Teasing/Racollage

Ben oui ! On me parle de corps nus, forcément j'ai l'oreille qui se tend, l'oeil qui se lève et je suis bien évidemment beaucoup plus attentif !

douceurs & mièvreries

Jij geeft mij toch geen redenen te zeuren, dus blijf ik daar, hier, zelf in het midden van nergens te glimlachen, juist omdat jij daar bent...

un coup de klaxon

Un coup de klaxon... Un bruit de fracas énorme, un crissement, des cris ...
Du plastique, du verre, brisé, épars.
Un corps étendu, inerte, une voiture, brisée, une moto, ... pliée.
Un homme, yeux grand ouverts sans un mot, sans un mouvement.

Le silence.... la vie... qui part sans doute !

20060909

Question # 81

T'sais c'qu'y t'dit Jean-Pierre ?

constat

Je fais partie de ces gens qui éprouvent une empathie profonde dès que je ressens pour quelqu'un cette sympathie spontanée dont l'intensité est réelle et rarement éphémère.

ho bisogno di dormire

Mon état de fatigue s'agrave jour après jour. Il va sérieusement falloir que je pense à me réaménager des soirées paisibles avec mon chat et que je reprenne ce rythme que je m'imposais autrefois à savoir au lit vers 20h une fois par semaine !!! Je crains même de devoir y passer plus d'une fois par semaine, l'âge aidant. J'entretiens une moyenne de 4h30 de sommeil journalier depuis quelques temps et je sens doucettement mon corps commencer à dire "STOP" ! Je n'ai plus vingt ans, c'est évident, néanmoins, je ne parviens plus à refuser les propositions amicales et autres qui entretiennent ma vie sociale; cette vie si nécessaire à mon équilibre mental. Le choix est rude, âpre, intenable. Soit ! Décision est prise : le week-end sera calme !

Du moins, jusqu'à nouvel ordre ! De toute façon, Bruxelles sera vidée de toute substance tapette, puisqu'elles se sont toutes engouffrées dans le Thalys pour aller voir une vieille fausse blonde se trémousser sur une scène. Bien ! Ca me fera des vacances ...

Questions # 79 - 80

Pourquoi semble-t-il que je sois le seul de toute la "blogspot team" proche à être passé en version bêta ? Pourquoi du coup chez moi tout est en anglais et plus en français ?

Ceci dit, bien plus pratique c'te nouvelle version...

Coup de pompe

*enthousiasme*

Amicalement,

je salue Monsieur Sagan au passage

Dogma

Avec 1 G, 1 B, 1 L, 1 A, 1 I, 1 R et 1 E, on verrait presqu'une grande amie d'Alanis, genre Heidi ;o)

Quizz # 02

A la demande générale de Rafaele , appuyé par Eltan et, j'en suis sûr, soutenu par Timy, voici un quizz spécial "kitsch musical". 10 chanteuses et chanteurs à reconnaître... Vu la facilité évidente pour certains d'entre eux, vous comprendrez la raison de la modération des commentaires, histoire que chacun ait sa chance...

Bon allez juste 1 indice : ils sont TOUS francophones ! :o))

Solutions

Question # 78

Au fait, c'était bien ce défilé ?

rien à dire

Ben non pas grand chose à dire ces temps-ci, la blogosphère est calme et moi je m'empâte bêtement...

Alors quelques nouvelles du monde histoire de passer le temps (source : La Libre Belgique):

- Ariel Sharon va de moins en moins bien mais Fidel Castro va de mieux en mieux
- Yves Leterme a fait sa rentrée politique dans Libé, ça va chauffer sur fond de communautaire !
- Kim Clijsters se reblesse au poignet, ça m'emm**** !
- C'est difficile de parvenir à s'endormir à 20 h deux soirs d'affilée
- Je voudrais bien te voir, France
- Gab va encore se payer ma tête
- J'ai pas envie de bosser
- Eltan est revenu du Texas et Timy est de retour en Moutardie
- Pas envie de prendre l'avion ni d'aller à Londres pour l'instant.

Voilà... à plus tard !

Kim

Elle doit passer une IRM à Montréal ! :o( Et moi qui ai toujours cru que l'IRM était uniquement l'Institut Royal de Météorologie...

gentillesses et autres mises au point

J'aimerais assez que, si l'on a des choses à me dire, on évite d'utiliser des canaux annexes et que l'on ait le courage (mais est-ce vraiment du courage ?) de venir me dire les choses en face ! Je vous fais peur ? C'est nouveau ça ! Je n'ai jamais été violent que je sache (même si...) et l'honnêteté, aussi blessante soit-elle, n'engendredra jamais la cinglance du mépris dont je suis capable... Pauvre idiot !

*soupir*

et le silence, redouté, honni, haï, espéré banni, s'installa... inéluctablement !

1 seule chose à dire

Waow ! Waow ! Waaaaaaaow !

scriba manent

"Les mots, aussi, lents. Le sujet meurt avant d'atteindre le verbe"

S.Beckett

las...

Sentiment que tout est galvaudé
du sentiment au mot... Comme un goût âcre, une amertume en bouche, là, dans la gorge.

Une impression de devoir trop aisément accompli,
trop facilement donnée

Et, surtout, surtout, ce besoin d'ataraxie !

Pour Julie

Quizz

Me sentant d'humeur badine et ludique aujourd'hui, 10 petites villes... Qui les trouvera toutes les 10 ?

Solutions

Les musiques qui bercèrent mon enfance

Régulièrement, Alexandre nous sert ces chansons qui ont bercé si pas notre enfance du moins notre jeunesse. A chaque fois, il y a comme une émotion qui remonte, toute la joie de l'enfance qui renaît. Ces jours-ci, il nous refaisait vivre la dernière victoire de la France à l'Eurovision, il y a près de 30 ans déjà. Ah ! Quel enfant n'a-t-il pas dû apprendre cette chanson, la chanter a capella dans les cours de récréations, en colonies de vacances ou en camp scouts ? Les vieilles tapettes bruxelloises, dont je suis, se souviendront en outre des moments d'aération de "Chez Maman" en ces temps anciens, reculés et bénis où la Mère, juchée sur son comptoir la chantait 5 ou 6 fois d'affilée et où la salle la reprenait en choeur, a capella, sans faire trop de bruit (pour ne pas réveiller les voisins qui, malgré cela, ne dormaient pas) mais remimant les mêmes gestes que la travelote perchée face à eux. Ah ! (*soupir*) belle époque...

Ce qui me rappelle que depuis quelques jours j'ai deux chansons de mon enfance qui tourbillonnent sans cesse dans ma petite tête.... Ca vous rappelle quelque chose ?

Question # 77

Ai-je fait (ou dit) quelque chose de mal ?

Pensées du soir... bonsoir !

Soirée de merde !

Trop de monde, trop chaud, trop jeunes, trop nazes, musique d'idiots, pas de goût, que des pauvres filles !

A force de jeter vos mégots partout, mon pantalon a pris feu, cool ! La face de naze que j'ai tirée en comprenant alors que ça faisait cinq minutes que je me disais qu'il faudrait aller prévenir le patron que ça sentait vachement la fumée dans sa boîte !

Ras-le-bol d'être une midinette !!! Ma timidité me perd, je finirai bon pote voilà tout !

Soirée de merde ! Enfin, j'étais content que tu sois là ...

froid... sans coeur, sans vie...

Pensè-je à toi, parfois ? Je suppose sinon je n'écrirais pas. Même si ce blog est le lieu d'épanchement de tous mes états d'âme, toutes mes mélancolies. Pourtant... Etonnant comme parfois il me revient en pleine face comme un silence, un vide qui me gifle et m'agresse, me terrasse et me refuse le sourire. De toi, je n'ai guère de souvenirs, peu ou prou; les seuls qui me reviennent en mémoire ne sont pas des plus heureux malgré cette capacité propre à l'esprit humain de ranger au fond d'un placard, enfoui dans un camp retranché les peines rongées et les sentiments désagréables. Orphelin de fait, sans tombe sur laquelle pleurer. Orphelin contraint par l'absence d'intérêt, l'absence de sentiment filial, par ton incapacité à exprimer quoi que ce soit d'autre que le mépris et la haine. La médiocrité dans toute sa splendeur. Quelques fois je me dis que si, vraiment, tu n'avais pas été là, j'aurais pu souffrir de cette langueur, de cette absence, mais j'aurais pu rêver aux moments tendres que nous aurions pu partager. Mais tu étais là, vivant sous le même toit et la réalité, brutale, abjecte, banalement réelle, tangible et perceptible refait sans cesse surface. Je te revois, te dressant devant moi, yeux et coeur vides, sans âme, inapte à aimer et à être aimée, pas même toi, pas même par toi, pas même de toi ! Handicapée du coeur, tu n'as finalement hérité que d'un organe capable de pomper et non de ressentir.

Et pourtant, je ne te hais pas, ne te méprise même plus. Une indifférence salvatrice s'est installée entre nous, insidieuse mais ô combien bénéfique. Imagines-tu ma vie, des fois ? Toi qui ne me sais même pas barbu ? Toi qui serais sans doute incapable de me reconnaître au premier coup d'oeil en rue ?

Mais à quoi bon l'indifférence si tu te charges d'envahir mon espace, de défaire à nouveau mes équilibres ? Mais qui es-tu, finalement ? Reste chez toi ! Lâche-moi !

Désarmant

Voilà plusieurs mois que j'ai repris le boulot, voilà donc plusieurs mois que chaque jour, j'effectue pratiquement le même rituel (ô divine ou maléfique routine). Réveil (trop tôt !), café, café, café, douche, richting la gare, train, boulot, retour train, métro, etc... Donc, tous les jours de la semaine (ou presque) je reviens et redescends à la même gare pour rentrer dans ma tannière et savourer ma fin de journée. Tous les jours ou presque, je croise la même dame au bas de l'escalier roulant, gobelet à la main, sourire aux lèvres, saluant poliment les passant d'un sonore "Bonjour Monsieur ! Bonjour Madame !"en espérant recevoir en échange, outre sa politesse, un sourire et une piècette. Cette femme et son rituel enjoué n'ont de cesse d'égayer ma journée. Elle me voit passer tous les jours et, depuis une semaine, me serre la main quand je passe, s'enquiert de ma santé, de mon boulot ("Pas trop fatigué ? Pas trop chiant le boss ?"). Et là, on discute un peu, elle veut savoir comment se portent mes enfants, ma femme (gloups !), etc... A dire vrai, elle m'amuse, m'enchante même. Je lui demande de ses nouvelles, me répond que le commerce (sic! ) est mauvais, les gens de plus en plus pauvres ou de plus en plus avares, etc... Hier soir, alors que je voulais déposer un peu de monnaie dans son gobelet, elle l'a retiré (le gobelet) et m'a lancé un regard noir, presque furieux, prétextant qu'"entre potes, on ne donne pas d'argent, on le prête" et, continuant, elle n'aura jamais les moyens de me rembourser et préfère donc refuser mon obole.

Je suis resté confus, désolé, immobile, interdit... complètement désarmé face à une telle remarque !

Ca va aller oui !??!!

Il y a vraiment des jours où je déteste les recherches google qui mènent ici !

A consommer avec...

Voilà, dorénavant, les commentaires seront modérés ! Non par censure, ce n'est pas dans mes habitudes mais simplement à cause d'un p'tit crétin qui s'amuse à me spamer. Spam Poison n'y fait rien et l'horrible vérification de mots de Blogger non plus. Donc désolé s'il vous faudra patienter pour voir vos commentaires apparaître mais c'est le seul moyen trouvé...

Question # 76

Et pourquoi que ce serait pas raisonnable d'aller sketter des pékets à liège dès ce soir ?

Quand j'vous l'disais qu'c'était un sport de tapettes !

merci à S. pour l'info ;o)

touché

Un groupe de policiers en tenue aidant spontanément une femme, africaine, bardée de bagages visiblement pesants et d'enfants en bas âge, lui portant les bagages et prenant les enfants par la main pour les installer dans le train, caressant la tête de ces enfants qui les gratifiaient de leur plus beau sourire sincère en guise de remerciements.

Hé bien, cette scène m'a vraiment touché ce matin, j'en ai presque perçu le sens de la démarche de Xarro...

à genoux !

C'est la Saint Moi aujourd'hui...

Question # 75

"Et pour la p'tite dame, kessessera ?"

50 ans...

Le Bois du Cazier - Marcinelle - 8 août 1956

Humeur # 87

Parfois, je voudrais ne jamais être né tant je ne veux pas mourir.

Beark ! Pauvre tache !

Non mais, c'est sûr qu'entamer une "rencontre" par :"Je déteste Bruxelles, c'est une ville de merde. Honnêtement, je n'y suis que pour l'argent" n'augurait rien de bon.
Résultat : à la troisième réflexion empreinte de vénalité, j'ai agi de la manière la plus fourbe qui soit et m'en suis allé, paisiblement, rejoindre mon chez-moi; seule manière d'éviter l'affrontement qui risquait d'être cinglant tant la rudesse des propos de l'idiot m'insurgeait. J'assumerai jusqu'au bout mon statut de chauvin intolérant...

Constatation

Qu'est-ce que je peux être vulgaire, moi, par moments !

C'était, déjà,...

C'était il y a 1 an déjà, je commençais ces pages. Une année complète à tenir ce "journal" de façon plus ou moins régulière, de façon intense même par moments. Il y a 1 an pile, je me lançais dans l'aventure bloguesque, sans me douter, sans soupçonner qu'il serait toujours là 365 jours plus tard.

Ca commençait ainsi :
et j'en suis toujours là...

1 an ! Presque le moment d'un bilan. 1095 articles, près de 25.000 visites (du monde entier, même du Nigéria ou du Japon !!??!), pas mal d'âneries et des rencontres. Certaines en "life", d'autres pas ou pas encore...

Un blog pour sans doute partir à la recherche de soi et arriver à la découverte des autres. Des blogs découverts, redécouverts, abandonnés, recherchés, retrouvés. Grâce à ce blog, au fond, une année réussie, un bon bilan. Je ne retiens que cela, ces rencontres même virtuelles mais riches et/ou drôles, ces contacts intéressants, enrichissants lors des rencontres qui dépassaient, enfin, le cadre virtuel. Du marché de Noël aux marches de Pina, des fontainas répétés aux sourires d'un nain de jardin,...

1 an quoi ! Déjà !

vanavond

Ce soir, je sors !!! Que les choses soient bien claires, je sors ! Et pas question que je vienne faire ch*** tout le monde avec mes sempiternelles complaintes genre "me suis écroulé" ni des "j'suis fatigué" à la pelle !!! Fontainas, Belgica, La Grosse et ailleurs, dès que je rentre chez moi, je me gave de café !!!

Qui veut faire la fête sur les plus grandes daubes du siècle dernier ?

la Douceur de l'Enfance

Les enfants peuvent, parfois, être si cruels qu'ils en deviendraient drôles. Ainsi, ce soir, devant l'arrêt de bus, un petit groupe d'enfants gambadant sous la pluie, guillerets, gentils chantonnant une phrase quelconque qu'ils avaient dû entendre :

"Il pleut ! Il pleut !
Ca sauve les vieux !" (ter)

kaka fama *

Croyez donc tout ce que l'on dit de moi. Entendez tout le mal, croyez-le, soutenez-le. Méfiez-vous donc ! Si on le dit, c'est qu'il doit y avoir, au moins un peu, de vérité là-dessous. Je ne le nierai point, n'ai point d'emprise sur ce que l'on colporte ou véhicule. Mes qualités d'infâme, toute ma mauvaise réputation précèdent de loin mon large museau. Qu'importe, je ne vous ferai pas la litanie du 'je suis quelqu'un de bien'. Que je le sois ou non, ayez la force ou le courage de le découvrir vous-mêmes. Si je ne suis que ce déchet décrit ? Je ne pourrais vous répondre. L'oeil que je pose sur moi, même si je le veux sans complaisance, sera toujours plus indulgent que celui de l'homme que j'ai blessé un jour.




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* mauvais antique mélange aux saveurs douteuses

aveu

Mazarine Pingeot écrit,... et publie. Et, sous le prétexte fallacieux de la culture, j'assouvis mon voyeurisme.