31.5.06

Envie...

de la douceur de ses doigts sur ma peau; de Ville éternelle; de balades infinies au sein des sept collines de l'Urbs; de promenades le long de l'Arno; de traverser le Ponte Vecchio; de revoir le Palio; de continuer à me sentir beau dans le miroir de ses yeux; de soleil et de teint halé; envie de fraîcheur et de douceur; de rester là les pieds dans l'eau; de siroter mes cocktails aux agrumes sur une terrasse amicale; d'observer le Vésuve; de végéter avec vous balayé par un mistral léger; de ressentir encore la profondeur de tes ongles dans le dos; de continuer de sourire malgré les doutes et les interrogations; envie de vacances et de visites; envie de moments simples, de joies et d'onirisme...
Qui m'emmène ?

30.5.06

Je rattrape mes retards

Donc, avec beaucoup de retard, c'est haut et fort que je chante un joyeux anniversaire à Alexandre...
(merci Eltan pour l'info)

Question à la Une

Tiens ? N'aurait-on pas dû chanter un joyeux anniversaire à Peio ?

29.5.06

interrogation : à quand le passage à l'heure adulte ?

Peut-être faudra-t-il un jour que je cesse de me poser des milliers de questions. A quoi cela rime-t-il ? A quoi cela me mène-t-il ? Pas très loin, je dois bien le reconnaître. Néanmoins, je sais que lorsque j'envisage la possibilité d'un feu de paille, on me lynche en place publique, on me dispute, on me traite de pessimiste, etc..
Et pourtant, force est de constater que je me connais, que d'entrée de jeu je reconnais les problèmes probables (plutôt que possibles), qu'ils se révèlent rapidement, à mon grand dam. Surtout ici, surtout maintenant.
Et pourtant, il est touchant; et pourtant, je l'aime bien. Pour une fois, plus d'obstacle de distance; plus d'obstacle de la langue, un bruxellois francophone, enfin !!! il y avait longtemps.
Et pourtant, une différence de taille, imposante, écrasante, prenante. Je m'interroge. Mais commencer à s'interroger, n'est-ce pas ne pas oser répondre ?

Grmblblbl

Back to work !

28.5.06

Me suis chopé une bonne crève, moi, avec toutes leurs conneries...

27.5.06

Y a comme un juke-box à daubes dans ma tête


First I was afraid
I was petrified
Kept thinking I could never live
without you by my side
But I spent so many nights
thinking how you did me wrong
I grew strong
I learned how to carry on
and so you're back
from outer space
I just walked in to find you here
with that sad look upon your face
I should have changed my stupid lock
I should have made you leave your key
If I had known for just one second
you'd be back to bother me

Go on now go walk out the door
just turn around now
'cause you're not welcome anymore
weren't you the one who tried to hurt me with goodbye
you think I'd crumble
you think I'd lay down and die
Oh no, not I
I will survive
as long as i know how to love
I know I will stay alive
I've got all my life to live
I've got all my love to give
and I'll survive
I will survive

It took all the strength I had
not to fall apart
kept trying hard to mend
the pieces of my broken heart
and I spent oh so many nights
just feeling sorry for myself
I used to cry
Now I hold my head up high
and you see me
somebody new
I'm not that chained up little person
still in love with you
and so you felt like dropping in
and just expect me to be free
now I'm saving all my loving
for someone who's loving me

(Gloria Gaynor, I will survive, )


Finally it has happened to me

Right in front of my face

My feelin's can't describe it

Finally it has happened to me

Right in front of my face

And I just cannot hide it



Meeting Mr. Right, the man of my dreams

The one and only true love or at least it seems

With brown coco skin and curly black hair

It's just the way he looks at me, that gentle lovin' stare



Finally you come along

The way I feel about you it just can't be wrong

If you only knew the way I feel about you

I just can't describe him oh no no



CHORUS

CHORUS



It seemed so many times he seemed to be the one

But all he ever wanted was to have a little fun

But now you've come along and brightened up my world

In my heart I feel it I'm that special kind of girl



Finally you come along

The way I feel about you it just can't be wrong

If you only knew the way I feel about you

I just can't describe him oh no no



CHORUS

CHORUS



Finally

Ooooooooh finally yeah yeah

Oh



RAP: True love, a feelin' I never knew

Until you came into my life and now it's real

I never knew that I would find the time

Before you I thought love was blind



And my life was coastin' out my emotion

Too strong for words, you're set for devotion

A-pushin' me from mutual attraction

True love, the chemical reaction



Then my actions

Reflect those of a way to makin' this a better love

A never ending plan like man and wife

Flavourful to my life like a spice



Summon me to death, you're my big mean of protection

My one and only source of affection

So I'm puttin' all games behind me

I've been lookin' for the key to love and I've found it finally



CHORUS (to fade)

(Ce Ce Peniston, Finally)


Ah ben oui ! cet aprèm, c'est la Gay Pride, ce doit être de l'entraînement inconscient

26.5.06

Rainbow's children

Brussels' Gay Pride - May 27th 2006

25.5.06

Pensée légère à l'égard de moi-même ... (et des autres)

Un Homme qui n'a pas de droits mais qui conserve des devoirs est un esclave.

Si la base de la Démocratie était réellement acceptée, ingérée, digérée, respectée, il n'y aurait plus besoin de légiférer. Toutes les lois discriminatoires et/ou iniques des pays dits démocratiques sont, de facto, anticonstitutionnelles.
L'octroi du droit de vote aux résidents étrangers, l'union et l'adoption par des couples de même sexe, par des familles monoparentales, toutes ces revendications sont d'emblée accordées !

C'est injuste de devoir se battre pour le respect d'un principe acquis il y a plus de 200 ans !

Nier ce principe, le mettre à mal, c'est s'attaquer aux fondements mêmes de nos sociétés. N'en déplaise à Monsieur Vanneste, il n'existe pas de citoyens inférieurs, le supposer, le suggérer, même en se retranchant derrière le principe (fallacieux) de la liberté d'opinions, c'est se mettre "hors-la-loi", c'est bafouer, injurier, insulter, l'ensemble de l'espèce humaine.

La Démocratie individuelle n'existe pas, cela se nomme au mieux la tyrannie, au pire la dictature !

La base de la Démocratie

Tous les Hommes naissent et demeurent égaux en droits.





Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen, 26 août 1789

24.5.06

Quelle famille !!!

Y a vraiment que mon frère (oh ! toi que j'aime !) pour poster le 24 mai un commentaire d'un post ... du 28 août !
Normal, après tout, il est métaboliseur lent l'gaillard ! ;o)

Oups !

Visiblement, ça ne se fait pas de bailler en s'étirant lorsqu'on est au boulot...

L'invasion gémellique

Il y a quatre ans de cela, quatre ans et deux jours exactement ! Je tentais vainement d'appeler ma soeurette sur son fixe, sur son portable, etc, etc...
Je me devais de lui dire que je savais que l'enfant qu'elle attendait serait une fille puisque nous étions le 22 mai, que cette enfant serait gémeau et qu'il semble exister une espèce de prédestination familiale à ne faire que des filles gémeau dans cette satanée famille. Cela avait commencé quelques décénnies auparavant, ma grand-mère lançait la mode en naissant, poursuivait avec sa fille aînée qui, elle-même, perpétuait la tradition en devenant la génitrice de ma soeur. Ma tendre soeur n'avait pas pu échapper à la régle avec sa première fille et là, au moment de l'arrivée imminente de son deuxième enfant, espérait échapper à un destin répétitif.
Mais au matin du 22 mai 2002, alors que mon oreille chauffait à entendre des sonneries sans fin d'un téléphone qu'on ne décroche pas, des messageries vocales qui vous transmettent le même message de manière enjouée, Grande Soeur donna naissance à un magnifique bébé qui fut baptisé... Juliette. L'honneur était sauf, les traditions familiales sauvegardées. Quatre ans et deux jours pour ce bébé. Et, il y a trente-quatre ans aujourd'hui, Papou d'amour craquait pour la première fois face à tes grands yeux verts....

Bonne anniversaire, soeurette !

23.5.06

Si Monsieur Gepochte recontre Madame Geclouchte, je vous dis pas la tronche des enfants !

humeur du jour

En demi-teinte...

22.5.06

Rappel



Récapitulons

Bon ! Alors, je ne peux plus parler de yaourts; plus de fruits en règle générale,... de la nouvelle (et très laide) terrasse du Fontainas, non plus, pas d'intérêt (mais ce n'est pas un critère). Du DJ qui mixait dans ce même fontainas hier ? Oui, je sais, il est tout un poème mais qu'aurais-je à en dire que tu ne sais déjà, tu as depuis longtemps percé jour les mystères de Monsieur Bocal. Pfffff ! à force de me faire des reproches insensés, je n'ose plus rien écrire.

Ayez des amitiés aviaires, je vous jure !!!

21.5.06

Question # 71

Mais où donc est passé le glamour ?

20.5.06

keep on smiling

Si c'est de la rareté que naissent beauté et richesse, j'ai alors décelé une perle. Lorsqu'il m'a souri pour la première fois, j'ai enfin ressenti ce que j'attendais depuis longtemps. Un noeud, des papillons, l'estomac qui s'évapore. La sensation de vivre...

Sûrement un feu de paille !

19.5.06

Open area

Parlez-moi de vous !

18.5.06

P'tain ! On est même pas en finale !!!


Titillé par une folle envie de changement, dans la continuité, j'ai donc essayé un nouveau goût pour mes yaourts Vitalinea 0% de sucres (ajoutés).
Dans la continuité car 1 - Ce sont toujours des Vitalinéa et que ce sont quasiment les seuls yaourts que je mange.
2 - Changement car ils ne sont plus à la fraise mais continuité car ils sont au pamplemousse ...
Hé bien, entre nous, le pamplemousse, je le préfère vivement avec une cerise confite, de la liqueur de fraise et de la vodka ! Y a pas à dire !!!

Sentiment d'utilité

J'aime lorsque des discussions animées se transforment en débat d'idées. J'aime d'autant plus lorsqu'elles se soldent par un "j'avais jamais envisagé ça comme ça et, vu sous cet angle, c'est imparable".
Lorsqu'à force de discuter, de disserter, vous convainquez quelqu'un du bien fondé de vos paroles, vous en faites un convaincu plus prosélyte que vous. Quand vous l'avez mené sur la voie de la tolérance et de l'acceptation de l'autre et de soi, vous vous sentez gonflé de ce sentiment d'utilité qui exclut tout orgueil mais qui vous remplit simplement de joie...
Ainsi, par des mots simples, vous parvenez à faire comprendre aux gens qu'on ne fait pas aux autres ce qu'on ne désire pas qu'on nous fasse; ainsi, vous faites comprendre que les valeurs fondamentales de notre démocratie reposent sur les libertés individuelles et collectives ainsi que sur le respect de chacun; ainsi l'on comprend mieux qu'il ne peut exister de citoyens de seconde zone, que l'idée même est en parfaite contradiction avec l'idée de justice et de démocratie.
En opposant ces idées simples mais vraies et ressenties, en mettant les choses en situation afin de les rendre tangibles, on peut faire face au trop galvaudé 'bon sens citoyen' sur lequel s'appuient toutes les démagogies.

17.5.06

Envie (besoin ?) de dormir !

zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Elle s'appelait Luna...

(BELGA)

(Source)

you got mail

Il y a des mails que l'on reçoit parfois sans qu'on s'y attende. Reçus comme un bouquet de roses ou un baiser d'enfant. Ils font plaisir autant qu'ils émeuvent. Ca soulage votre matin, c'est bon...

14.5.06

Toekomst à venir

Il faisait beau dans les rues de Bruxelles ce samedi. Le soleil était de la partie et faisait sourire tous les participants de cette quatrième Zinneke Parade, cet événement bruxellois bisannuel d'inspiration carnavalesque. Près de 100.000 personnes dans les rues de Bruxelles à regarder le cortège, à y participer aussi. Le public, comme le cortège, est bigarré, symbole des diversités culturelles et/ou ethniques des citoyens de la Cité.

Pour rappel, un zinneke désigne, en bruxellois, un chien bâtard qui était noyé dans la Senne (Zinne). Par extension et analogie, il désigne le bruxellois qui se trouve à la croisée du flamand et du wallon. Cet événement, mis en place pour la première fois il y a six ans dans le cadre de "Bruxelles 2000", a d'emblée adopté un principe très simple : tenter de mettre fin à l'élitisme de fait de l'accès aux Arts et à la Culture en l'amenant dans la rue et en partant de la rue, en allant rechercher, forcer la créativité des gens de la rue. Pendant deux ans, chaque atelier, chaque "zinopôle", prépare ce défilé en faisant preuve d'imagination, en confrontant les idées créatives. Ces ateliers font se rencontrer des gens de milieux divers, pas toujours amenés à se rencontrer. Elle tente de mettre en exergue les notions de cosmopolitisme, de diversités, de rencontres et de partages qui font la force et la richesse de notre capitale. Démarche intéressante aux résultats contrastés et riches. Il y va de l'appréciation de ces créations comme de celles que l'on rencontre dans les espaces plus confinés des musées; on aimera l'oeuvre ou pas.
Mais en tout état de cause, la fête est à chaque fois une réussite qui ne se dément pas, on se laisse gagner par la bonne humeur ambiante, on se reconnaîtra toujours dans l'un ou l'autre aspect de l'événement.
J'aime cette fête populaire qui oblige à décloisonner, qui amène la rencontre et, donc, la connaissance de l'autre et de soi.

Pfffffff ! Encore deux ans à attendre, vivement 2008 !

13.5.06

In the spring,...


Flâner dans les abords boisés du Parc, parcours forcé pour rentrer chez moi après une journée de travail intense (hum, hum). Savourer la douceur d'une bise légère m'effleurant les joues et sentir les embruns du printemps naissant. Ah ! le joli mois de mai, comme on s'usait à nous l'apprendre lorsque nous étions enfants. Bruxelles, au printemps, respire le bonheur. La ville est aérée, belle, les gens y sont heureux en ce moment, les sourires fleurissent les lèvres des passants, des chalands, des badauds. Rien ne semble pouvoir troubler la joie qui nous pousse à quitter notre nid pour nous laisser nous bombarder de soleil et de fraîcheur.
Nous sommes là, profitant de chaque rayon, déplaçant les tables et chaises des terrasses au gré de Râ, en pleine quiétude, pleine insouciance, assumées, revendiquées. Car nous savons, nous nous doutons que cela ne durera guère. Si la chaleur se poursuit, nous savons que l'air partira. L'été bruxellois est un enfer, sans milieu. La chaleur y est moite, étouffante ou alors, c'est la pluie et le froid qui prennent ici leurs quartiers d'été. Si l'été est pourri, il y règne alors un temps de fin d'automne. Le printemps, seul, à Bruxelles, nous permet de croire aux origines latines de la cité. Et je profite et savoure, chaque minute de soleil frais est une victoire et je me sens d'emblée une âme de conquérant !

12.5.06

Question # 70

Pourquoi faudrait-il que j'aille mal ?

un printemps anversois

A tous les racistes de tout poil, tous les fachos, tous les (néo) nazis, les extrémistes en tous genres, je vous conchie, je vous vomis, je vous gerbe. Vos propos sonnent comme des éructations et le moindre de vos mouvements est une défection empreinte de flatulences âcres ! A vous, les démagos aux termes trop simples, aux idées simplistes et tellement dangereuses, si j'étais croyant, je vous maudirais bien au-delà de la treizième génération.
A vous qui réclamez droiture et justice, règlements et ordre, qui refusez de comprendre le principe-même de l'abolition de la peine de mort, eh bien à vous, je vous l'accorderais bien volontiers, j'irais presque jusqu'à vous proposer une réinstauration de la "solution finale", tous les fachos gazés, d'un coup, d'un seul, choisissez votre gaz !
Mais je ne serai pas de ceux qui sombrent, qui tombent aussi bas que vous, je ne serai aussi vil, vous ne le méritez pas. Je reste cohérent aussi, j'y tiens. Mais qu'on ne me demande jamais de tolérer de tels actes gratuits, ni d'accepter les propos qui mènent à ces actes ! Je me suis indigné du meurtre de Jo Van Holsbeeck, je me révolte aussi de ces crimes crapuleux, exécutés de sang froid par un jeune homme, encore adolescent, maléable à souhait, et formaté par vous !
Alors, à vous, les bien pensants, les tenants d'une "idéologie" inique basée sur rien, sur du vent, sur la haine et l'alimentation d'une peur, croisez donc un miroir et fixez votre regard dans les yeux qui vous font face... S'il vous reste une âme, vous saurez !
Serez-vous encore capables de dormir ?
D'abord des mots et puis...
Le Premier ministre Guy Verhofstadt a raison lorsqu'il dit: «Nul ne peut désormais ignorer ce à quoi l'extrême droite peut mener.» Les récentes agressions contre des étrangers qui ont eu lieu en Flandre doivent inquiéter. Le climat raciste et xénophobe entretenu par le Vlaams Belang au nord du pays y est sans doute pour
quelque chose.
Certes, le temps n'est plus aux «sale juif», «sale nègre» ou «sale bicot». Ces mots-là traduisent trop crûment l'opinion de ceux qui les emploient. Ils restent réservés aux arrière-salles de café où l'on est entre soi.
Le Vlaams Blok s'est rhabillé en Vlaams Belang avec pour objectif d'être plus présentable. Il applique aujourd'hui, avec brio, une stratégie de langage de «contournement» pour exprimer ses thèses néoracistes. A «les étrangers dehors», il préfère aujourd'hui, inspiré par le Front national français, décliner ses arguments sur le thème de la «préférence nationale». On rappellera ici l'habileté de Le Pen déclarant il y a plus de 20 ans déjà: «J'aime mieux mes filles que mes cousines, mes cousines que mes voisines et mes voisines que des inconnus». Un apparent bon sens, qui n'est qu'une virtuosité verbale, pour faire passer une xénophobie douce qui a conquis une large part de l'électorat flamand. Mais le vieux fonds de commerce «sang, sol, racines, identité, patrie» est toujours bien présent.
C'est d'abord par les mots du quotidien que s'exprime le racisme. Les discours permettent ensuite le passage à l'acte, la mise en pratique politique. Dans tous les cas, le racisme joue sur le fantasme de la différence dont il faut se prémunir, se protéger puisqu'elle constituerait un danger. Les dynamiques psychologiques que met en oeuvre le racisme sont puissantes: elles jouent sur la peur, désignent l'étranger comme bouc émissaire responsable de toutes nos frustrations.
Sur les esprits faibles, le racisme aggrave ces perceptions en «rationalisant» la perception de l'étranger comme la cause du malheur. Le meurtre de Joe Van Holsbeeck a montré combien une collectivité tend à être désignée comme bouc émissaire. Un individu de «type nord-africain» stigmatisait tout un groupe social. Et la crainte manifestée par la communauté polonaise visait à éviter cette généralisation
absurde. Contrairement aux prétentions qu'elle se donne, la pensée néoraciste, malgré les apparences de logique, n'est pas une pensée rationnelle. Elle est d'abord un condensé de préjugés et sa force procède d'un principe d'évidence communément admis par une partie du corps social à un moment donné. A force de banaliser ce discours, à force aussi de voir les forces démocratiques - notamment en voulant rompre le cordon sanitaire - surfer sur ces thèmes, certains «fous» troquent les mots contre un revolver. Les mots aussi finissent par tuer.
Michel Konen, in La Libre Belgique, vendredi 12 mai 2006, p.5

Ne deviens pas comme moi !

Vidé de toute substance, presque sans âme, le coeur fermé bien malgré moi. Ne deviens pas comme moi à ne plus croire, ne plus y croire. Ne plus devoir prendre du recul, être déjà trop loin; loin de tout, loin de l'autre, loin des autres. Nulle histoire qui s'achève, aussi puissante, aussi intense, aussi riche soit-elle ne mérite la létargie du coeur.
Ne deviens pas comme moi, ouvre-toi et souris ! Oh ! oui, souris ! Dieu que tu es beau quand tu souris, sincèrement, spontanément...
Et si le mal te ronge, et si l'envie t'en prend, viens me voir, comme un ami, le plus proche, celui qu'on gifle lorsque l'on souffre, celui au visage duquel on crache, sur lequel on vomit son venin et sa haine pour voir renaître son espoir.
Je serais cet ami car j'éprouve encore, pour toi, le plus fort des sentiments dont je suis encore capable :
Une infinie tendresse.

10.5.06

Catastrophe !

Je ne parviens pas à me sortir cette chanson de la tête (voir un peu plus bas) !!!! Il y a vraiment intérêt à ce que cette fichue blonde remporte ce Grand Prix Eurovision !!!!

Dans le bus

Faut-il se manquer de respect pour véhiculer une telle odeur ! Est-il temps de le dire ou devons-nous continuer de les laisser feindre un problème hormonal ?

9.5.06

Y aurait de quoi lancer une rumeur

Vous ne trouvez pas ?

Ca ne vous rappelle rien ?

C'est pas bientôt fini oui ?

Même au boulot !!! ça me poursuit !!!

Reçu un mail sur ma messagerie professionnelle d'une certaine Mme Cowder, inconnue au bataillon. Le sujet de son mail : "Burn body fat". Grrrrrrrr ! Co***** !!!!


Au passage, je remercie l'antivirus de mon boss qui prit la précatuion de noter [CAUTION : SPAM FOR SCAN MAIL PLEASE CHECK SENDER]

j'ajouterais, please kick sender off !!!

8.5.06

Pfff

Avec ce week-end d'alcoolo, j'ai loupé la victoire de Clijsters à Varsovie !

Résumé d'un week-end :

Alcool, fontainas et découverte...
j'ai aimé !!! ;o)




bah ! j'ai bien fait mes 18 heures terrasse non ?

J'ai une chanson en tête...

The sum of all my fantasies
That's everything you are to me

You came around and made my senses fly
Shook me up when you took me to the sky
Never thought that I could ever get this high



Je t'adore
And I can't conceal it
Je t'adore
Anyone can see it
You give me just a little more
Of everything I've waited for
Je t'adore
Here's my heart so take it
Je t'adore
Only you can break it
You got me fallen to the floor
Anyway you want I'm yours
Ooh je t'adore

Bye bye to all the lies I've heard
You made a different kind of girl

You spun me out and you made my senses fly
Shook me up when you took me to the sky
Never thought that I could ever get this high

Je t'adore
I can't breathe without you
Je t'adore
I'm not me without you

You're the rush that I missed
Made a wish that I'd feel a kiss
Just like this


Je t'adore
Yeah you made me feel it
Je t'adore
And I really mean it
You give me just a little more
Of everything I've waited for
Je t'adore
Here's my heart so take it
Je t'adore
Baby don't you break it
You got me fallen to the floor
Anyway you want I'm yours
Ooh je t'adore

(Kate Ryan, Je t'adore, 2006)



décès






Je ne suis pas sûr de m'en remettre...

7.5.06

.

Hé bè, l'salopiaud, c't'un sacré soûlaud !!!

6.5.06

En train de lire (ma table de chevet) # 10

Philippe Besson, l'Enfant d'Octobre, Grasset, Paris, 2006

Mon (humble) avis :

On change de registre cette fois-ci, avec Besson, et pourtant, on le retrouve tellement. Tout est récurrent chez lui, sans pour autant lasser. Encore une fois, il est question de la perte de quelqu'un, encore une fois, il est question d'amour, encore une fois, le roman est construit sur une base duale; d'un côté le narrateur, parlant à la troisième personne, semblant donner du recul à l'histoire, bien qu'impliqué, bien que convaincu, bien que militant; d'un autre, l'héroïne bien malgré elle de ce fait divers tragique. Basé sur un fait réel qui a secoué la France il y a un peu plus de vingt ans, le roman, car il s'agit avant tout d'un roman, retrace l'histoire du petit Grégory telle qu'elle aurait pu être vécue par les yeux de Christine Villemin. Véritable plaidoyer en faveur de la mère de l'enfant, Besson a imaginé ce qu'auraient pu être les sentiment, les paroles, les pensées de cette femme face à l'assassinat de son fils, face à l'enquête qui mena à son inculpation puis à la reconnaissance de son innocence par la justice. Documenté, il retrace les atermoiements du, ou plutôt des juges d'instructions successifs; il évoque la pression médiatique influant les direction d'une enquête, aujourd'hui classée et pourtant inaboutie, inachevée. Je ne rentrerai pas dans la polémique qui a déjà fait rage, sur les menaces de procès émanant de Christine Villemin à l'encontre de l'auteur; même s'il peut sembler étonnant de se constituer partie civile contre quelqu'un qui vous défend bec et ongle, qui tente à ce point de vous réhabiliter. Au niveau formel, on retrouvera ici tout ce qu'on aime, ou pas, chez Philippe Besson, son trait propre, son indéfectible besoin d'être simplement humain. Le thème même du récit est ce qu'il affectionne le plus. Survivre à la perte d'un être cher grâce à l'amour, tout simplement, comme dans Un Instant d'abandon, l'héroïne ici devra faire face à l'opprobre publique; comme dans Les Jours fragiles, le narrateur se met à la place de la femme, comme dans Un garçon d'Italie, comme dans En l'Absence des Hommes, le récit est construit de façon alternée, changeant de narrateur, presque de point de vue, à chaque chapître. Certainement aussi émouvant que son premier roman, moins puissant sans doute, cette oeuvre m'a malgré tout séduit, ému même si, au sortir de la lecture, je n'ai pas ressenti ce sentiment de douceur et de tendresse qu'il avait pu me procurer dans En l'Absence des Hommes et, surtout, dans l'Arrière Saison.

Réflexion légère sur moi-même... (ou les autres)

Se tourner sept fois les doigts dans les poches avant de taper sur son clavier.

Envie de

voir les marguerites en fleur et de sentir le lilas

5.5.06

Aaaaah !

Une douche !!! J'ai besoin d'une douche !!!!

4.5.06

Sourire aux lèvres

Se passerait-il quelque chose ? Pourtant, on m'a spolié des brins de muguet offerts...

3.5.06

Question # 69

Vous avez eu votre brin de muguet ?

1.5.06

Question # 68

A la bretonne ou à la flamande ?