30.3.06

David s'en va

Et c'est dommage... l'enfer lacrymal avait cédé la place à l'absolu vindicatif, celui-ci s'efface désormais. J'aimais te lire, cher David, et tu le sais, Papa Lucifer manquera à mes lectures. Je respecte ton choix, sans jugement et sans demande de retour, pas 'oh non ne fais pas ça', non. Je n'ai au fond qu'un regret, qu'une peine, c'est que tu emportes avec toi la somme de tes textes que je ne pourrai relire....
Bonne route et fais-nous signe

Du fantasme... à la réalité


Qui peut prétendre ne jamais avoir fantasmé cela ?
Une fin de journée printanière bercée au rythme d'un boulot amusant. Les rayons du soleil de cette fin d'après-midi continuent de sècher le quai de gare souillé du passage des giboulées. Les portes du train s'ouvrent, je monte et m'installe dans un wagon désert.
Un homme, la quarantaine arrivant, s'installe sur la banquette en diagonale de la mienne. Tous deux, livres à la main. Les regards se perdent, se fuient, se croisent; les pages tournent peu, Yourcenar attendra encore un peu. Trente-trois minutes de trajet, autant de temps de jeux de regards. Tout doucement, le train approche de la capitale, destination finale. L'homme se lève, se dirige vers moi, passe outre, ouvre la porte et entre dans les toilettes. Les portes restent ouvertes. Je reste assis, ébahi, troublé presque. Au bout d'un court instant, il ressort, revient vers le compartiment et s'assied face à moi. Sourire timide et voix tremblante, chevrotante.
- Hello !
- Hello.
- euh... (...) [long, très long silence ] Sorry for the open doors
- I'm sorry, I don't think it's a good idea
- [lui, mine déçue] Oh... OK then !
- It was just the situation I guess...
- I understand ! It's a first
- For me too

Larges sourires et lui de conclure :
- Thanks for having done my trip a nice one


Ca n'avait l'air de rien comme ça mais je me suis retrouvé hébété, ahuri, troublé et angoissé. Je suis descendu du train, en même temps que lui, je n'avais qu'une envie, courir, fuir, loin. J'ai gardé une petite heure, ce léger sourire imbécile pointant à la commissure des lèvres... J'admets avoir longtemps rêvé que pareil cas se présente à moi, surtout lorsque j'étais plus jeune. J'espérais bien évidemment que l'homme en question ressemblât plus à Johnny Depp, ce n'était pas son cas, c'était pas Carlos non plus, il n'était pas mal, pas mon genre avec le recul mais pas mal... En tout cas, ça m'a mis dans un de ces états cette histoire !!!

29.3.06

Dérapage budgétaire

L'Etat belge s'inquiète, se désole de son énorme dérapage budgétaire dû à l'immense succès rencontré par les "chèques-services". C'est vrai que des +/- 380 millions d'Euros notés au budget, on arrive à un budget un rien supérieur (+/- 530 millions d'Euros). Mais bon si l'on se dit que rembourser 100 millions d'euros aux compagnies pétrolières n'est pas un drame en soi, ben oui faut bien rembourser le chèque-mazout que ces pauvres petits indépendants que sont Total, BP, Shell, etc... avaient gentiment avancé, qu'est-ce donc dans ce cas un "dérapage" de 150 millions dans le cadre des chèques-service ?
Resituons les choses dans leur contexte. Le gouvernement belge a décidé il y a quelques temps d'instaurer des chèques-services afin de faciliter la réinsertion professionnelle de main-d'oeuvre sous ou non qualifiée et de lutter contre le travail au noir. Ainsi, le particulier payera sa femme de ménage qu'il déclarera 6,87 € de l'heure et l'Etat suppléera pour arriver à +/- 21 €/h. En outre, le particulier utilisant ce service pourra déduire ses chèques fiscalement à raison de 30%.
Fort du succès, on compte près de 26.000 emplois (équivalents temps plein) créés par ce biais ! Mais, revers de la médaille, la somme que l'Etat doit sortir de ses caisses est plus élevée qu'escomptée. Gros débat, il faut compenser ou diminuer les frais !
Et là je m'interroge....
1/ 26.000 personnes au chômage (et parfois travaillant au noir) retrouvent un travail rémunéré ET déclaré
2/ L'Etat les paye en partie mais cela leur coûte moins cher que le chômage
3/ 26.000 personnes sortent des circuits de l'assistance publique et réintègrent la vie active.
4/ 26.000 personnes payent à nouveau des impôts.
Alors ??? Pourquoi l'Etat ne regarde-t-til pas ce qu'il va récupérer en impôts l'an prochain et voir combien la balance, au final, sera positive pour lui ????
Par moments, les raisonnements des libéraux m'échappent...

Question # 63

On le musèle quand, Berlusconi ?

28.3.06

Mille excuses

Sentiment étrange que celui d'être certain d'avoir quelque chose de prévu ce soir. Seulement... impossible de me souvenir de ce que c'est ! Impossible ! J'ai la tête comme une passoire ! Vidé le père khoyot ! Alors, j'ai attendu en me disant qu'on allait m'appeler et donc... se rappeler à mon beau souvenir mais rien, toujours rien.
Ce n'est pas dans mes habitudes de poser des lapins, certes, j'ai un tempérament foireux mais au-delà de ça, j'essaye toujours de prévenir. Mais là, trou noir !!!!
Alors, qui que tu sois, j'espère que tu liras ces lignes et que tu sauras qu'il n'y avait aucune malice de ma part. Je suis profondément désolé de ce 'contretemps' mais je promets d'enfin m'acheter un agenda et de le remplir et de le consulter...

PS Aux autres que je dois voir cette semaine, merci de m'envoyer un sms pour me le rappeler car je n'ai plus la moindre idée de ce que contient mon agenda d'ici au 12 avril !!!!

Etat du jour


Sans fard et sans (im)pudeur, je l'annonce, je suis fatigué ! Un week-end au vert, loin de toute forme de civilisation, m'a plus épuisé qu'un week-end de sorties endiablées ! Ho bisogno di dormire...

24.3.06

France !


Penser à 2007 et rêver 1981...

A toi,


Toi, l'anonyme qui vient, qui arrive et repart.
Toi que je ne connais pas.
Toi qui m'interpelles et m'intrigues.

Encore une fois, je réitère ma demande,
trop longtemps restée vaine.

Qui es-tu ?

Avant que de partir

Avant que de partir, en ces terres lointaines
Avant que de partir, en ces contrées hostiles
Avant que de partir, en ces lieux méconnus
Avant que de partir, vers ces peuplades sauvages
Avant que de partir, jeter ici une dernière main
Un dernier regard, une pensée...
Avant que de partir, ces quelques jours durant
Avant que de partir, comme promet le printemps
Sur un rivage nouveau, tout de fleurs recouvert
Avant que de partir, je baise une nouvelle fois tes lèvres
Et sur tes joues rosies, et sur ton front suant
Je laisse courir ma bouche
Et sur ton corps si frêle, j'enlasse une fois encore
De mes bras trop serrés, te soulève

Avant que de partir, je te vois me sourire

23.3.06

Aiuto


constat


J'ai toujours voulu faire de ce blog un patchwork, un étal sans véritable fil conducteur; miroir plus ou moins fidèle de la somme de mes incohérences.

Question # 62

Le timide doit-il s'abstenir, de fait, de toute forme de vie sociale ?

Question # 61

Qu'est-ce donc que la timidité ? Comment la définissez-vous ?

Humeur # 83

Serein

22.3.06

1 Eurovision par jour

Et maintenant, X. va nous donner l'adresse du site où il tire toutes les informations...






(1ère Candi Histoire, 1ère phrase du 1er séminaire d'Histoire Contemporaine : "Un historien s'appuie sur des sources qu'il citera complètement et totalement, aucune extrapolation, aucune théorie ne pourra être validée ou considérée comme conforme ou intéressante si elle ne se base que sur des présomptions." Avant d'ajouter un charmant "On n'est pas des journalistes que diable !")

De Liège ou de Bruxelles ...


Voilà ! C'est fait ! Comme chaque année, j'ai essayé de manger une gaufre ! Et, miracle, aujourd'hui, je l'ai mangée entièrement !!!! Voilà une chose qui ne m'était plus arrivée depuis... juillet 1988. Mois au cours duquel j'ai été complètement dégoûté, écoeuré de ce produit dont j'étais tant friand, étant enfant. Depuis 18 ans maintenant, partant du principe que les goûts évoluent, j'essaye chaque année en hiver de succomber aux embruns de vanille disséminés sur le gaufrier. Et depuis 18 ans, je suis incapable de la terminer, à chaque fois, la nausée me reprend ! Ma gaufre d'aujourd'hui n'a pas failli à la tradition, ce n'est donc pas cette année que je m'arrêterai régulièrement en ville auprès de l'une ou l'autre de ces (nombreuses) échoppes, ou que je savourerai ce sucre fondant et chaud avec mon chocolat chaud. Pardon ? Pourquoi l'ai-je terminée ? Tout simplement, il n'y avait aucune poubelle à proximité...

Logique stibéenne ?

Plus je pars tôt de chez moi, plus j'arrive en retard...

Envie


Parfois, j'ai des envies, des besoins d'ermitage.
Manque de sommeil, manque de chaleur, de soleil, fin d'hiver, fatigue, lassitude...

Parfois, je voudrais être seul et ne penser qu'à rien...

Parfois, j'aimerais crier combien tu manques !

1 Eurovision par jour

Troisième extrait :

In the softest sand, smiling hand in hand, love is all around me
There's just one more thing I'd like to add - she's the greatest love I've ever had





PS Merci d'viter les "copier-coller" pour vos réponses ;o)

21.3.06

premières solutions


Don't... don't close your heart to how you feel
Dream, and don't be afraid the dream's not real
Close your eyes, pretend it's just the two of us again
Make believe this moment's here to stay
Touch... touch me the way you used to do
I know tonight could be all I'll have with you
From now on, you'll be with someone else instead of me
So tonight, let's fill this memory

For the last time -

Hold me now
Don't cry, don't say a word
Just hold me now
And I will know -
Though we're apart, we'll always be together
Forever in love
What do you say when words are not enough?

Time... time will be kind once we're apart
And your tears... tears will have no place in your heart
I wish I... I could say how much I'll miss you when you're gone
How my love for you will go on and on and

Hold me now
Don't cry, don't say a word
Just hold me now
And try to understand that
I hope at last you've found
What you've been searchin' for
And though I won't be there anymore
I will always love you

(Hold me now)
(Don't cry,) don't say a word
Just hold me now
And I will know -
Though we're apart, we'll always be together
Forever in love
What do you say when words are not enough?

What can I say?
Now my words are not enough


Johnny Logan, Hold me now, 1987

Représentant l'Irlande - Gagnant

1 Eurovison par jour

Deuxième extrait :

A noi che siamo gente di pianura
navigatori esperti di citta'
il mare ci fa sempre un po' paura
per quell'idea di troppa liberta'.

Eppure abbiamo il sale nei capelli
del mare abbiamo le profondita'
e donne infreddolite negli scialli
che aspettano che cosa non si sa.


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PS Pour faire un peu durer le suspense, j'active la modération des commentaires histoire que vous ayez tous la possibilité de répondre sans être influencé par les réponses précédentes

Je voudrais lire en toi

Trouver ou bien prendre le temps de lire ?

Trouver le temps ou trouver l'envie de lire ?
Forcer l'envie, l'aider à grandir jusqu'à en créer un besoin

20.3.06

Ah ! Bientôt l'eurovision !!!

Ben oui ! Ne nous voilons pas la face, il s'agit quand même de L'événement culturel de l'année non ? (je sens qu'on va encore me taxer de manquer de profondeur mais tant pis)

Alors pour fêter ce grand moment de la musique internationale, de temps à autres, quelques bribes de chansons emblématiques... But du jeu: reconnaître la chanson, l'interprète, le pays représenté, l'année de participation et si vous avez le nombre de points, la place à laquelle la chanson a terminé, etc, c'est encore mieux...

(Avec un titre accrocheur comme celui-là, j'ai peur de voir la foule affluer ici)

Premier extrait :

"Time... time will be kind once we're apart
And your tears, tears will have no place in your heart
I wish I.. I could say how much I'll miss you when you're gone
All my love for you will grow on and on"



Facile celui-là ! ;o)

Aujourd'hui ou demain ?

Giuseppe Archimboldo, Le Printemps, 1573

19.3.06

.

J'ai voulu faire de ma vie une passion et t'y mettre
J'ai voulu créer un rêve fusillé aux rayons d'un soleil ardent
J'ai voulu faire de mon coeur un rêve de fête
J'ai voulu te voir me sourire à pleines dents

On me reprochera ce que l'on voudra
Mais depuis mon premier jour, je crois !

Il y a des mots # 04 (suite)

Le terme d'estagnon est purement rédhibitoire, n'inspire rien, ne fait appel à aucun référent commun, connu. Néanmoins, il y eut des réussites flagrantes dans vos essais. Ainsi, la coiffeuse péronnelle de Manu eut les honneurs dus à son eau-de-toilette; les diatribes d'Aménie amenèrent volontairement les Pitous au sujet; Brouette en fit une pirouette heureuse et Alexandre baissa les bras avec succès, au fond c'était aussi un moyen de le placer...

Jolis efforts, j'aime !

De profundis, de vacui

J'ai toujours eu une admiration sans borne pour tous ceux qui sont capables de légereté permanente. Ce type d'attitude me fascine totalement. Le sentiment qui m'envahit dans mes moments de légereté crée, en moi, un bien-être jamais égalé. Je continue de penser que les gens qui en sont capables sont dotés d'une intelligence supérieure car, à mon sens, la légereté n'induit ni le vide ni la bêtise. Au contraire, elle permet le recul en évitant le détachement; elle aide à se poser sans dégâts, nous évite de nous détruire. Elle aide à trouver, finalement, cette ataraxie utopique si chère aux disciples d'Epicure sans le truchement des questionnements vains. L'absence de prise de tête n'impliquera jamais l'absence de tête. Savourer, se contenter et apprécier, y parvenir est un plaisir simple, sincère, profond. Le refuser, le nier conduit droit à l'aigreur et au mépris, caché par une couche trop superficielle de fausse intelligence, qui n'est en somme que de l'orgueil.

J'assumerai donc le déshonneur de ma "bêtise", sans faux-semblant, sans frustration ni vexation, ni blessure, le revendique, le recommande, mon inanité est vertueuse, elle me redonne le goût de vivre.

18.3.06

Jusqu'à la lie

De bière en bière, de rire en rire
Une soirée comme je les aime
Vaine à souhaits, heureuse et pleine d'inconsistance
L'absence de sens en leitmotiv
De bière en bière, de rire en rire
Se laisser guider par les sens
Le plaisir pour seul but
Pas de prise de tête
Un seul mot d'ordre : sourire
De bière en bière, de rire en rire
Ecumer fûts et tessons
Parler rire, rire encore, encore encore
Sans prise de tête,
N'accepter pour seule amertume
Que les embruns de houblon
Envahissant nos veines
De bière en bière, de rire en rire
Pour un réveil un peu lourd
Une soirée comme je les aime

17.3.06

Timy ?

Tu voulais un choupinou ?

Ben oui, c'est vendredi !

Et vendredi, c'est le week-end !



Content de ne pas avoir la télé moi ! ;o))

16.3.06

Encore un questionnaire débile...


Au fur et à mesure

Je m'ouvre... Trop... Mon antre est perméable, inéluctablement, et l'invasion, la conquête oppressante approche à grands pas.
Je ne lutterai contre, je n'en puiserai nulle force. Je me laisse gagner par la douceur exquise de la sociabilité

15.3.06

Ca n'inspire pas hein ?

L'estagnon n'est pas à proprement parler l'ustensile le plus commun. Il ne semble guère inspirer que Brouette d'ailleurs ;o) et encore, par dépit ou défi plus que par inspiration réelle. Cependant voici quelques exemples d'estagnons pour vous rendre compte qu'au fond vous en touchez un tous les jours peut-être sans le savoir...

Il y a des mots # 04

Il y avait bien longtemps que je ne vous avais plus livré mes mots du réveil. Manque de temps, etc, ...

Cependant celui d'aujourd'hui, je ne suis pas sûr de pouvoir m'en débarasser aussi facilement que je le voudrais.

Mot du jour : estagnon

estagnon : n.m. (régionnal) Récipient métalique destiné à recevoir des huiles, des essences.


Alors ? Qui parviendra à le placer dans l'un de ces posts du jour ? ;o)

Débats et pas d'ébats


L'entendre bougonner au téléphone parce que je ne veux pas l'accompagner à paris ce week-end m'agace. Qu'aurais-je à y faire ? Il y a déjà tant de prévu et puis je n'en ai nulle envie.
L'entendre râler franchement, me reprocher le fait qu'il n'ait pas reçu mon sms samedi soir m'énerve. Lui qui sort sans cesse n'aurait jamais pu trouver ce lieu de sortie bruxellois tant connu sans le recevoir (et, de fait, il n'a pas pu)!

Résultat des courses, je tourne le tout en dérision, je ris, beaucoup et de bon coeur, il boude dans son coin ! Qu'on est susceptible quand on a son âge, la fougue de la jeunesse sans doute...

Aphorisme # 11

Patience et longueur de temps valent bien mieux que force ni que rage !



(Special dédicace to Greg )

13.3.06

Débuts

B.A. - BA ou ABC ?

Aujourd'hui

Printemps - 8

Inévitablement

Routine et quotidien s'installent... déjà...

12.3.06

En ce dimanche

empli de remontées alcooliques, la tête embuée, le cerveau noyé, rien ne m'aurait fait plus plaisir que de me poser devant la télé à regarder une daube. Je rêvais secrètement de revoir "fouille-merde" s'agiter sur l'écran. Mais la RTBF ne diffuse plus Arabesque. Cependant, en guise de daube, je fus servi et me régalai d'un succulent Navarro. Mon seul regret sera, bien évidemment, que cet épisode ne fut pas suivi d'un délicieux épisode de Julie Lescaut. Avec de tels éléments peuplant la police française, Sarko ne peut qu'être fier !

Au passage,

un bonjour à Jules qui semble lancé dans la lecture de l'intégralité du blog. Bienvenue et bon courage... ;o)



PS Ne pas hésiter à laisser des traces de son passage, ça fait toujours plaisir...

Tu m'apprends le Tai-Chi ?

Ô douce nuit,...

Comme annoncé, j'ai mal aux cheveux ! Comme annoncé, Paulette me déteste aujourd'hui ! Quelle soirée ! Mais pourra-t-on m'expliquer un jour pourquoi il nous est impossible de devenir raisonnables ? Surtout quand, à trois, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre ? Rrrhôô !!! D'accord, j'ai mal au crâne, d'accord, je me sens vaseux, d'accord mon dimanche est gâché mais une chose est sûre : je n'ai plus soif ! Enfin, c'est certain, on remet ça quand vous voulez ! Paulette - Farouchka - khoyot. Un trio pour un chiffre d'affaire assuré pour
l'établissement choisi, la perrénité de l'emploi chez Bayer garantie dès le lendemain. Dieu que j'aime ce genre de soirées !!! Je le répète encore une fois, rire est certainement le bien le plus précieux au monde....

ENCORE !!!!!

Pas satisfait...

Des derniers changements opérés, je reviens à quelque chose de plus simple... Jusqu'à ce que...

Humeur # 82

Je sens que je vais avoir mal aux cheveux moi demain !

11.3.06

Lui


Naître... et mourir


Trouvé sur le net...



Bruxelles, vendredi soir

Toi - Moi, un resto italien,
une promenade

des discussions qui s'enflamment

des éclats de rire
des goudous qui traînent

Une ambiance de fin de concert de Lorie

Bouffe, bouffe, bouffe

alcool, vin blanc
Rires encore, toujours

Comme un souffle de bonheur...

Ne pas lui rendre hommage



Informer sans rendre hommage. Et si seulement c'était tout un système, un mode de fonctionnement, de pensée qui disparaissait en même temps que lui ? L'ex-Yougoslavie le mériterait pourtant...

leirbag

Heeeeeeeeeeeeey ! Poulet !!!!!!!!!!!!!!!!!! Quelle fête !!! Tu viens jusqu'ici ??? Et souvent en prime !! Waow! Bon ce soir Butchy Butch ! Que je te fasse à mon tour des myriades de doux baisers...

En train de lire (ma table de chevet) # 09


Gérard Mordillat, Vive la Sociale !, Ed. Mazarine, Paris, 1981, (réed. Seuil, Paris, 1987 )

Mon (humble) avis :

D'une drôlerie sans faille ! Ce livre se lit en une heure tant on le dévore. C'est drôle, malin, ironique, bref, tout ce que j'adore. Je pourrais être dithyrambique à l'égard de cette oeuvre tant j'ai aimé, jevais me limiter à ces quelques mots en espérant que l'enthousiasme soit passé. Ils sont rares les éclats de rire causés uniquement par la lecture...

En train de lire (ma table de chevet) # 08


Didier Van Cauwelaert, Vingt ans et des Poussières, Seuil, Paris, 1982

Mon (humble) avis :
Ah ! Le premier roman de Van Cauwelaert ! Au moment où il est encore un jeune écrivain, plein de talent, plein de promesses ! On se prend au jeu, on s'attache, on souffre et vibre avec nos héros. C'est frais, vivant, plein de tendresse et d'humilité. On bascule, on rit, on sourit, on s'émeut. J'ai aimé, on s'en doute. Les raccourcis sont parfois trop simples, certes, l'écriture est aisée, franche, directe, mais, surtout, efficace. Vis, Emile, vis !

En train de lire (ma table de chevet) # 07



Paul Burston, Sexe, amour et amitié, (trad. Alec Steiner), Belfond, Paris, 2003 (éd. or Burston, NY, 2001)

Mon (humble) avis :

Voici le roman de plage type ! Rien n'est recherché ni construit dans ce roman et il est d'une facilité déconcertante. On suit les aventures de Martin, jeune homo londonien de 32 ans dès le moment de sa rupture jusqu'à... Aucun cliché ne nous est ici épargné. La description du milieu gay est d'une banalité presqu'afligeante, les personnages y sont d'une superficialité qui ne les rend ni sympathiques ni antipathiques. A peu de choses près, un sentiment de collection Harlequin version tata. C'est pas l'enfer non plus, ça se laisse lire, mais si vous pensez y apprendre quelque chose, c'est raté. Un petit roman sans prise de tête qu'on lit comme on lit un magazine.

10.3.06

Se lever avec une chanson en tête


Tonight
There'll be no darkness tonight
Hold tight
Let your love light shine bright


Listen to my heart
And lay your body next to mine
Let me fill your soul with all my tears


You're a woman I'm a man
This is more than just a game
I can make you feel so right
Be my lady of the night

You're a woman I'm a man
You're my fortune I'm your fame
These are things we can't disguise
Be my lady of the night


Lay back
Back in my tenderness
And take
Take all of my sweet caress

You've got all of me
It can't go wrong if you agree
Soon two hearts will beat in ecstasy


CHORUS:
You're a woman I'm a man
This is more than just a game
I can make you feel so right

Be my lady of the night
You're a woman I'm a man
You're my fortune I'm your fame
These are things we can't disguise
Be my lady


(Modern Talking, You're a Woman)



Etrange, mais déjà à l'époque, je n'y croyais guère. Ni ma grand-mère ni ma grand-tante n'étaient dupes d'ailleurs...



9.3.06

Ne pas se formaliser !

Non ! Il ne le faut pas. Même si un gros "euh passons" justifié par un 'c'est pas vexant, ça veut juste dire "il vaut mieux oublier"' enfonce le clou. Mais non je ne me vexe pas mais quand même... Moi, j'ai pas envie qu'on m'oublie ! Même quand une histoire se termine mal, j'ai jamais envie d'oublier, une histoire même achevée, c'est avant tout des bons souvenirs, des rappels de délices, parfois même des rappels de tortures. Mais bon, au fond, il a peut-être raison, vaut sans doute mieux oublier...

8.3.06

Ephémérides # 32

Bon Anniversaire, Fabian !

6.3.06

Baillements et étirements

Aaaaaaah ! Il y avait longtemps, très longtemps (trop longtemps) que je n'avais plus passé un dimanche à végéter. Quel doux bonheur que de ne sortir de son lit que parce que l'on est tiraillé par la faim ou pour descendre lire un blog ou l'autre. Mmmmmh ! J'en veux encore des dimanches pareils, quel bien cela fait ! Surtout si quelque chose de doux et chaleureux comme des bras vous retiennent au lit... ;o) Ah ! Ces plans langues, c'est fou comme mon néerlandais s'améliore ces derniers temps...
Mais ces jours-là aussi s'achèvent et laissent trop rapidement place au lundi laborieux... enfin laborieux... c'est pas le goulag non plus.

Et ce soir, je m'en vais donner cette chère Sofia au boucher. Je la récupérerai demain, stérile et pourrai enfin la laisser gambader sur les toits et corniches ixellois sans craindre la prolifération. Enfin, visiblement, va falloir attendre la fin des retours migratoires puisqu'on nous conseille de confiner, eh bien... confinons ! Vu les températures extérieures, je ne pense pas que j'aurai trop de mal à garder mes fenêtres closes...

3.3.06

Ce week-end, c'est ...

LUI ! LUI ! LUI ! Mon plus grand, meilleur et tout et tout ami !!! Des mois que je l'ai plus vu, juste un week-end pour savourer le bonheur de le revoir et regoûter à ses joies !!! je t'aime mon Vilain !

Repentir

Agnus Dei qui tolis pecata mundi, miserere nobis...