31.7.06
30.7.06
chroniques de la haine ordinaire
Vous et votre lobby présenteront des excuses à Christian Vanneste, défenseur héroïque de la liberté.
Vous n'utiliserez plus ce blog pour promouvoir vos pratiques douteuses et vos évolutions néfastes à la société.
Vous emmenerez vos supplétifs comme la pathétique Danielle avec vous.
Enfin et surtout vous cesserez de revendiquer que l'on change les lois au profit de votre minorité et au détriment de toute la société.
Alors nous vous offrons une bonne paix. Nous n'irons pas sur vos blogs vous provoquer en disant notre rejet de votre pseudo-culture homo. Nous ne reviendrons pas sur notre tolérance de l'homosexualité. Vous pourrez aimer la personne de votre choix et construire votre vie avec elle, tant que vous ne nous imposez pas la vue de votre comportement contre nature.
GM,
Oh oui, par habitude, j’allais vous qualifier de cher, mais cher vous ne me l’êtes pas, bien au contraire.
Quelle condescendance ! Vous nous êtes presque trop bon. A dire vrai, je suis heureux d’être de ceux sur lesquels vous vomissez tant la vindicte et la peur qui émanent de tels propos ne peuvent qu’inspirer la pitié sur celui qui les profère.
Que craignez-vous au juste ? J’ai peur de ne pas vous suivre. A vous lire, le monde est manipulé, le « lobby » gay fait avancer « ses » pions. Encore la théorie du complot. Etrange comme ces termes font résonner en moi des propos tenus il y a quelques décennies.
J’aimerais aussi que vous m’expliquiez par le menu en quoi l’abolition des discriminations dans les termes de la loi se fait « au détriment de la société » ? En quoi l’égalité des citoyens, de TOUS les citoyens, s’apparente-t-elle à une perte plutôt qu’à un avancement ? En quoi serez-vous dérangé dans votre vie, votre quotidien ? Expliquez-moi, j’aimerais comprendre !!
Vous êtes trop bon de nous accorder le droit de nous aimer, vraiment trop bon, nous n’en attendions pas tant. Il est vrai, aussi, finalement que je vous laisse le droit de vivre l’amour de votre nature sans mot dire. Cependant, je ne vous imposerai plus la vue de mon comportement quand vous cesserez de m’imposer la vue du vôtre. Autant que vous ne pouvez concevoir mes amours socratiques, autant votre mode de vie m’échappe et me surprend et, pourtant, je vous tolère, vous accepte et, moi, je vous respecte puisque je sais que ce n’est pas votre choix, pas votre faute. Vous êtes né comme ça, tristement hétérosexuel. Le seul choix qui s’est posé à vous est celui de vos idéaux, de votre ouverture (ou, ici, en l’occurrence votre fermeture) d’esprit, mais vous pouvez y remédier, pour cela, il suffit de réfléchir. Je sais, la démarche est peu aisée au départ, elle effraye également mais vous verrez, comme pour tout, c’est le premier pas qui coûte.
Au fond, avec près de 220 ans de retard, vous agissez comme les Nobles d’antan, avec les mêmes craintes, les mêmes œillères, comme à la veille de
Courage !
khoyot
eligere
La vie n'est que ça, une succession de choix, de portes que l'on ouvre et referme. Ils peuvent être douloureux ou heureux, ils ne peuvent qu'être heureux quand on peut les sentir, quand on parvient, enfin, à les prendre en plein accord avec soi.
28.7.06
Une soirée
27.7.06
25.7.06
vilaine empathie
24.7.06
désir
je m'épate moi-même
phone banking
Ah ben oui, c'est pas beaucoup ! C'est quand ils veulent pour le remboursement des godasses hein !!!
Bientôt le 8 octobre
23.7.06
Mea culpa
22.7.06
Souvenirs...
I'd rather be blue thinking of you
I'd rather be blue over you
Than be happy with somebody else
I'm crazy about'cha, without'cha
For you I'm strong.
I can't do without'cha
Howcha magoucha?
Don't stay too long.
I need a little ah, little ooh, little oh,
And I'm knocking on wood.
Ah, honey hurry up, hurry up, hurry up
It's so hard to be good
I'd rather be blue thinking of you
I'd rather be blue over you
Than be happy with somebody else
Will I be good? Will I be bad?
Don't be a fool, you fool.
My little flat, I'm turning that
Into a Sunday school
While you're away, I'm here to say
There'll be no iceman there.
Singin' the blues I'm gonna use
Nothin' but Frigidaire.
I'd rather be blue thinking of you
I'd rather be blue over you
Than be happy with somebody else
Blue over you, I'd rather be blue over you
Than be hap-hap-hap-happy
With somebody else.
(Barbra Streisand, I'd rather be blue, in Funny Girl, 1968)
Oh ! Le progrès en marche
Farandole
21.7.06
Allez ! Hop ! Une deuxième en passant
Réflexion personnelle
De belgitude en belgicismes... # 03
Il y a 175 ans,
La trahison des idéaux révolutionnaires des Gendebien, Ducpétiaux, Jottrand et autres Van Meenen était alors consommée, consacrée. Le Congrès avait sifflé la fin de la récréation et cédé à bon nombre de revendications de la noblesse, propriétaire foncier, et du haut-clergé. Il faudra encore attendre 1848 pour que certaines mesures véritablement démocratiques et populaires soient prises sous la menace de la montée révolutionnaire qui se développait en Europe. 175 ans après, l'idéologie qui avait permis le départ de Guillaume Ier reste encore vouée aux gémonies. Dommage ! J'ai beau aimer mon pays (même si je ne suis belge que par hasard), je reste convaincu que seule la République est gage de démocratie pure.
20.7.06
en plein doute
Et la nuit, doucement, tu t'endors, soumis au regret des bonheurs passés, échappés, esquivés; de cette douceur qui t'échappe, que tu n'as pas pu savourer.Tu pleures, tu vois ! Toi, l'homme idéal, trop fragile, trop vincible, trop généreux. Généreux de toi, en pleine abnégation personnelle, tu préféreras toujours te perdre au risque du bonheur de l'autre. Et moi, qui n'ai pu, qui n'ai voulu te garder, je te vois et te sais souffrir. Et moi qui égorgerais volontiers le premier qui te blesse, je t'ai fait mort en son temps. Et toi, égorgé, écorché, tu poursuivras, tu seras roi !
Question # 73
Nationale feest
Aaaaah !
Mais il a fallu que je sois en voiture, en route pour le boulot, sur l'autoroute, pour que tombe enfin cette pluie, ô divin nectar. Bref, j'ai assisté impuissant à la chute de ces trombes, restant au sec, malheureux comme les pierres à maudire tout ce qui bougeait à l'extérieur, autour de moi...
19.7.06
flaque !
17.7.06
CSD 2006 - 100 % dodo !
Imaginez ! Prévu depuis longtemps avec Paulette, ce mini-trip est, bien sûr organisé à la dernière minute. Càd que , alors que le départ était prévu pour samedi, nous nous sommes appelés ... vendredi soir. Soit ! On est tous les deux aussi foireux l'un que l'autre et ça donne une dimension "aventure" au voyage. Finalement, nous serons quatre et pas deux. Bien ! Et on n'y va pas en train mais en voiture ! très bien donc ! Pour le reste, on verra bien... Ca commence bien, j'ai oublié le plan, mais c'est pas grave, on commence à connaître, ce n'est jamais que la 4è ou 5è fois qu'on y va. Le départ est tonitruant, on est tous plus surexcités les uns que les autres, on se passe en boucle en hurlant à tue-tête LE tube de 'Die Höhner'. Arrêt dans un resto-route après Liège histoire de manger... et de vomir ! Inimaginable comme ces chaînes de "restaurants" parviennent à faire comme infâmies culinaires. Même ma grand-mère paternelle en était incapable et, croyez-moi, elle parvenait à me faire pleurer lorsque j'étais enfant rien qu'à la vue de l'assiette qu'elle me servait. Soit ! On continue pour enfin arriver face au Dom et faire la fête !!! Cologne ! inutile de dire qu'on n'y va pas en touristes, la promenade dans la ville s'apparente plus à un chemin de croix qu'à une balade de santé. Mais où qu'elle est donc cette fichue animation ? Où qu'ils zont mis c'te place avec le monde encore ? T'as faim ? Ouais ok, on bouffe là ! Du... shopping ? mais quelle idée ? Bon d'accord. Mais euh c'est quand qu'on boit ? Parce que c'est bien gentil toutes ces boutiques mais ça vous fournit pas de bières....
Aaaaaaaaaaah ! Nous y voilà ! Grosso modo, une beuverie germanique. Foutez des Allemands, du soleil, de la bière, de l'alcool, mettez des mecs, beaucoup de mecs, trop de mecs, et vous voilà aux festivités entourant la gay pride de Rhénanie. Ils ont coutume de dire que la population colonaise double en cette période, ça vous donne une idée de l'ampleur de la manifestation...
La ville est abandonnée à la culture gaye, à savoir la bière, la tequila, le mojitos et la caipirinha ! Une bonne soirée donc !!! :o))
Sur le coup de 4 heures, l'alcool ayant fait pas mal de dégâts chez trois d'entre nous (pauvre M. qui ne boit pas, obligé de supporter 3 saoulauds dans mon genre, ça doit pas être une sinécure !!!), la fatigue ayant aidé, on décide d'aller dans une station thermale ouverte 24h/24 histoire de prendre une douche (c'était pas du luxe) et de dormir un peu. Dans un espace pouvant contenir 1500 personnes, ils en avaient mis plus du double qui avaient eu la même idée que nous. Pas grave, on patientera un peu histoire de se trouver une cabine où ronfler un moment. Vaine patience plus que saine... 9h30, un petit-déjeuner copieux "à l'allemande", un tour de ville et un besoin irrépressible d'un lit, d'un vrai ou, du moins, d'un peu de repos. Le choix opéré est d'aller dormir dans un autre sauna, un sauna plus luxuaux mais qui, nous l'espérons, sera vide grace à la parade qui va débuter. Bingo ! Nous filons nous doucher et dormir, qui bronzant près de la piscine, qui dans une cabine sombre. J'avais opté pour la deuxième option... Mauvaise idée !!! Au bout de moi-même, je me suis effondré sur ce mauvais matelas de plastique en espérant la clémence de Morphée. C'était sans compter sur l'enthousiasme de certains de mes 'camarades' de chambrée. Gloups ! Je me suis rapidement fait réveiller à grands coups de "Oh Ja ! Oh Ja ! Oh Ja !" perçants et accompagnés de coups sur la paroi de la cabine... Ah ! Apparemment, du monde est arrivé... J'ai plusieurs fois retenté de m'endormir là ou aux bords de la piscine mais tous mes essais se sont soldés par des échecs. J'ai donc pu voir un défilé de body-builders, gyms queens etc etc. Bref, une valse de corps plus ou moins bien faits mais tous surrepréentés, allant jusqu'à l'écoeurement. Le temps que tout le monde finisse sa petite sieste, ses petites ablutions, etc, etc, la décision est prise de partir (enfin !) et... d'aller manger. Hop ! un repas vite avalé, retour vers la voiture et départ vers Bruxelles. Il aura presque fallu tirer le conducteur à la courte-paille tant aucun d'entre nous ne se sentait la force de conduire. On ne se sera jamais autant arrêtés entre Cologne et Bruxelles d'ailleurs :o)
Bref, rentré vers 23 heures chez moi, ai juste trouvé la force de me traîner sur mon lit et de m'endormir jusqu'à ce que mon chat décide, vers 11 h ce matin, qu'il était temps que je me lève. Mes courbatures ont, elles, décidé que j'irais me coucher très tôt ce soir...
Un excellent week-end en somme...
14.7.06
12.7.06
Vacances, j'oublie tout....
Bon ça va pas plaire à tout le monde je le crains mais moi, ça me fait rire ;o)
Ca peut servir...
11.7.06
Un vent de communautaire soufflera du Nord aujourd'hui
Je serais curieux de voir comment le pays va évoluer dans les 10 à 20 prochaines années... à suivre donc !
Onéreux ?
Evidemment, depuis que je me suis rendu compte qu'ils s'étaient trompé en encodant le montant sur le terminal de paiement et que de 75 €, elles sont passées à ... 750 €, je les trouve un rien moins jolies ces shoes ! Résultat des courses, j'ai plus un sou vaillant et suis soumis au bon vouloir de leur comptabilité pour le remboursement. Ils semblent de bonne foi, je ne m'inquiète pas trop. Le hic, cette charmante dame m'a prévenu que ça risquait de prendre du temps.. Ah ces services compta des grosses boîtes, j'vous jure ! Enfin, une chose est certaine, c'est que, je ne ferai pas les soldes cette année et que, dorénavant, je redoublerai de prudence avant de mettre mon code dans un terminal de paiement...
10.7.06
CdM
7.7.06
De belgitude en belgicismes... #02
(fonctionne également avec "un bic pour moi écrire" )
6.7.06
4.7.06
2.7.06
" (...) disait toujours je m'en fous, je serais..."
Tout simplement, une vie simple et riche de prostituée de carrée...