8.10.05

Bon voyage

Je ne veux pas oublier. Je garderai longtemps le souvenir de ses lèvres sur les miennes. Mes mémoires se sont remplies de son goût, de la douceur de sa peau, de la chaleur de son corps, de la tristesse de son regard.
Il est l'heure de partir et je me laisse envahir par cette mélancolie folle et douce. Je n'ai cure d'être mièvre. Mes mains, mon torse ressentent encore ton étreinte et respirent toujours ton odeur.
J'aurais voulu encore te voir sourire...

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