30.9.05
Idée Cadeau # 1
29.9.05
Le Questionnaire de Proust (1886)
- Ma vertu préférée Vertu ? Qu’est-ce donc ? Non sans rire, l’honnêteté
- Le principal trait de mon caractère Sans trop d’hésitation, excessif & sans limite
- La qualité que je préfère chez les hommes Elles sont nombreuses, je dirais le détachement et la capacité à rire de tout
- La qualité que je préfère chez les femmes Y en a ? naaaaaaan je déconne ! …euh … en fait comme ça du premier coup d’œil je vois pas
- Mon principal défaut Râleur et entêté mais ce ne sont pas que des défauts même si ce léger tempérament soupe au lait pourrait parfois me porter préjudice…
- Ma principale qualité Bon va falloir être honnête sans être prétentieux (enfin sans le paraître du moins)…euh… voyez ça avec mes amis proches
- Ce que j'apprécie le plus chez mes amis Le fait qu’ils existent et que j’ai pu les approcher. Oui, je sais, ça peut paraître mièvre mais c’est sincère (même pour toi, Paulette !)
- Mon occupation préférée Végéter, glander
- Mon rêve de bonheur Italiaaaaaaaaaaaaaaaa
- Quel serait mon plus grand malheur ? Mourir insatisfait
- A part moi -même qui voudrais-je être ? A part moi ou le roi du monde ? Peut-être un super magicien, une espèce de bonne fée quoi !
- Où aimerais-je vivre ? Italiaaaaaaaaaaaaaaaa
- La couleur que je préfère Vert azur (quelle question débile!)
- La fleur que j'aime Bof ! Pas très fleur moi ! La marguerite, la grosse marguerite au printemps (faut bien répondre)
- L'oiseau que je préfère Ouch autre colle ! Pas le pigeon en tout cas ! Ces espèces de rats volants, non merci ! pour le reste, je connais pas d'oiseaux moi, vais quand même pas répondre le canari
- Mes auteurs favoris en prose Van Cauwelaert, Besson (Philippe pas Luc !), Tremblay, Yourcenar, d’autres encore mais y a longtemps ;o)
- Mes poètes préférés Allez manquons d’originalité, les poètes maudits en règle générale, aaaaaah ma facination de jeunesse pour Baudelaire…. Et mes mauvais plagiats de Lamartine dans mes périodes romantiques guimauvées
- Mes héros dans la fiction Mon héros de fiction ? Pffffff Mr Big !
- Mes héroïnes favorites dans la fiction Wonder Woman et Super Jamie (pour moi qui suis dur de la feuille)
- Mes compositeurs préférés Verdi (quoi? j'allais pas dire Jean-Jacques Goldman non plus!)
- Mes peintres préférés Dali (qu’est-ce que j’ai chialé devant la Tentation de St Antoine), Kandinsky, Magritte, Delvaux, Ensor (par chauvinisme et par conviction), certains tagueurs, etc, etc
- Mes héros dans la vie réelle Mon papa (hééééééééé oui!)
- Mes héroïnes préférées dans la vie réelle France (coucou mon ange)
- Mes héros dans l'histoire Y en a plein mais mention spéciale à Martin Luther King sans doute ainsi qu’à Nelson Mandela
- Ma nourriture et boisson préférées Ceux qui me connaissent, savent à quel point mon embonpoint n’est pas un mythe. J’aime manger, bien et beaucoup. Alors soulignons néanmoins l’imparable magret et autres dérivés du Sud-Ouest français, contrée dans laquelle on tirera l’une ou l’autre boisson. Et ne crachons pas sur la gastronomie italienne en général (mais pas la polenta!)
- Ce que je déteste par-dessus tout L’hypocrisie et la haine gratuite (ooooooooooh comme je suis tout gentil moi !)
- Le personnage historique que je n'aime pas Ben Hitler bien sûr !
- Les faits historiques que je méprise le plus Les faits d’armes en général mais particulièrement les Croisades, les Pogroms, le génocide rwandais, l’holocauste
- Le fait militaire que j'estime le plus L’armistice
- La réforme que j'estime le plus Le mariage des prêtres et le droit à l’adoption par les couples homosexuels (même si moi, les enfants…bof)
- Le don de la nature que je voudrais avoir TOUS !!!
- Comment j'aimerais mourir Satisfait !
- L'état présent de mon esprit Saoul
- La faute qui m'inspire le plus d'indulgence Toutes celles qui partent d’un bon sentiment
- Ma devise Qui a bu boira
Pèté !
28.9.05
03062001
Je suis parti un jour, pensant ne jamais me retourner
Je suis parti un jour, sûr de moi, de mon bonheur futur
Je suis parti un jour, épuisé de larmes
Je suis parti un jour, notre commun épuisé
Je suis parti un jour, te gardant près de moi, sûr de t'oublier
Je suis parti un jour, sûr que "nous" appartenait au passé
Je suis parti un jour, je ne cesse de me retourner
Je suis parti un jour, ton chemin a continué
..........
Il est parti un jour, il ne s'est jamais retourné
Mes très chers amis,
27.9.05
Je me disais
Ben oui je me disais...
Tiens? N'irais-je pas encore me passer une petite soirée dans le Nord de la France ce week-end? Quelqu'un est tenté? Si oui, écrire au bureau du journal ou laisser un com... :o)26.9.05
Regarde un petit peuye...
25.9.05
Mais qu'est-ce qui se passe?
24.9.05
Des fois
A Total Eclipse of the Heart
Turnaround
And I need you now tonight
Once upon a time I was falling in love
Turnaround bright eyes
And I need you now tonight
Once upon a time I was falling in love
Pourquoi?
Envie
Week-end paisible
23.9.05
Tant pis!
21.9.05
20.9.05
Humeur # 8
19.9.05
De belles conséquences
18.9.05
Santé!
Le Soleil vient de se lever...
La Donna Cannone
16.9.05
Info du Jour
14.9.05
Swim For Life
Tous les ans, le dernier dimanche de novembre, le BGS (Brussels Gay Sport) organise le Swim For Life. Le Swim For Life (S4L) est un marathon de natation parrainé organisé pour récolter des fonds pour des organisations d'aide et de prévention du virus du SIDA.
Comment ça se passe?
Bien en règle générale LOL. En gros, pendant 6 heures, des nageurs se relaient et nagent sans relâche dans ce seul but.
L'an dernier, 21.337 € avaient ainsi pu être récoltés... On espère évidemment faire encore mieux cette année.
Le S4L 2005 aura lieu cette année le 27 novembre 2005. Comme l'an passé, j'y participerai et en appelle donc à la générosité de tous!
Plus de renseignements suivront en temps voulu. Mais si vous désirez nager ou simplement supporter le Swim For Life, n'hésitez pas à me le faire savoir... et n'hésitez pas non plus à faire circuler l'information...
13.9.05
JH CH
12.9.05
Quel soulagement!
S.A. DXXXXXX
DXXXXX XXXXX– Unit Manager
Adresse
1030 Bruxelles
CC : PXXXX
Bruxelles, le 13 septembre 2005
DXXXX,
Concerne : Démission de mon poste de Service Advisor au sein de la S.A. D
Je te prie de trouver ci-joint copie de ma lettre de démission envoyée au Service des Ressources Humaines. Tu le sais, cela faisait quelque temps que mon ras-le-bol ne faisait qu’augmenter. Tu en connais les raisons, nul besoin de les développer plus que nécessaire.
Néanmoins, il est un point sur lequel je voudrais revenir. Ce qui a provoqué mon départ, outre l’accumulation d’inepties observées dans cette société ces 4 années et dont nous avons déjà longuement parlé, c’est avant tout le comportement de ton adjoint de gestion qui est en cause. Un conseil, D, apprends à garder ton chien en laisse. Son immixtion permanente dans le travail des autres alors qu’il n’a aucune idée de ce que ce travail peut représenter, son comportement général, par trop autoritaire, irrespectueux de la personne qui lui fait face, son arrogance, sa suffisance, ses méthodes dignes par moments de la dernière guerre, frôlant les limites du mobbying et dépassant régulièrement celles du tolérable, j’en passe et non des moindres, font de lui certainement la personne la plus honnie de ton unité. Je sais ne pas être le premier à t’en parler, ton immobilisme à cet égard n’entraîne, en sus du reste, qu’un mécontentement quasi général dans l’agence. On ne se méfie plus de lui, on se contente de le mépriser au fond de nous !
Comme annoncé dans mon courrier joint, je reste à disposition jusqu’à la fin de mon préavis légal, à savoir le 15 novembre 2005, et trouverai avec P une solution pour poser mes congés restant avant cette date. Cependant, si l’envie de me libérer plus rapidement de mes obligations vis-à-vis de D vous prenait, n’hésite pas à me le faire savoir.
Bien à toi,
khoyot
11.9.05
Il est 6h49, il faut dormir
10.9.05
Le Monde avance...
Vilain
I believe in angels
(Abba, I have a dream, 1979)
C’est vrai que je suis un gentil moi!
Si on les avait laissé faire...
... mes parents auraient fêté leurs 35 ans de mariage ce lundi!
Pfffffiou on l'a échappé belle!
9.9.05
Bergen - 1986
Comme tous les belges, je suis tombé en rue devant n'importe quelle librairie face à cette publicité pour un nouveau jeu à gratter de notre très bonne Loterie Nationale (vous savez celle qu'on n'a jamais eu l'idée d'appeler "La Belge des Jeux"), jeu qui s'appelle "La Bonne Etoile".
7.9.05
Euro Gay Party - Sept 10th
6.9.05
Naze
4.9.05
Ayè!
Next>>
Sur un site de rencontres
- POFTYP : Salut :o) cmt va?
Je ne connais pas ce pseudo. Qui est-ce? Je clique sur le lien me permettant d'aller jeter un coup d'oeil au profil et... quelle surprise! Quelle horreur plutôt! La photo d'un homme d'un quarantaine d'années sur la plage, le maillot gonflé (une paire de chaussettes pour faire croire que???). Bref, je laisse échapper un gros "BEAAAAAARK!" Mais bon je suis poli, je réponds donc mais brièvement:
- KHOYOT : Slt bien merci
J'espère que la brièveté de ma réponse aura eu raison de l'audace du gaillard... Que nenni!
- POFTYP : Cool! Tu travaillerais pas chez D.? (le nom de mon employeur)
- KHOYOT : Euh oui!
- POFTYP : Hé bien tu caches bien ton jeu toi! ;-) Et ton collègue M. aussi? :-P
- KHOYOT : (en moi-même : qu'est-ce que j'y peux moi si je suis pas une grosse folle tordue, pauvre tache va!) Non, M. rend sa femme et ses 2 enfants heureux!
- POFTYP : Waow! J'aurais jamais cru que je te croiserais ici.
- POFTYP : Dis! t'aurais pas envie qu'on se rencontre
- KHOYOT (toujours poli) : Ben c'est que j'ai pas trop le temps là
- POFTYP : Allez pas ce soir mais demain tu fais quoi?
- KHOYOT : Je suis pris toute la semaine et puis je ne crois pas que ce soit une bonne idée
- POFTYP (ne se mettant pas en cause) : Mais enfin pourquoi? T'es plutôt mimi faut pas être timide
- POFTYP (ne doutant de rien) : Allez ! Et puis on se connait déjà faut pas avoir peur
- KHOYOT (abasourdi): Je n'ai pas peur, je n'ai pas envie c'est différent
- POFTYP : Comment ça pas envie?
- KHOYOT ("non mais tu t'es vu??") : Ben non pas envie
- POFTYP : Je ne te comprends pas. T'inquiète je ne dirai rien à tes collègues...
- KHOYOT ("et en plus il est c**") : Bon! On va être clair ou tenter de l'être. JE NE SUIS PAS INTERESSE!!!!
- POFTYP : Pas intéressé? Mais c'est pas très sympa! T'es plus sympa au boulot, tu me souris toujours
- KHOYOT : Je travaille en service clientèle, c'est mon métier de sourire aux clients
- POFTYP : Ben pourquoi tu le fais pas ici
- KHOYOT : Parce qu'ici je ne sais pas si tu as remarqué mais il s'agit de ma vie privée, pas de mon boulot. Je ne suis sympa qu'avec qui j'ai envie de l'être
- POFTYP : Oh! Quel grognon!
- KHOYOT : Pas grognon mais pas prêt de travailler en sus de mes heures! Si t'es pas capable de comprendre ça...
- POFTYP : Oh ben je viendrai plus chez D.
- KHOYOT: Tant pis pour D. Je suis pas en représentation! Ciao!
Si maintenant il faut en plus que je fasse des courbettes à tous les crétins que je croise sous prétexte qu'ils peuvent être l'un de mes clients, suis pas sorti de l'auberge moi! J'ai relu mon contrat, c'est pas dedans!!! ;o))
Les petits bateaux
(Raphaël, Les Petits Bateaux, 2005)
3.9.05
EMMA - Saison II
Soirée de lancement ce soir de la deuxième saison du site www.emma-online.com au Mirano Continental à Bruxelles, à partir de 22h00. Avec au programme la présentation du premier court-métrage d'Emma Emma Goes To Cannes. La diffusion du film sera suivi dès minuit de la soirée Dirty Dancing
Pour recevoir votre invitation envoyez un mail avec vos nom et prénom à event@emma-online.com . Pour ceux que ça intéresse, n'hésitez pas...
Une Soirée Lilloise
20h04. Je me gare. Lille, capitale des Flandres, carrefour européen. Découverte.
Ce n’est pas la première fois que je me rends dans cette ville, à chaque fois pour y rencontrer un ami ou une connaissance. Ici, je suis seul et resterai seul dans l’unique but de découvrir cette ville que je ne connais pas. Je coupe le contact, sors de ma voiture. Je vois les vitres froides d’Euralille et commence ma ballade par là. J’ai entendu tellement de bien de cette nouvelle construction. Je l’observe. Bof ! L’architecture a le seul mérite de marquer une époque, je n’adhère pas mais je n’y connais rien. Le bâtiment de vitres reste terne malgré le soleil estival et tout à son pied semble triste malgré l’effervescence d’un vendredi soir.
Je continue, je traverse direction la gare de Lille Flandres. Trois combis de CRS veillent au grain, des véhicules de police, des policiers à pied, la ville semble assiégée, certainement l’effet Sarkozy. Ca y est, je suis du coup victime du sentiment d’insécurité. Comme quoi, la présence policière n’est pas faite uniquement pour rassurer la population. Un besoin à assouvir, je descends aux toilettes de la gare. Un papier nous indique les horaires d’ouverture, les toilettes ferment à 20h30, il est 20h23 la préposée est partie en week-end. J’avais oublié que la fonction publique française avait ce sens de la ponctualité que seules l’administration et la bureaucratie peuvent nous inculquer. Tant pis ! Avançons. C’est apparemment l’heure de pointe, les gens se pressent en rue, les joues rougies par l’effort de marche consenti sous la chaleur. Je croise des effluves mélangées, peu agréables à mon nez pourtant pas si délicat.
Les gens semblent porter toute la misère du monde. Il y en a de toute sorte ; des grands, des petits, des maigres, des gros, des "fashionistas", j’aperçois beaucoup trop de Britney Spears ; trop de couleurs, trop de lignes, pas assez de goût. Tous suivent leur route, tête baissée. Certains se parlent, aucun ne sourit. Quel drame y a-t-il dans le Nord ? Quel malheur abattu ? La pauvreté est tangible, dicible, évidente.
Parvis Saint-Maurice. Une façade d’église rénovée ou presque. Des gens du voyage se parlent appuyés sur la portière de leurs camionnettes. Un éclat de rire. Enfin ! Un clochard assis sur le seuil d’une porte, un voisin qui sort :
- Y a du poulet ! Entrez !
- Non
- Allez, venez !
Lille la Généreuse. Lille la Sociale. Nous sommes dans le Nord, le bastion est de gauche. Je m’émeus. Je me surprends à commencer à aimer la ville.
Mes pas me portent dans les méandres des rues commerçantes encore peuplées de ce que je crois être le Nouveau Lille. Des restaurants épars commencent à se remplir et les gens déambulent sans vergogne dans leur cité. Premier regard croisé, soutenu, première flatterie et seul sourire obtenu et lancé. Décidément, cette ville est surprenante. Il fait bon à Lille en ce vendredi soir, les pantalons et les jupes sont courts, parfois trop. L’air est présent, on est loin de l’étouffement de chaleur tel qu’on le connaît à Bruxelles. A croire que Lille est un port. Je continue d’errer, lentement. La terrasse d’un resto italien semble m’ouvrir les bras. "Pourquoi pas ?", me dis-je. Je me ravise en observant la taille et la chevelure trop blonde du personnel de l’établissement. Simple réflexe.
Je continue et atteinds une place où est installé un podium RTL. Le podium est vide, pas la place. Personne ne s’inquiète de cette fontaine qui ne coule plus que pour les oiseaux. Je traverse. Place du théâtre. Des restos bondés et un brouhaha terrible. Lille la Vieille. Enfin. Les rues sont un dédale pour moi. Je ne reconnais rien. Je n’ai pas de plan. Les passants se parlent dans un français que je ne maîtrise pas et j'ai pour seul repère l’endroit où j’ai abandonné ma voiture. La retrouverais-je ? Je n’en suis pas certain.
J’observe les maisons du Vieux Lille et remarque le contraste flagrant entre les deux "villes". Lille ici est flamande, trop flamande. Les briques rouges des façades me rappellent celles utilisées dans nos régions. Lille était française il y a deux minutes à peine. Partout, je regarde et m’interroge. Lille se chercherait-elle ? Je ne ressens pas d’âme de la ville. Française ? Flamande ? Riche ? Pauvre ? J’ai le même sentiment ici que dans les villes hennuyères et celles du bassin mosan. L’arrogance de la richesse minière perdue et l’étalage des doutes sur son avenir. J’étouffe ! Je ne suis pas chez moi ici. Je suis étranger à ces gens à ce monde à cette ville. Nous ne nous apprivoiserons pas, du moins pas ce soir.
Je refais le trajet en sens inverse, ma marche est plus soutenue. Il faut que je parte. Il est 21h17, je ferme la portière de ma voiture, je souffle. Je reprends l’autoroute en direction de Bruxelles, prends mon téléphone. Appeler Michele, j’ai besoin de rire. Une soirée, 224 kilomètres aller-retour. Je suis chez moi, soulagé !
Continuons!
Après 1 mois de bons et loyaux services sur u-blog, je vais, je crois déménager mon petit blog de rien du tout ici sur blogger.
En réalité, c'est ici que j'avais commencé à le créer mais je ne sais pourquoi, je suis parti vers d'autres contrées...
Me voici donc de "retour" à la maison... on verra...
1.9.05
De la tristesse
Mon blog est-il si triste ?
Sans avoir la prétention de faire de l’humour de haut vol, j’ai beau le relire, je n’y vois que peu de tristesse. Il y a même des moments où les sourires se font beaucoup plus francs.
Ceci étant dit, je me dois d’admettre qu’il est plus aisé d’exprimer son ressenti de façon plus mélancolique et que les termes d’expressions plus douloureuses me viennent plus aisément. Sans être trop pédant, exprimer l’éclat de rire a un côté plus difficile, plus malaisé et ma plume s’accommode mieux de la douleur certes.
Mais que les inquiets se rassurent, ma petite vie m’apporte bon nombre de satisfactions et de joies et, globalement, je crois que je suis, malgré mes innombrables râleries et actes de dépit, plutôt joyeux. Je ne perdrai jamais cet éternel besoin de rire de tout et avec tous….
Protège-moi
C'est le malaise du moment
L'épidémie qui s'étend
La fête est finie on descend
Les pensées qui glacent la raison
Paupières baissées, visage gris
Surgissent les fantômes de notre lit
On ouvre le loquet de la grille
Du taudis qu'on appelle maison
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi, protège-moi
Sommes nous les jouets du destin
Souviens toi des moments divins
Planants, éclatés au matin
Et maintenant nous sommes tout seuls
Perdus les rêves de s'aimer
Le temps où on avait rien fait
Il nous reste toute une vie pour pleurer
Et maintenant nous sommes tout seuls
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me
Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me from what I want (Protège-moi, protège-moi)
Protect me
Protect me
Protège-moi, protège-moi
Protège-moi, protège-moi
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me
Protect me, protège-moi
(Placebo, Protège-moi, 2004)