et c’est bon de le savoir. F. a 30 ans et devient femme. Je rencontre C. avec qui je discute depuis peu. Coup de foudre amical sincère. J’entretiendrai cela. Depuis peu, je vois X. et ça me fait du bien. On verra ce que ça donnera mais je veux le faire bien. Les fêtes sont là et, comme chaque année, ça me gave…

Ephémérides # 27

Bon Anniversaire, Oli V.!

24.12.05

Souvenir d'enfance

Noël...




Petits cadeaux de Noël

Pour tous ceux qui ont été sages...


Retrospective 2005

Sur le net

Trouvé grâce à Potinblog, je vous conseille de cliquer ici. Alors, mettez du son et agitez la souris... Moi ça me détend :o) ... euh 5 minutes pas plus...

Mamie

Je n'aime pas la mort, du moins pas son imminence. Si elle doit frapper, qu'elle frappe d'un grand coup sec, par surprise, qu'elle cesse de nous donner le temps de nous habituer à son idée. Par pitié, qu'elle cesse de nous laisser là à l'attendre, résignés. Je déteste ça, ne m'y fais pas, ne m'y ferai jamais. Je ne me résouds pas à observer le déclin d'un proche, je m'agace de sa longueur, je ne veux que des hauts, pas de bas! Et quand le bas doit surgir qu'il surgisse de façon foudroyante, pas de longue agonie, non, s'il vous plaît.
Vue de l'extérieur, ma réaction paraît odieuse, cynique, imbuvable même. Pas de larme, pas de cri, juste une absence et une distance prise (trop) tôt quand je la sens arriver pas à pas. Je sais que le proche ne désire rien tant de me voir dans ces moments-là, il a besoin de revivre, de savourer. J'en suis bien incapable, je préfère fuir et ne garder au fond de moi que les images du bonheur, les images du bon temps. J'ai fui l'image diminuée de mon grand-père il y a quelques années, tout comme je fuis celle de ma grand-mère aujourd'hui. Elle me réclame haut et fort, parle de moi à tous ses enfants, ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants; tous me le relaient. Je ne peux pas, n'y arrive pas, c'est plus fort que moi. Et pourtant, je l'aime cette femme qui a bercé mon enfance de son visage d'ange, de sa douceur aussi. J'ai ri avec elle, partagé tant de choses, de secrets d'enfants. Je devrais trouver ce courage que je n'ai pas, l'accompagner et lui sourire. Elle voit clair dans mon jeu, ne me juge pas mais ne cessera pas de me demander. Peut-être... un besoin réciproque aussi. Je crains ce moment. Je l'aime au fond!

23.12.05

Nuit de sueur



La fièvre me pousse au sommeil, intense, profond.

La sueur qui noie mes draps me gêne, m'indispose.

Il me faut dormir et je ne peux que veiller

Humeur # 63

Merci, Rafaele, maintenant, j'ai envie de cougnou et de chocolat chaud... et j'en abuserai... je me connais
(Je n'en ai pas encore mangé cette année! Va falloir que je me rattrape)

Bienvenue

Pourquoi ressentir sans cesse le besoin de se justifier lorsque l'on entend les termes "narcissique" et "nombrilisme" à chaque fois qu'une conversation dévie sur le phénomène des blogs? C'en devient profondément agaçant, irritant, vexant même des fois quand vous finissez par l'argument ultime qui est d'annoncer que, vous aussi, vous avez un blog et que, pire encore, vous l'alimentez régulièrement. S'en suit inlassablement la tirade du bloggueur sans peur et sans reproche. Tout cela est épuisant.
Je n'ai, a priori, pas le sentiment de devoir répondre de mes actes auprès de quiconque, n'ai pas l'impression non plus d'avoir un ego surdimensionné par le seul fait de tenir une espèce de journal semi-intime online.
Cependant, ce qui me frappe c'est que ces mêmes personnes qui vous tiennent pareil discours seront les premières à vous réclamer l'adresse du blog et à venir se repaître de vos écrits, tout comme ils le faisaient déjà des écrits des autres.
Alors, à vous, lecteurs récurrents et silencieux de tous les univers "bloggosphériques", je vous dédie ce mot non sans penser qu'au fond de vous, si nous sommes nombrilistes, vous n'êtes que des voyeurs vous délectant des étalages d'autrui. Finalement, chacun y trouve son compte... Bienvenue!

22.12.05

21.12.05

Voilà

Les plus avertis d'entre vous l'auront constaté, j'ai apporté l'une ou l'autre petite modification à la présentation de la bête. Alors, on aime ou on aime pas, c'est pas très grave, moi j'aime bien et sur mon écran, je trouve que ça donne pas mal, même si ce n'est pas à 100 % ce que je voulais. Qu'importe, j'avais envie de trouver aussi mon blog joli. C'est chose faite. Alors, maintenant que je me suis appliqué sur la forme, je vais peut-être un peu m'attaquer au fond... Mais pas ce soir, je suis à la bourre (oui, je sais, comme d'hab').

20.12.05

Humeur # 62

De (très) bonne humeur... Un vrai pacha!

On m'en veut ou quoi?

Je ne sais ce qui se passe ces derniers temps mais je suis particulièrement de bonne humeur. Je suis sautillant, arborant un faciès souriant du matin au soir, je suis comme sur un nuage, bref, c'est le printemps dans ma petite tête. Savoir pourquoi là je serais bien en peine de répondre et, à vrai dire, ce n'est pas l'important. Je savoure tout bonnement.
Pourtant, il semblerait que l'on fasse tout pour me mettre des bâtons dans les roues. On veut me sapper le moral et ils se mettent à plusieurs pour ça.
Rien qu'aujourd'hui:
* Je me présente à l'un des bureaux de l'administration et y fais une file interminable. Pas grave, je patiente. Arrive mon tour et, bien évidemment, il me faut aller chercher d'autres papiers dans un autre bureau (fermé) et revenir là pour qu'enfin ce soit en ordre. Perspective : 2 jours de files!
*En rue, sur le trottoir, des travaux et une vieille dame qui semble avoir du mal à marcher. Pour la laisser passer, je me glisse contre l'échafaudage bâti, m'écrase dessus en sentant une vis s'enfoncer dans le bas de mon petit dos délicat et là : la vieille dame avait décidé de passer du côté où j'étais posé et non sur les 2 mètres de trottoir que je dégageais pour elle. Elle me fusille donc du regard et me bouscule avec son parapluie.
* Alors que j'étais debout et immobile devant une vitrine, un quinquagénaire me bouscule et me regarde méchament. Je l'observe et après un long moment, je lui dis "Pardon" et m'entends répondre un énorme "Ah! Quand même!" qui me laisse perplexe.
* Je pars faire une petite course et arrive chez un commerçant pas très loin de chez moi. J'entre dans la boutique, salue le commerçant derrière son comptoir d'un sympathique "bonjour" sans réponse, je fais mes emplettes et les dépose sur son comptoir. 4 minutes plus tard, le commerçant n'a toujours pas daigné lever les yeux de son journal. Qu'à cela ne tienne, mon "Au revoir" est tout aussi souriant et je sors donc bredouille de cette échope en entendant le marchand me hurler que j'aurais pu au moins ranger les affaires étalées!
Et bien malgré tout cela, ils n'auront pas raison de ma bonne humeur!

Fou rire!

Si l'on dit que rire fait grossir, la lecture de ce post du great et sage mister E. vient de me faire prendre plus de poids que je n'en ai perdu ces derniers mois!

Mon mec à moi

Dans ma vie palpitante de surfeur du net invétéré que je suis devenu bien malgré moi, j'ai fini par tomber, sur les bons conseils de Miss Fiotte, sur ce quizz à l'intérêt énorme, vous en conviendrez avec moi.
En quelques mots, il s'agit de savoir quel type de mecs me fait craquer. Bon même si j'ai une idée assez précise du type de mecs sur lequel je me retourne en rue (ou ailleurs), curieux comme je suis, je réponds à leurs 9 questions, toutes d'une hauteur intellectuelle rarement égalée. Soit! De nombreuses fois, j'hésite malgré tout entre l'une et l'autre proposition, je décide donc de le faire deux fois, histoire de savoir si j'ai plusieurs types.
Ben oui j'ai plusieurs types, j'en ai donc deux en fait. Les résultats (en image) donnent ça pour le premier et ça pour le second.
Et bien, au regard des résultats, je me dis que ce test n'était peut-être finalement pas si stupide...

Chutttttt!

Le petit chat dort... et je vais en faire autant... Bonne nuit les enfants

19.12.05

Souvenirs, souvenirs

Ca vous rappelle rien? Moi si! De toujours mettre une ceinture...

Question # 42

Comment faut-il que je prenne le fait qu'en tapant "retour d'âge", Google vous mène sur la voie de mon blog?

Humeur # 61

Sourire au réveil.

18.12.05

Distribution des rôles

Un petit-déjeuner avalé au buffet d'une gare. L'endroit est triste, les gens sans visage, inexpressifs. Un groupe de jeunes arrive, bruyant, une fille, trois garçons. Tous quatre sont typés. L'un d'eux est même plutôt joli garçon d'ailleurs... Ils s'installent en troublant le calme relatif des passagers en partance ou en arrivée, les oreilles sont bercées par Ne Partons pas Fâchés de Raphaël.
Elle : C'est même pas chanter qu'il fait, c'est parler! Pfff (...) Et en plus, cette voix...! Et le look? Et la gueule? Toutes les nanas sont folles de lui, c'est même pas un mec! Z'avez compris hein, pour vous taper des nanas, faut être une tapette!
Feindre l'indifférence quand l'arrivée imminente de votre train en gare vous sauve d'un coup de sang.

16.12.05

Question # 41

Alors, d'après vous, qui?

Clem

Tu manques à ma vie parfois.
Tu l'as tellement remplie.
Je partageais avec toi un petit bout de toile que tu abandonnes. Libre à toi. nous partagions tant, je crois que souvent, je pense à toi. Les distances accumulées, les rapprochements. toutes nos sincérités. Nos non-dits, nos trop-dits.
Tu pars vers d'autres lattitudes. Qu'il en soit ainsi. Tu manqueras encore un peu plus à ma vie. mais si l'envie te dit, un jour, passe me faire juste un "coucou", un "hello". mais je garde au fond de moi plus qu'une photo, plus qu'un souvenir. Ton présent compte toujours.

Se donnent-ils le mot?

******ATTENTION AMES SENSIBLES NE LISEZ PAS CES LIGNES******
Les propos qui suivent peuvent heurter certaines personnes tant ils sont crus et plats.
Maintenant que tout le monde est prévenu, on va pouvoir la raconter cette petite histoire. Hier soir, au moment de me coucher, j'ai allumé la télé (oui ma télé est dans ma chambre, oui je sais c'est mal, j'm'en fous je regarde jamais et quand je regarde j'adore être vautré alors quoi de mieux que mon lit pour me vautrer...). N'ayant pas le câble (quand je vous disais que je regardais jamais), je suis obligé de me contenter d'une des deux chaînes de la RTBF. Etant sur la deux, je me tape donc une partie du reportage de leur émission consacrée aux courses automobiles (si j'en ai bien compris le principe). Et là survient cette interview sidérante d'un coureur connu (apparemment??) qui est en train de préparer le Dakar et qui y participe pour la première fois (Ben oui le Dakar, cette course de sauvages dans les plaines désertiques de l'Afrique de l'Ouest qui n'a d'intérêt que pour les carrossiers). L'interview donnait ça:
- le présentateur : Qu'est-ce qui vous angoisse le plus pour cette première participation au Dakar?
- le coureur : c'est de savoir où on va aller faire caca!
Là j'ai posé mon bouquin, regardé l'écran, médusé, quelques secondes et me suis dit qu'il était plus que temps que je m'endorme!

Message personnel

Je voulais juste saluer bien bas ma nouvelle petite lectrice (coucou Mo!) et lui dire en passant "Oui je me dépêche et j'arrive prendre un café"! :o)

Pas de bol

Il y a des choses contre lesquelles on ne peut rien. Ainsi le plus puissant des gels fixants ne peut rien contre mon épi...

15.12.05

Ah! Le "Tchat"!

Moi: Hey ça va?
Lui: bien et toi?
Moi: Cool. Quoi de neuf?
Lui: Pas grand chose. Ah si, je rencontre un mec du tchat ce soir
Moi: Ah Bien! raconte
Lui: Ben pas grand chose en fait il est pas trop mon genre
Moi : Mais?
Lui: Mais il est cool on discute bcp, sympa. Tu crois que je dois mettre un slip propre?
Moi: Pq? Ce serait dommage de prendre autant d'avance sur noël ;o))
Lui : loooooooooool mdr. Mais non? Sérieux?

Parfois pas mécontent de ne pas avoir l'écran en odorama!

Education

Bon c'est bien le chat! Oui! tu as bien appris à foutre le bordel! Bravo! Maintenant, il va falloir que je t'apprenne à tout ranger...

C'est bon de le dire

Dans la série tolérance et droits égaux, c'est bon de le rappeler par moments...
Un petit film qui me fait sourire et qui est tellement vrai! Regardez donc!

14.12.05

Parfois j'ai peur...


Selon un sondage TNS-Sofres réalisé la semaine dernière et dont les résultats ont été publiés aujourd'hui:

  • 24% des Français se disent d'accord (assez et tout à fait) avec les idées défendues par Jean-Marie Le Pen
  • 25% approuvent le discours du FN sur la problématique des banlieues
  • 33% voient Le Pen au second tour en 2007

Gloups... La france, c'était pas le pays des droits de l'Homme?

Plus de détails

Humeur # 60 (déjà?)

J'ai souri benoîtement toute la journée... Quelle belle journée! Pourvu que ça dure!

Links

On dit de lui que c'est un sage, un grand Monsieur.
J'ai dit de lui qu'il semblait être un bol d'air pur.
Ils sont en couple et semblent s'aimer, c'est beau à lire.
Ils blogguent tous deux et j'aime beaucoup...

Ils font un concours?

Deux petits princes pour Laurent et Claire
La princesse Claire a donné naissance à deux garçons, mardi soir, à Saint-Luc. (lire la suite)
Ca n'arrête plus! A cette allure-là, il n'y aura bientôt plus de place au Palais. Le parc est grand d'accord mais bon. Alors? Ca nous en fait combien? Philippe et Mathilde: 2 ou 3 je ne sais plus. Astrid et Lorenz : 5 ou 18. Laurent et Claire : 3 maintenant. Et le pire, il y a peut-être l'un ou l'autre bâtard qui traîne dans un coin mais ça, discrétion oblige, nous n'en parlerons pas... Y a pas à dire, la famille royale travaille pour la patrie!
Conclusion : Il y a des chances pour qu'ils n'aient pas le câble à Laeken!
(source : La Libre Belgique, 14 déc. 2005)

Ephémérides # 26

Bon Anniversaire, Mamie!

Effarant!

Vous êtes quand même une petite bande de concierges! On dirait moi!! ;o))

13.12.05

Tookie est mort


Et je continue de croire que les gens peuvent changer... Il en était la preuve. Juste une pensée, pas grand chose certes mais une pensée quand même. Je reste persuadé que la plus grande erreur en ce 21è siècle reste l'assassinat au nom de la justice. L'abolition de la peine de mort dans les états dits démocratiques reste un combat juste mais toujours à mener. Et si vous vous étiez trompé, M. Schwarzenegger?

J'avais jamais fait ça

Mais au fond, je ne regrette pas...
Extraits choisis (très subjectivement, j'en conviens):
"Je vous épargnerai les détails de ma fin de journée... pour en arriver à mon retour devant mon ordi... au delà des habituels spam et des rares commentaires un mail... tiens je connais pas cette adresse... tiens c'est lié au blog... OOOHHH AAAHHH... EUHHHH Comment dire... un mail troublant... mais pas dérangeant... qqu'un qui a lu mon blog et qui trouve que j'ai de l'humour de la conversation etc... et qui voudrait mieux me connaître... (...) Mais j'aime le style et l'humour qu'il a mis dans son mail... Que fais je? Je réponds? je réponds pas? je réponds? je réponds pas? Je réponds (...) Enfin ce matin réponse à mon mail... J'ai bien fait de lui répondre il m'a fait rire... C'est toujours sympa de commencer sa journée en riant!!! "
Certains crieraient "BINGO", pas moi! L'échange de mails se poursuit. Le ton est donné et le rendez-vous est pris. Bref, je n'ai qu'une crainte c'est que son blog ne soit qu'un leurre mais ça on verra bien!
Y aura-t-il une suite? Je sais, le suspense est encore plus insoutenable qu'à la Star Academy...

12.12.05

Je n'ai jamais fait ça

J'avais observé un profil sur un site de rencontres, profil qui a priori semble sympa mais qui reste pour le moins évasif. Voilà que, par le hasard des liens qui vous mènent inlassablement à voguer de blog en blog, je tombe sur son blog à lui. Et là, découverte... Je le lis de bout en bout, from cover to cover! Plein de détachement, d'humour, de sensibilité aussi et même de l'intelligence, celle du coeur, la sociale, bref celle que j'aime sans la douceur mièvre dans laquelle je me répands parfois. Attention, je n'ai jamais cru que ce garçon était un monstre mais la lecture du profil ne poussait pas à aller voir plus loin.
Soit! Cette lecture me donne envie d'aller voir derrière ce qui se passe, de découvrir vraiment, humainement.
Que fis-je donc? Quelque chose qui ne me ressemble pas. A défaut de prendre ma plus belle plume, j'ai fait craqué mes doigts et me suis mis à tapoter sur mon clavier. Clic. Le mail est envoyé! Je n'ai jamais fait ça moi! D'initiative, me lancer dans la prise de contact. Qu'est-ce qu'il faut écrire? Non, c'est too much, ça fait trop "je suis tombé sous le charme", je peux pas être séduit, je l'ai jamais vu. Non, trop naze, trop niais, trop bête, trop pédant. P*****! Ca doit quand même pas être si compliqué d'envoyer un message qui dit en substance :
"La lecture de ton blog me laisse supposer que tu es quelqu'un d'intéressant et apprendre à te connaître mieux et communiquer un peu avec toi me ferait plaisir"
Et le faire sans (trop) passer pour un crétin ou un gros dragueur à 3 balles(et si possible avec une touche d'humour). Ben si! c'est compliqué, du moins pour moi...
Quinze fois je l'ai recommencé, recorrigé et je ne suis évidemment pas satisfait du résultat.
Quoi qu'il en soit, il est envoyé... Une chose est sûre, maintenant, je reste les yeux rivés sur mon écran à attendre une réponse! J'avais pas dit que je devais préserver mon coeur et mes nerfs moi?

Tu te reconnaîtras

Did I disappoint you or let you down?
Should I be feeling guilty or let the judges frown?
'Cause I saw the end before we'd begun,
Yes I saw you were blinded and I knew I had won.
So I took what's mine by eternal right.
Took your soul out into the night.
It may be over but it won't stop there,
I am here for you if you'd only care.
You touched my heart you touched my soul.
You changed my life and all my goals.
And love is blind and that I knew when,
My heart was blinded by you.
I've kissed your lips and held your head.
Shared your dreams and shared your bed.
I know you well, I know your smell.
I've been addicted to you.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
I am a dreamer but when I wake,
You can't break my spirit - it's my dreams you take.
And as you move on, remember me,
Remember us and all we used to be
I've seen you cry, I've seen you smile.
I've watched you sleeping for a while.
I'd be the father of your child.
I'd spend a lifetime with you.
I know your fears and you know mine.
We've had our doubts but now we're fine,
And I love you, I swear that's true.
I cannot live without you.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
And I still hold your hand in mine.
In mine when I'm asleep.
And I will bear my soul in time,
When I'm kneeling at your feet.
Goodbye my lover.
Goodbye my friend.
You have been the one.
You have been the one for me.
I'm so hollow, baby, I'm so hollow.
I'm so, I'm so, I'm so hollow.
(James Blunt, "Good Bye My Lover", Back to Bedlam, 2004)

Des méfaits de l'alcool

Mi dispiace piccolo Romano che ho incontrato ieri sera. Stavo totalmente ubriaco è sembra che ero orribile con te quando sei venuto a parlarmi. Scusa! Non volevo! lo giuro, la prossima volta che te vedo, vengo a te per scusarmi... Mi dispiace veramente...

Poncife

L'abus de genièvre fruité nous aide à sentir nos cheveux pousser

11.12.05

Question # 40

Et pourquoi, du coup, j'ai envie d'aller passer un week-end à Lille?

10.12.05

Impatient? Pas vraiment
Nerveux? Non plus
Angoissé? Pas le moins du monde
Mais pourquoi alors?
Simplement parce que l'intérêt est sincère et parce qu'il faut que tu sois plus qu'une image

C'est ainsi

Je n'ai nulle honte d'avoir choisi de ne pas m'y rendre, je suis sûr que l'intéressée comprendra. A quoi bon aller quelque part et tirer la tête? Les fausses obligations liées au passé m'ennuient prodigieusement et le souvenir catastrophique d'un anniversaire pas si lointain ne me donnait guère l'envie de me rendre en rase campagne pour m'y sentir prisonnier et gâcher la fête de tous. Dans ces cas-là, mon absence est certainement plus profitable qu'une présence pesante et agaçante.
Néanmoins, j'espère que ta petite fête était réussie...

felix sopor

Oui, je l'admets sans fausse honte, j'ai un caractère de chien et suis systématiquement d'une humeur de cochon au réveil même si celui-ci est naturel. Le matin est, pour moi, synonyme de silence absolu qui ne peut être troublé logiquement que par la voix d'une présentatrice de journal radiophonique. En fait, je me sens si bien dans les bras de mon doux Morphée et ma couette est si chaude et confortable que l'idée de les quitter m'est chaque matin insupportable. Il faut juste laisser le temps à l'enfant de s'habituer à devoir quitter les bras et la chaleur maternels pour qu'il se calme. Mon sommeil est un bien précieux auquel on ne touche pas. Ne me demandez pas pourquoi, c'est ainsi depuis l'enfance, j'ai besoin de beaucoup de sommeil. Qu'on le conçoive ou non m'importe peu, c'est ainsi et il est impensable pour moi de surgir de mon lit un jour de week-end avant midi. Je sais d'expérience que mon humeur matinale a le chic de freiner, voire d'arrêter, toutes les meilleures intentions - n'est-ce pas mon frère?- mais sachez que ce n'est pas pour ça qu'au fond de moi je ne les apprécie pas...
En deux mots, oui j'ai apprécié ton message ce matin, il m'a fait sourire spontanément mais le "Grmblmblmmblmm" a, comme à chaque fois, pris le dessus...

9.12.05

Envie d'y aller? Oui! Envie!

Souvenir d'adolescence

Close your eyes, give me your hand, darling
Do you feel my heart beating, do you understand?
Do you feel the same, am I only dreaming?
Is this burning an eternal flame?

I believe it's meant to be, darling
I watch when you are sleeping, you belong to me
Do you feel the same, am I only dreaming
Or is this burning an eternal flame?

Say my name, sun shines through the rain
A whole life so lonely, and then you come and ease the pain
I don't want to lose this feeling

Say my name, sun shines through the rain
A whole life so lonely, and then you come and ease the pain
I don't want to lose this feeling

Close your eyes and give me your hand
Do you feel my heart beating, do you understand?
Do you feel the same, am I only dreaming
Or is this burning an eternal flame?

Is this burning an eternal flame?
An eternal flame?
(Close your eyes and give me your hand
Do you feel my heart beating, do you understand?
Do you feel the same, am I only dreaming
Or is this burning an eternal flame?)

(The Bangles, Eternal Flame, 1989)

Humeur # 59

J'ai hâte

8.12.05

Humeur # 58

2 yaourts et au lit!

Blues

Il y a des moments où je me sens à fleur de peau, je ressens le frisson parcourir toute ma ligne dorsale et tous mes poils se hérisser un à un. Je suis là, comme écorché vif et me prends tout ce qui passe comme une gifle. C'est ainsi que le regard de ce garçon assis à la table de ce bar a pu me troubler de la sorte. Non qu'il fut beau, ceux qui me connaissent savent que ce n'est pas tant la beauté qui peut me faire vibrer, même si elle ne gâche rien bien entendu, non ce n'était pas ça. Il n'était pas joli mais il émanait de ce regard une douceur envoûtante qui me scia sur le champs bras et jambes. J'y percevais de la gentillesse et de la tendresse et voulais y percevoir de l'intérêt. Je restais là de longues minutes, silencieux, à le contempler, à tenter de capter une nouvelle fois ce regard presqu'angélique et y parvins, plusieurs fois. Je me suis effondré lorsque je le vis embrasser son compagnon à gorge déployée. Je suis resté là, feignant l'indolence. Puis je suis parti, arpentant les rues, voulant redécouvrir la ville. Je devais voir autre chose, vider mon esprit de cette image qui me blessait. J'ai marché, longuement, j'ai erré. Et lorsque j'ai réalisé que mes pas me guidaient vers chez moi, j'ai compris...
Je voudrais que Laurent m'aime!

7.12.05

:-S

Il y a vraiment des moments où je me dis que l'expression "C** comme un manche" a été créée pour moi!

Une bonne leçon

J'aurai appris, à mes dépens, qu'un aspirateur ne peut tout aspirer. Cependant, pièces et billets n'y résistent pas...

Une belle journée d'automne



Ephémérides # 25

bon Anniversaire, Ma Farouche!

6.12.05

Qu'on se le dise

Je déteste les chaînes de lettres. Cette mode s'est mis à l'e-mail et il m'en arrive deux ou trois par jour. n'étant pas superstitieux, je les brise systématiquement. Ca m'éneeeeeeeeerve!
Alors, par pitié, soyez gentils mais oubliez-moi quand vous en recevez une, oubliez que je puisse être l'un de vos contacts, ça m'irrite m'agace et me met de mauvaise humeur pour une bonne demi-heure. Peut-être est-ce la raison de mon manque de chance et de ma maladresse légendaires mais je m'en contrefous, je n'en ai rien à fiche. Lâchez-moi avec vos pseudo-chaînes de bonheur et tentez de vous le construire vous-mêmes déjà, ce sera pas mal!

Merci Saint-Nicolas!

Youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie!

C'est vraiment un beau cadeau! Plus qu'un mois!

La Vie en couleurs

Merci mon grand frère pour ce petit moment. décidément, le 6 décembre est bel et bien le jour du retour en enfance pour l'adulte forcé que j'ai dû devenir. J'ai envie de recommencer à croire en Saint-Nicolas et de recommencer à récolter des cadeaux ce jour-là.
Quoi qu'il en soit, la vision de tes vidéos, et surtout celle de la partie du concert, de Rémy Bricka ont fait renaître cette part d'enfance pas si enfouie en fait... Quels souvenirs voyons, presqu'aussi forts que ceux de Chantal Goya. Je l'admets sans honte, l'homme-orchestre a bercé mon enfance, il m'enchantait me subjuguait avec ses feux d'artifice, ses colombes et son éternel costume blanc surmonté de son chapeau claque tout aussi blanc que sa guitare et sa grosse caisse... Quel enfant de mon âge n'a-t-il été fasciné par lui? J'ai un sourire idiot et une folle envie de chanter à tue-tête en frappant dans les mains, merci mon frère!
C'est la vie en couleurs
Tiens voilà le marchand de ballons
C'est des cris et des pleurs...
Aaaaaaaargh je ne me souviens plus de la suite! Qui peut m'aider?

Aveu de circonstance

En ce jour, je me dois de l'admettre publiquement mais j'ai toujours craint l'arrivée du Grand Saint étant enfant. Le mois de décembre approchant, je tentais l'impossible pour éviter d'accompagner mes parents dans les centres commerciaux. Ce grand monsieur à la longue barbe et à la crosse géante m'intimidait au point de me faire pleurer à chaudes larmes. Je refusais de grimper sur les genoux du bonhomme pour la traditionnelle photo, au grand bonheur du portefeuille de mon père (ça je ne le compris que bien plus tard évidemment). Je n'acceptais d'y aller que si son compère, le Père Fouettard, était lui aussi présent. Je ne sais pas pourquoi mais ce dernier m'inspirait plus de confiance tant il dégageait plus d'humanité que le vieillard.
Même si des fois... Bref. J'aimais savoir qu'il ne m'oublierait pas lors de sa tournée mais n'aimait guère le croiser. Et je dispense quiconque de trouver un parallèle entre mes traumatismes et désirs d'enfant et certaines de mes préférences actuelles!

Incendie aux Jeux d'Hiver

Apprendre que la célèbre discothèque bruxelloise du bois de la Cambre a été incendiée la nuit dernière me choque. Non que je sois un afficionado de l'endroit, au contraire, mais va-t-on assister, du coup, à une déferlante petzouille dans le bas de la ville?
Plus sérieusement, c'est le principe de l'incendie criminel qui m'effraie. Des règlements de compte à la sauce TV Soap américain m'étonnent, surtout à moins de 2 kilomètres de chez moi... Quoi qu'il en soit, je n'ai jamais cru qu'on réglait ses comptes de cette façon.

Ma liste au Grand Saint

Grand Saint-Nicolas,
Même si je ne suis plus un écolier (dommage), je ne peux m'empêcher de vous envoyer ma petite lettre annuelle même avec un peu de retard pour votre distribution de la nuit passée. Mais, ne vous inquiétez pas, j'ai préféré laisser passer le rush, histoire que vous ayez le temps de la lire et d'y apporter toute votre attention.
En fait, je n'ai pas de demande particulière si ce n'est que comme cette année, j'ai vraiment été très sage, je vous demanderais juste de m'épargner pour une fois les speculoos. Non, s'il vous plaît, pas de spéculoos! Je n'aime pas ça, n'ai jamais aimé ça. J'ai, depuis ma plus tendre enfance, toujours cru qu'il s'agissait de biscuits qui étaient faits pour les enfants qui n'étaient pas sages. Vous n'imaginez pas à quel point vous m'avez martyrisé toute ma jeunesse en m'en apportant systématiquement. J'avais beau redoubler d'efforts et être le plus gentil des agneaux une année durant, immanquablement, je découvrais sur la table ces maudits biscuits qui finissaient toujours dans l'estomac de ma soeur ou de mon père. Maintenant que je vis seul, je vous saurai gré de tenir compte de ma requête et de ne m'apporter que de ces délicieuses figurines en chocolat dont je raffole et quelques mandarines.
D'avance, je vous en remercie
khoyot
PS Le lait et la carotte sont dans le frigo, n'hésitez pas, servez-vous (les verres sont dans l'armoire juste au-dessus). Merci de demander à votre âne de ne pas vider la gamelle du chat.
PS(2) Pourriez-vous aussi demander au Père Fouettard de me rayer de ses listes d'enfants pas sages, j'ai fini par grandir quand même!

Au passage,

Bonne fête, Nico! ;o)

Tu es bien le seul à qui je pense le jour de sa fête puisqu'il n'est pas dans nos habitudes belges de le faire... Mais bon, en Belgique, on n'oublie pas le 6 décembre

Aujourd'hui au menu : CHOCOLAT!


Sinterklaas kapoentje

Gooi wat in mijn schoentje

Gooi wat in mijn laarsje

Dank U Sinterklaas

ou encore...

Grand Saint-Nicolas, patron des écoliers

Apportez-nous du sucre dans nos petits souliers

Je serai toujours sage comme un petit mouton

Et ferai mes prières pour avoir des bonbons

Venez venez Saint-Nicolas

Venez venez Saint-Nicolas

Venez venez Saint-Nicolas

Et tralala...

5.12.05

Question # 39

Et pourquoi pas une brasserie de bonne tradition bruxelloise, ma Farouche, pourquoi pas des ballekes ou un stoemp?

Outing

Quelqu'un connaît-il la signification de ce nouveau panneau que l'on croise tous les trente mètres dans l'une des rues bruxelloises de mon quartier? L'administration communale ferait-elle de l'Outing forcé en posant cette signalétique dans les rues de sa commune, se disant que dans ce quartier-là, ils ne se tromperaient que de très peu? Etrange...

Lîîîîîîdj power


On se sent pousser des ailes à Liège. Est-ce la pluie? L'agitation du train? Le miracle de Noël approchant? La venue du grand Saint?

Je ne sais pas... Quoi qu'il en soit, on se sent vraiment pousser des ailes à Liège. Fatigué mais content...

A moins que ce ne soit à cause de ça?

4.12.05

Vodka ou Perrier?



J'ai toujours aimé ces soirées qui, bien que non improvisées, vous apportent toujours leur lot de surprises agréables ou non. ce soir, dîner chez un couple de connaissances. Dîner agréable et intéressant, doublé d'une cuisine excellente, ce qui ne gâche rien. Petit jeu de société peu flatteur. Il va sérieusement falloir que je retravaille mon image moi! Black Box est un jeu qui ne ménage aucune susceptibilité puisque tout est dit sous couvert de l'anonymat. Pas grave! On sourit et on continue car, au fond, j'ai assez d'autodérision et puis le jeu est drôle.
Et puis... un verre en ville. Un verre seulement, je dois me lever tôt. Enfin pas trop tard. Et surtout le champagne, le vin et les vodkas m'ont déjà achevé.
Direction centre-ville. chez Maman. Mouais. Sans plus. Les 5 se dispersent, dure loi de la jungle gaye bruxelloise. Non on ne reste pas. Next? pourquoi pas? Mais ce sera sans moi. J'accompagne le groupe jusqu'à l'entrée. Tombe sur N. Je n'aurais pas dû. Ce n'est pas sa soirée et je n'aime pas ça, n'aimerai jamais ne pas le voir sourire. Même s'il a toujours été avare en sourire. Instinctivement, malgré le trop plein d'alcool, je le sens nerveux, pas bien. Je le laisse partir sans tenter de le ratttraper. Il n'aimerait pas. Pendant ce temps, ils sont tous rentrés, partis pour cette soirée dans laquelle je ne peux me résoudre de rentrer. Retour rapide Chez Maman. enfin...rapide? Fallait-il que je tombe sur ces vieilles copines qui venaient fêter l'anniversaire de ce bar... Résultat des courses, il est 5h35 et il est plus que temps pour moi de filer au lit. Soirée sans tabac certes, mais compensée par (beaucoup) trop d'alcool. Je ne veux pas être décavé demain. Liège m'attend. Et je veux y paraître bien...

3.12.05

Concordance des temps

j'aimais
j'ai aimé
j'aimerai

je n'aime plus

Ju, on y va quand?

Je ne m'écorcherai pas. Je ne veux pas.

songe

J'ai trouvé ta consigne sous un cageot d'endives
Des vaisseaux qui se bouchent face aux plaies trop béantes
Un chat effarouché par trop d'eau froide
Qui désirerait sentir la caresse de la main qu'on lui tend
Tu donnes encore bien malgré toi
Et le sourire qui naît aux commissures des lèvres
Est un cadeau volé, une petite part de rêve

2.12.05

Humeur # 57

Je gagatise! C'est dramatique mais par moments je m'inquiète moi-même

APN

Je sens que ce blog va tout doucettement se colorer et se voir parsemé de davantage de photos. Ben oui! Mon état compulsif de cet après-midi a mené mes petits petons (et le large corps qui leur est indissociable) sur la moquette de la Fnac... Et cédant au flot de paroles du beau Coram, je n'ai pas résisté à la tentation de m'offrir un petit appareil photo numérique. Oh rien d'extraordinaire ni de bien onéreux mais bon... On n'a que le bien qu'on se fait! Et puis au moins comme ça, ma Farouche adorée, je les aurai les photos de notre prochaine escale à Lisbonne. by the way, tu les fais développer quand les photos de Rome?

J'aime bien... ;o)



Mea culpa

J'ai une légère (???) tendance à la compulsion et me retrouve assez facilement dans l'état de l'enfant dans un magasin de jouets. Je suis une gadget-victim. Cependant, si Carrie Bradshaw a dépensé le prix de son appartement new-yorkais en chaussures, je n'aurais guère eu l'occasion de m'offrir que la porte d'entrée. Oui, avec les clés, quand même.
Et bien! Vous voyez que je suis raisonnable!

"A la queue leu leu" (air connu)

Je reste toujours autant étonné, sidéré de voir le temps qu'un chômeur perd à faire la file.
File au bureau de pointage (bientôt supprimé, certes, mais toujours d'actualité). File au Syndicat pour remettre sa carte de pointage. Nouvelle file au Syndicat pour recevoir une nouvelle carte de pointage; celles-ci sont remises avec une parcimonie telle qu'elle est de bon augure pour votre recherche de nouvel emploi (ou d'un optimisme béat). En sachant qu'auparavant, le chômeur a dû faire ces mêmes files en plus de celle à l' Office Régional pour l'Emploi afin de s'inscrire comme demandeur d'emploi (usons du politiquement correct). Je pars maintenant faire une file qui va me prendre au-delà de la matinée. d'aucuns penseront qu'il s'agit d'un bon moyen de lutter contre le travail au noir, je considérerai qu'il s'agit d'une perte de temps. Temps que j'aurais pu mettre à profit pour démarcher une nouvelle fois les agences d'interim de ma ville ou pour envoyer, via mail, quelques candidatures spontanées.

1.12.05

On avance

La Chambre des Représentants (l'Assemblée Nationale Belge) devrait voter aujourd'hui la proposition de loi concernant l'adoption d'enfants par les couples du même sexe (lire l'article). La Belgique décide enfin de reconnaître l'homoparentalité. Car, l'homoparentalité est un fait et clarifier juridiquement la situation de milliers d'enfants est un besoin. Mais, en outre, il est temps de cesser de se voiler la face, la volonté de maternité ou de paternité est présente et tangible auprès des gays, garçons ou filles. A cette heure, le vote n'a pas encore eu lieu. Je suis, passionné, les débats en cours sur le site de La Chambre car, ici, dans notre plat pays, la télévision publique ne juge pas bon de retransmettre les débats parlementaires.
En deux mots, pour l'instant Melchior Wathelet JR, député CDH (chrétien-démocrate) tente de nous expliquer qu'il y a lieu, dans une volonté de non-discrimination, de faire la différence entre les enfants nés des amours légitimes d'un partenaire devenu (?) gay par la suite et l'adoption proprement dite par un couple homosexuel.
Il va de soi que pour lui, il est aussi nécessaire de mettre au point un mécanisme de "parenté sociale" pour le partenaire restant dans le cas d'un enfant élevé par un couple homo mais dont l'un des partenaires est le père ou la mère biologique de l'enfant.
Son discours est long, fastidieux et incohérent. Il devrait être vain même s'il est acquis que le Sénat devrait reprendre le dossier par la suite, histoire, pour la droite, de gagner encore un peu de temps...

mute

J'observe souvent ta présence et te vois. Je reste là immobile et muet. Tapi. Reclus comme un damné.
Parfois, je marque la mienne et j'attends, immobile et muet. Puis, ne voyant rien venir, je m'installe et m'impose, inéluctablement.
Tes silences me lacèrent

Humeur # 56

Ca fait du bien un p'tit coup de gueule de temps en temps

Doléance

Surtout ne te sens pas tenu par la moindre des obligations et encore moins par la plus élémentaire des politesses, cela risquerait de me faire penser que je suis digne de respect! Ne t'inquiète donc pas, je ne serai jamais à ce point impudent!

Egotisme? Sans doute!

Aux inévitables questionnements sur l'utilité d'un blog et aux bons conseils sur ce qu'il faudrait ou non y poster, invariablement je répondrai par un cinglant mépris. A tous ceux qui croient me connaître parce qu'ils ont lu mes lignes, j'ai envie de dire que je suis sans doute plus que ça et que je ne tolèrerai jamais de quiconque la moindre tentative d'influer sur ma vie et la façon dont je la conçois. Si j'accepte, et apprécie, le partage d'expériences, je refuse l'ordre même déguisé en conseil directif.
Je ne suis ni en colère ni blessé, je suis seulement agacé!

Retour d'âge

Il semblerait que MSN me fasse retomber en enfance... Je me rends compte que chacune de mes conversations par ce biais est inévitablement ponctuée d'improbables "Et pourquoi?".
Merci Microsoft de me (re)donner cette illusion de jeunesse :o)

Il a déjà quitté ma table de chevet


et je le regrette déjà. Ca se dévore tout simplement, comme tous ses romans d'ailleurs. Je suis incapable de faire ne fût-ce qu'un semblant de critique littéraire mais il est des émotions qu'on ne retrouve que dans la lecture. Philippe Besson a depuis En l'Absence des Hommes su m'envahir de son univers littéraire à la fois simple et malin. Je ne pourrais vous en dire plus si ce n'est, ruez-vous dessus!
(Philippe Besson, Un Instant d'Abandon, Julliard, Paris, 213p.)

Ephémérides # 24

Bon Anniversaire, MH!

J'y tiens


1er décembre

Journée Mondiale de Lutte contre le Sida.

Même si la lutte dure toute l'année...

Humeur # 55

N'en déplaise à certains, je suis ici seul maître à bord!