28.2.06
Question # 60
27.2.06
Bizarre
Chauvinisme
25.2.06
Par le hasard du net,
Si je t'avais cherché, je t'aurais retrouvé plus vite encore, j'ai laissé faire les choses, laissé parler le hasard. Par le biais d'une recherche qui venait de chez toi et qui menait à moi, remonter le cours de la rivière et voir apparaître ton fond blanc. Le pseudo est le même, la plate-forme évidente, elle est celle de bien d'autres cependant.
Je t'ai lu sans laisser de trace, n'en laisserai guère d'ailleurs. Car si cela n'émanait de toi, c'est que tu ne le désirais pas. Je n'en suis point vexé, ni blessé ni amer; je suis une fois de plus ébahi par la beauté des textes. Le style est plus tranché, plus pur, plus direct, pas toujours moins noir, à mes yeux, plus digeste.
Peut-être passes-tu encore, des fois, par ici, comme on se croise par hasard dans une salle des pas perdus. Je reste en haut de l'escalier et te regarde monter, voir ton bonheur me plaît, lire tes doutes me peine. Tu as compté et comptes encore; je ne serai jamais de ceux qui oublient...
24.2.06
Faites de lui une star !
Prendre le temps
Pourtant, ce week-end, j'ai décidé de prendre le temps de vivre. Doucement. Gentillement. Calmement. Je m'apprête à croiser finalement le regard de certains, à entendre leur voix, à observer leur gestuelle, à sentir leur odeur. Le moment de la découverte réelle d'une personne (en l'occurence de plusieurs) est un de ces moments comme je les aime tout particulièrement. Je me refuse toute forme d'attente et essaye de laisser faire les choses. mais ces moments sont très souvent riches, en apprentissage de l'autre, en apprentissage de soi. Je le devine riche, ce week-end, pas trépidant mais riche. Je sais que je vais rencontrer des gens à l'intelligence, la pertinence et à la culture bien plus étendues que les miennes mais cela ne m'effraie pas, au contraire, cela me stimule.
D'autre part, j'ai déjà entendu la voix d'un reproche face à mon manque de disponibilités qu'implique cette venue. Cela aussi ça m'intrigue, ce genre de rencontres fortuites comme je les affectionne, cette suite donnée paisiblement aux regards lancés puis échangés, aux premières discussions qui s'engagent, aux premiers échanges de vive voix, aux premiers repas partagés, à ces appels emplis de rien, donnés comme un signal de présence, aux premiers sommeils enlacés. J'aime ces moments-là, non pas tant parce qu'ils induisent un enthousiasme spontané lié à la nouveauté mais parce qu'ils vous forcent à deviner l'autre, vous intriguent, vous donnent envie (ou non parfois) de creuser. J'ai toujours adoré devoir chercher ce que signifiait tel geste ou tel regard chez l'autre, m'insurger de ne le point connaître par coeur encore.
Et puis, il y a tous les autres, tout le reste, tout ce que je voudrais faire, voir, entendre, découvrir. Tout ce que je ne connais pas, tous ceux que je ne connais pas, tous ceux que je voudrais connaître, tous ceux que je voudrais revoir, tout ça me donne encore plus envie de prendre le temps de vivre tout simplement.
Ah ! Qu'elle est belle la vie !
Mais quand ?
Depuis peu, je passe mon temps libre à dévorer roman sur roman, il faut dire qu'une heure de train par jour, ça vous laisse le temps de parcourir quelques pages , je me suis aussi rendu plusieurs fois au théâtre, je suis sorti aussi mais je n'ai plus mis les pieds au cinéma, je n'ai plus vu un film digne de ce nom depuis... je n'ose y songer ! Et pourtant, il est bon nombre de films qu'il me faudrait voir, du secret de Brockeback Mountain à Munich en passant par Le Temps qui reste, je n'en ai vu aucun, pas même Les Bronzés, pas même le quatrième volet d'Harry Potter. Il est grand temps de pallier cette carence !!! Mais quand ?
Eltan est content !
Aujourd'hui, c'est vendredi ! ;o) Et demain, c'est samedi ! Là c'est moi qui suis content...
PS La partie logistique pure est réglée
23.2.06
En train de lire (ma table de chevet) # 06
Mon (humble) avis :
On croit souvent qu'il est plus facile de parler du livre lorsqu'on l'a tout juste refermé, juste après ce soupir et ce regard lancés dans le vide, comme si l'on espérait que les personnes qui se trouvent dans le même wagon ressentaient la même chose que nous. Ce soupir, ce regard, je viens de les poser, tout comme je dépose cette oeuvre tout juste achevée sur la tablette du train. Je reste muet, de ce silence éloquent qui indique tout de bon. Je suis encore dans ce flottement où l'on n'a envie que d'annoncer aux autres un énorme "lisez-le et vous saurez !". Le roman de Philippe Besson n'est pas du genre à vous transporter d'enthousiasme ou de peine, d'empathie spontanée, d'emphase lyrique. Non ! Rien de tout cela ici. La lenteur et la douceur mélancolique sont amenées par le ton, on se laisse baigner par les flots de la mer, et tout doucement, on se laisse gagner par la langueur de l'automne arrivant. Tout y est calme et sobre, déchirant et beau. Rien, ici, n'est véritablement comparable à d'autres de ses oeuvres, la seule récurrence, chez Besson, est son humanisme profonde et son approche de l'humain, sa description sans fards et sans jugement. Indéniablement, d'une grande valeur !
En train de lire (ma table de chevet) # 05
Mon (humble) avis :
Etrange que les sentiments qui m'ont traversé à la lecture de ce livre. Tour à tour, j'ai eu envie de rire de ce que je lisais, de pleurer, de brûler ce livre, de le jeter, de pas l'achever, de courir l'auteur et le gifler. Je ne connaissais pas Patrick Besson, j'ai acheté l'ouvrage uniquement sur son 4è de couverture. Erreur ? Je ne sais pas. une chose est sûre, s'il voulait remuer, choquer, chez moi, il a atteint son but. En me documentant un peu, merci le net, j'ai appris d'autres choses sur Patrick Besson qui me font voir son oeuvre autrement. Je crois juste que j'ai encore besoin de la digérer un peu. Je retranscris d'ailleurs ici le texte qu'Alice Granger avait publié sur www.e-litterature.net qui en dit plus et mieux que moi sur l'auteur et son écrit.
A propos de Lui, Patrick BESSON
Editions Albin Michel.
Ce roman de Patrick Besson réussit un tour de force : celui de condenser en une seule analyse la fin d'un couple, celui que le héros du roman faisait avec Mylène, l'analyse de ce monstrueux héros du vingtième siècle que fut Adolf Hitler à partir de son enfance, son père et sa mère, l'échec à l'Académie des Beaux-Arts, et le constat de la victoire actuelle de la Grande Allemagne et de sa zone mark étendue à la Bulgarie, la Roumanie, la Pologne, la Yougoslavie, tous ces pays où les Juifs ont quasiment disparu, cette dernière victoire résonant en concordance avec un style de vie mondialement suivi et pourtant promu par Hitler, à savoir le goût de la nature, l'écologie, le sport, les salles de gym, cette mise en rang pour une vie cool, saine, style jeune bien dans ses baskets comme Hitler dans ses pantalons courts et ses week-ends à la campagne, bref cette victoire au niveau du village planétaire de l'enfance nazie sur l'âge adulte démocratique, ce retour dictatorial sur le mode soft du naïf, du sucré, du simplet, l'idéal étant d'être d'adorables petits bourgeois ne vivant que dans leur confort moral et physique.
Lui, le héros du roman, est riche, directeur d'une agence de publicité, il a tout pour baigner dans un bonheur très confortable. Dans son agence, il est peu à peu étouffé par le climat de forte compréhension affectueuse, désintéressée, démocratique, et à la maison Mylène s'occupe de tout. Sauf qu'elle avait décidé d'avorter de leur enfant, et puis un beau jour de partir. Cette vie si sucrée, si confortable, si à l'abri de tout, ne pouvait durer, une vie ressemblant si étrangement à celle du peuple mis au pas par Hitler, peuple jeune éblouissant son führer, élégant, plein de vie. Mylène s'en va, comme la mère d'Adolf Hitler mourut juste après que son fils lui fit ce mensonge, lui dit qu'il avait réussi l'Académie des Beaux-Arts alors qu'il avait échoué. Cette vie dorée de Lui avec Mylène n'était-elle pas aussi un mensonge, mensonge du confort, mensonge d'être pour la vie à l'abri de tout sauf de l'ennui ? Roman qui met en relief les fameuses deux possibilités que Hitler voyait toujours, se faire battre (comme le petit Adolf se faisait battre par son père très froid et sans cesse soucieux que tout soit en ordre, à sa place y compris son fils, et comme il se fit battre par les grands chefs occidentaux après les avoir défiés) et en même temps être victorieux (Hitler chef éblouissant du jeune peuple allemand mis en ordre et au pas, Hitler défiant le monde entier, puis aujourd'hui la puissance de la Grande Allemagne et de sa zone mark, la victoire planétaire d'un style de vie nature et cool qu'aimait et promouvait Hitler, et dans ce roman le très ambigu intérêt du Mossad israélien pour la réincarnation d'Adolf Hitler, intérêt justement pour la mise en acte des deux possibilités et pour cet entre-deux dans lequel le héros dictateur-initiateur du rôle perdure anonyme au sein de son peuple mondial ébloui de confort cool).
Lui, après le départ de Mylène, qui s'avère à la fin définitif en même temps qu'elle est enceinte d'un autre homme, se rend chez une hypnotiseuse. Sous hypnose, il dit, en allemand, langue qu'il ne connaît pas, des discours deHitler prononcés à Munich avant 1935, Munich ville où Hitler connut le sentiment éblouissant de sa victoire. Lui s'avère la réincarnation d'Adolf Hitler. Alors que jusque-là, il était ardemment contre le racisme et le nazisme, et installé dans son confort bien sûr. A partir de là, il intéresse le Mossad israélien, dont peu à peu le roman nous révèle que le psychanalyste Durand, le professeur Strauss spécialiste en hitlérologie, sa fille Hanna, sont des membres. Comme si, dans le roman, le Mossad, en fin de compte, tenait à prendre de la graine de son ennemi numéro un, de même qu'Hitler prit de la graine, pour sa propagande nazie, de ses ennemis les bolcheviks. Perdre et gagner en même temps. Secrètement.
Pèlerinage hitlérien qui commence. Braunau ville de naissance d'Adolf Hitler, Vienne, bref l'Autriche où après avoir perdu son père Adolf hérite de la liberté de ne pas avoir à être comme lui un fonctionnaire n'en revenant pas de sa vie si confortable à l'abri de tout, et où, après avoir perdu sa mère et donc tout perdu en même temps que l'échec à l'Académie, il hérite de la souveraineté parce qu'il se rend compte que, contrairement à son père et contrairement aux Juifs il n'a pas peur, il n'a pas peur de la pauvreté et il n'a pas peur de tout perdre. Hitler, le héros nazi qui se fait battre et bat en même temps secrètement, qui perd et gagne. Et qui, dans ce roman d'initiation très particulière, retrouve sa mère à travers un style de vie nature, sportive et écologique réservée bien entendu à un peuple élu situé du bon côté dans le village planétaire, la mère deHitler adorant regarder son fils gambader, jouer, être artiste, aquarelliste, et son père, mine de rien, à travers l'intérêt très curieux du Mossad israélien pour lui, son père Aloïs qui aurait un père, inconnu, d'origine juive.
Ce roman de Patrick Besson est plus qu'un roman. Nous y entendons que son auteur est pour lui-même très sensible à l'extrême ambiguïté et complexité humaine, qui se manifestent dans la configuration actuelle de la zone mark, de la position d'Israël, dans un style de vie planétaire qui semble résulter d'une étrange mise au pas, tout ceci ancrant son secret dans la période nazie, laquelle n'en continuant pas moins d'opérer par-delà le refoulement de la génération qui ne l'a pas connue. Mine de rien, c'est un livre dérangeant de vérité.
Alice Granger
22.2.06
20.2.06
19.2.06
En train de lire (ma table de chevet) # 04
Mon (humble) avis :
Elle m'avait touché, ému dans La Lucarne, m'avait, pour la première fois, donné la peur de la mort dans Le Récit de la dernière Année, elle m'avait agacé, irrité dans Dieu et Moi. Et, ici, qu'en dire ? On retrouve ici le sentiment de suffisance et d'orgueil propre à Harpman, celui-là même qui m'avait donné envie de la détester. Mais on retrouve aussi la force et la pertinence du propos dans une situation proche de l'apocalypse. On aimera ou pas, on soulignera l'allégorie de la condition humaine, on s'impatientera face au néant décrit, face à la trop grande capacité d'adaptation de l'héroïne, sa trop facile clairvoyance mais on ne pourra s'empêcher de s'interroger sur soi, sur sa relation, son comportement face aux autres. L'intérêt est vif et spontané. Je referme ce livre sans regret mais content et satisfait de l'avoir (finalement) ouvert.
18.2.06
Proximus Diamond Games
Demain 14h30 Finale
K. Clijsters (BEL 1 - WTA 1) - A. Mauresmo (FRA 2 - WTA 2)
Mauresmo en grande forme, Clijsters diminuée mais... Si Clijsters développe le même jeu que dans les 2 derniers sets de sa demi-finale, elle a de grandes chances de battre la française mais...
pronostic : Mauresmo en 3 sets. Et d'après toi, Timy ?
17.2.06
Passage éclair
Au rayon des news, je me rends compte que plus ça va, mieux je me sens, le boulot me plaît chaque jour davantage et je me rends compte à quel point mes patrons sont malins. C'est la première fois que j'observe des collègues aussi motivés et impliqués dans leur tâche. La barque semble rondement menée. Bref, alors que je n'ai signé que pour du temporaire, je commence, aussi, à y imaginer quelque chose de plus fixe. Mais ce n'est pas encore au programme...
Le bellâtre du train est toujours aussi joli mais se pare d'une décoration blonde, stupide et bavarde pour laquelle il fait montre de trop de délicatesse et de tendresse à mon goût. Enfin ! Il faut bien que jeunesse se passe...
Pour le reste, un brin de vie sociale ce soir, un reste de "Pretty Woman" demain et dimanche et puis, retour au labeur...
16.2.06
14.2.06
Take a deep breath !
Non ! ce soir, je vais me contenter de ne rien faire, me coucher tôt et sourire en repensant au bellâtre du train, celui qui me distrait tous les matins de mes lectures, celui avec lequel il ne se passera jamais rien, parce qu'il est jeune, très jeune, trop jeune, et puis surtout parce que son orientation sexuelle ne doit vraissemblablement pas correspondre à la mienne; mais ce n'est rien, j'aime y repenser. J'aime ces regards qui sont des oeillades pour ma part, j'aime quand je me surprends à rajuster ma coiffure, le pli de ma chemise lorsque je le vois monter dans le wagon. J'aime imaginer que les regards qu'il me lance ne sont pas des retours interrogatifs à ceux que je lui lance, je sais tout cela n'est que fantasme de midinette mais ce n'est pas grave, j'aime !
Au rayon bonne nouvelle, mon plus grand ami m'a fait sauter de joie cet après-midi. Il a trouvé du boulot ! Je l'avais dit, 2006 sera pour mes proches et pour moi un grand cru ! Cool mon Vilain, on va aller s'en jeter quelques uns histoire de fêter ça !
Pour l'heure, je file me reposer et m'impatiente un peu d'une visite attendue, prévue pour dans dix jours et pour laquelle j'ai hâte... Hé oui, Messieurs, vous rencontrer est un honneur.
En train de lire (ma table de chevet) # 03
Sensible, intelligent, fin, drôle, si ce n'est déjà fait, à lire sans attendre ! Cette histoire n'est pas un roman, pas une nouvelle, elle ne se lit ni pour le fond ni pour la forme, mais pour le ton, détaché, parfois cynique, souvent tendre. Achevé aujourd'hui, j'en redemande !
En train de lire (ma table de chevet) # 02
Tout ce qui fait qu'on aime ou qu'on n'aime pas Van Cauwelaert est présent dans ce roman. De la mise en scène de la dualité, de la confrontation des oppositions. J'aime la plume de Van Cauwelaert même si celui-ci se termine un peu en eau-de-boudin... A lire en train ou sur la plage
En train de lire (ma table de chevet) # 01
Ne marquera ni la littérature francophone ni ma bibliothèque. Des racourcis à déplorer malgré une intrigue (enfin, trois intrigues) bien menées mais on connaît la recette...
13.2.06
12.2.06
Crise de manque
Quoi ??????!!!!!?????!!!??? La saison 2 ne sort en DVD qu'en décembre 2006 ?????????????
11.2.06
N'en déduisez rien !
pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd.
Voilà que sans savoir pourquoi soudain tu ris,
voilà que sans savoir pourquoi soudain tu vis,
car te voilà, oui te voilà
amoureuse, amoureuse, amoureuse, tellement amoureuse.
C'est vrai, alors le gris du ciel n'est plus si gris,
c'est vrai, alors le poids des jours n'est plus si lourd.
C'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu ris,
c'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu vis,
car il est là, oui il est là.
Amoureuse, amoureuse, amoureuse, tellement amoureuse.
Et puis, soudain, le gris du ciel redevient gris,
et puis soudain le poids des jours redevient lourd.
Tout est fini, tout est fini, l'amour se meurt:
il est parti, il est parti et toi, tu pleures,
et c'est fini, oui, c'est fini.
Malheureuse, malheureuse, malheureuse.
Malheureuse, malheureuse, malheureuse, tellement malheureuse.
(Barbara, Amoureuse, 1970)
(re)Vivre
Vivre la fin de l'errance et retracer sa voie.
Le train de la reconstruction est remis sur ses rails.
Surtout, ne pas abandonner ses rêves !
10.2.06
Les affaires reprennent
Mon retour à la vie active a marqué aussi un grand retour à la vie sociale. Résultat des courses, j'ai pour l'instant un agenda de ministre et depuis dix jours ne suis guère chez moi que pour ... dormir ! Il ne reste que quasi quotidiennement, je venais malgré tout lire tous vos petits blogs à vous, en délaissant le mien. Certes, les vacances de David et la létargie généralisée de mon coin de blogosphère m'ont facilité le travail et ont évité d'empiéter trop sur mon sommeil, mais bon, j'y tenais, après tout, j'aime vous lire surtout !
Ceci dit, je n'ai guère l'intention non plus de vous dresser un compte-rendu détaillé de mes premiers jours de travail, ni de vous faire le descriptif précis des bellâtres croisés quotidiennement dans le train qui me conduit au boulot (rien que ça me met en joie pour la journée), j'annonce juste que les choses se passent vraiment bien, nettement mieux que ce que j'espérais, le boulot est plus intéressant que le descriptif donné à l'époque et l'ambiance de travail est des plus sympathiques. Bref, sans être noyé par l'enthousiasme béat de la nouveauté, je me dis que j'ai fait le bon choix en acceptant cette proposition.
Pour le reste, je coule des jours paisibles partagés entre le boulot, les sorties, les amis et le sport....
Et là, j'en suis sûr, ça va durer ! Manque qu'un homme quoi ;o)
8.2.06
6.2.06
Humeur # 77
4.2.06
Mon père ? Une mère juive !
Et là, surprise... Mon doux papa, dans un élan digne d'une mère juive, décida de faire mon marché avec moi ! "Ben oui, voyons, c'est un hypermarché ici, remplissons ton frigo et ton surgélateur, comme ça tu pourras manger tout le mois !"
En soi, l'idée est excellente; mon père me parle même de produits à lessiver, de réserves, d'arbre à chat, etc, etc...
Il m'aura fallu quelque vingt minutes pour faire comprendre à mon père que je n'achèterai rien ou presque dans cette grande surface-là. Non que je ne désirais pas voir remplir mes placards à ses frais, l'idée me séduisait plutôt, mais qu'il m'était impossible de faire trente-cinq minutes de métro et vingt minutes de marche en portant à bout de bras :
- 20 kg de litière
- 1 arbre à chat
- 12 briques de lait
- 6 bouteilles d'eau
- 2 kg de café
- 5 kg de viande
- presqu'autant de légumes et de fruits
- 4 l de produit lessiviel
- etc, etc...
Puisqu'à la question "Tu me reconduis chez moi ?", je me suis vu essuyer un refus net et catégorique. " Ah ! Non ! Je ne traverse pas la ville ce soir ! Je suis fatigué et malade, pour conduire c'est pas l'idéal". Pas de soucis, mon papou mais dans ces cas-là, je fais comment ???
Et mon père d'observer, consterné, le caddie qu'il avait déjà commencé de remplir allègrement...
Je l'aime mon père, aussi pour ce genre de travers !
2.2.06
Je ne suis plus chomeur
Alors, sans sauter au plafond, l'ambiance est bonne, les gens avec lesquels je vais devoir être amené à bosser sont plutôt sympas , apriori du moins (j'écris apriori en un mot car grâce à Rafaele, j'ai appris que c'était devenu l'orthographe officielle). Je suis en pleine phase de formation, ce qui signifie qu'on m'envoie une tonne d'informations et faut que je digère tout ça mais bon, ça n'a pas l'air sorcier.
Bon ben, faut que j'y aille....
Merci encore pour votre soutien et ... à ce soir logiquement ;o)