14.4.07

Rien...

... ne finit jamais...

11.4.07

Question # 86

Alors, Kermit, ça roule ?

2.4.07

hey !

Me ne vado a Roma...

ci vediamo un altra volta...

22.3.07

Dedicated to Timy...

Je viens de recevoir ce mail :

COMMUNIQUE DE PRESSE

Eurovision 2007- Sexe, politique et Rock´n´roll ?

demandi présente un grand sondage sur « l´Eurovision »

Le 12 Mai tous les candidats venant des quatre coins de l´Europe se
retrouvent à Helsinki pour défendre les couleurs de leur nation et se
voir décerner les 12 points de la victoire...
Après le couronnement du groupe de métal « Lordi » en 2006, peu de
choses devraient avoir évolué, à moins que... ?. L´ombre des Rockers
ténébreux planera-t-elle sur la compétition 2007 ? Les textes engagés de
certains pays sont-ils appropriés à cette compétition ? Finalement,
peut-on parler d´une compétition impartiale ?

Pour élucider ces questions, et bien d´autres encore, le portail
d´opinion et d´information demandi lance un grand sondage sur
l´Eurovision 2007...

Vous aurez un accès direct au sondage en cliquant sur le lien suivant:

http://www.demandi.fr/4394_eurovision.php


demandi organise un tirage au sort grâce auquel vous pouvez gagner:

- 10 CDs des Fatals Picards offerts par Warner musique



Le sondage se terminera fin mai.


Hé ben voilà, n'hésitez pas soyez sondés, pour une fois que vous serez dans le panel...

21.3.07

Hier,

Je suis allé au cinéma avec ... S. Uria Bonali... un grand moment !

18.3.07

Question # 85

Ai-je le don de ne dégoter que des pochtrons ou est-ce à cause de moi que ces gens le deviennent ?

Ca promet !


trouvé chez Arnaud Sanchez via Toon

15.3.07

Aujourd'hui

C'est l'anniversaire de Grande Sotte !


BON ANNIVERSAIRE, GRANDE SOTTE !!!

12.3.07

Marthe

J'aurais voulu que tu la rencontres et que tu ne la voies pas comme une vieille dame. Elle n'a pour moi jamais été cette vieille femme, ou l'a toujours été, elle n'a jamais vieilli, en somme, depuis ma naissance. J'aurais aimé que tu la voies, la connaisses comme moi, qu'elle sache qui tu es, et que vous vous appréciez pour ce que vous êtes. Elle avait tout vu; tout connu, à 96 ans, tu penses ! Elle avait parcouru le monde, approché les grands, connu la misère et le luxe, les affres de deux guerres. Elle poursuivait ses rêves, tombait, se relevait. Elle était forte et fragile, adorable autant qu'haïssable.

Tu ne la connaîtras qu'au travers de mes dires, mes histoires, c'est cela qui est dommage. Je ne veux pas que votre première rencontre se fasse là, elle allongée sur ce lit, minuscule, enlaidie, déjà gonflée. C'est dommage mais le temps a fait son oeuvre, elle n'était pas, comme je le croyais, immortelle. Elle était ma grand-tante, la vraie mémoire de la famille, elle était plein de choses, un modèle d'humanisme et d'acceptation. Ancrée dans son époque, elle voulait accompagner celle qui bougeait trop vite mais qui lui facilitait la vie. Jamais passéiste, au fond, elle était une vraie femme !

6.3.07

Humeur # 94

Aucune envie d'en parler au passé

2.3.07

Reflexion après achat

Poseur d'aiguilles dans une usine d'emballage de chemises. Faut pas être un peu vicieux et/ou pervers pour faire ce métier ? Je les vois déjà en train de ricaner, se moquant d'avance : "Celle-là, ils ne la trouveront pas, gnark gnark gnark !"

Effectivement, crétin, je ne l'ai pas trouvée !

A-t-on idée de planquer des aiguilles à cet endroit ?

21.2.07

Il était une fois...

Il était une fois dans un pays de cocagne, un (très) grosse dame que l'on nommera après coup Cosette Proxi invita son client, S. Elsy de la Grande Chatte, à assister à un combat sans merci des demoiselles du jeu de Paume. Charitable à souhait, S. Elsy de la Grande Chatte proposa à l'ami khoyot de se rendre avec lui à l'arène. Les deux amis arrivèrent au terme d'un voyage éprouvant au coeur d'un pays noir-brun-facho, dans un palais parme, tout y était mauve au point de vous brûler les yeux. Ils assistèrent aux festivités et furent conviés aux agapes de Cosette. Elle leur fit boire un breuvage maléfique nommé champagne de mauvaise qualité, ils dégustèrent l'un ou l'autre sushi et rirent de bon coeur des moments passés.... Quel beau samedi ! :o)

18.2.07

Voilà

Ben c'est Mimile qu'a gagné !

16.2.07

Question # 84

Puisque c'est la Sainte Julienne aujourd'hui, doit-on impérativement manger de la soupe ?

15.2.07

Mais qu'est-ce que t'y connais, toi, à l'amour ?

C'est vrai, au fond ! Qu'est-ce que j'y connais moi à l'amour ? Je me disais que j'allais poster un truc en rapport avec hier, tant il est vrai que ça nous agace tous, la fête des fleuristes et de restaurateurs mais au fond de nous, comme on garde malgré soi une âme de midinette, on ne peut s'empêcher d'y penser et/ou d'en parler. Point de restau ni de fleur, juste un dîner au lit face à Priscilla (la Queen of the Desert pas la chanteuse prépubère !), des vrais câlins, bref, une vraie soirée romantique !!!

Et c'est là que je me suis demandé ce que je pouvais bien connaître à l'amour. Et je l'ai observé s'endormir. Au fond, si je nen connais que ça, je n'en connais que le meilleur !

8.2.07

Humeur # 93

J'ai envie de skier !

M.

Twijfel nooit ! Jij bent de enige... de enige echte !

1.2.07

Scandaleux !!!!

Il me semblait qu'il y avait chez nous des lois contre ça ! Ca me dégoûte, me révolte, bref, que des c******* !

26.1.07

Bon...

... ben va sérieusement falloir que je me remette à poster régulièrement moi ! Même Eltan a plus posté que moi en 2007 :o))

C'est officiel

D'aucuns vous diront que ça se voit dans le regard, d'autres dans la façon de marcher. D'autres encore auront très tôt observé le changement dans la morphologie, je crois moi aussi qu'il y a des signes qui ne trompent pas. Elle est chez elle, en pyjama à 18h30, c'est officiel, Farouchka va devenir mère !

Oui, je sais, c'est bizarre à dire/écrire/lire mais bon c'est une réalité, mes vieux amis commencent tous à se reproduire, enfin commencent, certains l'ont fait à plusieurs reprises depuis longtemps maintenant, et comme tout bon seul PD d'une bande de jeunes, je constate d'autant plus cet isolement-là. Mais tout cela n'était pas grave jusqu'à maintenant. Mais même ELLE !!! Ma plus tout amie s'y met aussi... Bah ! Voilà qui va me faire des cheveux blancs (et peut-être m'aider à maigrir), parce qu'il va de soi, je m'inquiète déjà du futur de c't enfant !

23.1.07

à S. Elsy

Alors ? Heureuse ?

7.1.07

Maintenant

Maintenant que les sapins sont compostés, que les galettes des rois sont avalées, presque digérées, que les relans de foie gras, huîtres et autres homards ne se font plus tenaces, je peux enfin vous présenter calmement et posément mes voeux pour 2007.

Alors nulle envie ni de dresser un quelconque bilan pour l'année écoulée et encore moins envie de prendre quelle que résolution que ce soit pour celle qui s'engage à présent, ce en quoi je ne me départis guère depuis quelques années déjà.

Hé ben ! Le temps file hein ! (oui, Lapalissade fut longuement mon mentor). Dire que je me souviens comme si c'était l'an dernier de cette douce effervescence qui prenait le monde lors du changement de millénaire.... 7 ans déjà ! Waow !

Bref, l'année a commencé en fanfare ! Nuit du 31.12.2006 au 01.01.2007, coucher à 00h15. Le bruit des feux d'artifice m'empêchant de me mettre au lit plus tôt ! Soirée de délire du feu de Dieu j'vous disais ! Mais au lit dans ses bras à lui, finalement, sans doute l'un des plus beaux réveillons de ma vie ! (et là je suis sérieux). Reste de la semaine : un leitmotiv, boulot, boulot, boulot, boulot... Programme varié vous en conviendrez.
Premier week-end de l'année, impossible de trouver le sommeil, mon lit se transforme en plaine de Waterloo, le matin du 19 juin 1815. Mon estomac reste noué et les nausées guettent.
Samedi 06.01, 10h30, je monte dans la voiture, direction la banlieue wavrienne, la chaude demeure de ma soeurette qui nous attend avec sa petite famille pour prendre l'apéro avant d'aller déjeuner dans un resto local.
Scène familiale de début d'année, rien que du grand classique. Une particularité cette année néanmoins, la présence d'une femme qui se met à masquer ses larmes lorsque j'entre dans la maison. Cette femme, ma mère, est l'initiatrice de ce déjeuner. Cette femme, au premier coup d'oeil je la reconnais, elle a vieilli, certes, grossi un peu aussi mais le visage reste pareil, tel qu'il était lors de notre dernière rencontre, le 10 juin 2003.
Après trois ans et demi de silence, d'absence et de résignation, elle a posé un geste, un désir de renouer, elle a fait un pas et a tenu à ce que je ne vienne pas seul lors de cette réunion, elle tentait de me signifier qu'au bout du compte elle se rendait sans doute compte de ses erreurs et désirait simplement revenir dans ma vie et que je réapparaisse dans la sienne.

J'ai répondu à son appel, si maladroit fut-il, et suis venu, lui à mon bras, non sans appréhension, non sans stress, non sans interrogation. Comment cela allait-il se passer ? Allais-je pouvoir malgré tout passer outre toutes ces blessures, tous ces non-dits, tous ces silences, toutes ces rancoeurs ? Ce n'était ni l'endroit ni le moment de régler nos comptes, mes nièces ne peuvent pas être les témoins innocentes d'événements, de mots survenus avant même leur naissance. Je n'aurais pas toléré qu'on les prenne en otage, ni elles ni ma soeur d'ailleurs, faisant tampon bien malgré elle. Comment allais-je réagir ? Comment l'aborderais-je ? Et elle ? Qu'allait-elle dire ou faire ? Je me suis donc rendu là-bas, l'estomac noué, la voix cassée et les poches sous les yeux, porté par l'homme que j'aime.

Lorsque je l'ai vue, je n'ai su que faire. Comment lui dire bonjour ? Moi qui prenais mes nièces à bras, les étraignais, les embrassais, les cajolais, leur démontrais, spontanément, comme à chaque fois, tout l'amour que j'ai pour elles, comment dire bonjour à cette femme qui se trouvait là, le regard triste et appeuré, sans doute plus stressée que je ne l'étais moi-même ? J'ai pris sur moi et lui ai fait la bise, sans envie, sans enthousiasme. Les regards étaient fuyants, ni l'un ni l'autre n'aurions pu soutenir le regard de l'autre.

Finalement, les choses se sont passé, sans se passer vraiment, pas de conversation, à peine une ébauche dont la banalité affligeait. A la sortie du restaurant, il fallait que je parte, je devais partir, faire autre chose. Tout cela avait été si épuisant, si éprouvant. Sans un mot, coincé sur le siège de la voiture, nous sommes revenus sur Bruxelles. J'ai passé le reste de l'après-midi sans prononcer le moindre mot, répondant brièvement et évasivement aux questions de mon doux, qui ne savait pas comment se tenir vis-à-vis de moi. Sa présence m'a été salvatrice, précieuse, riche. Sans lui, je n'aurais pas eu la force d'y faire face, je le sais...

Bref ! Je suis parti en laissant la balle dans son camp à elle, j'attends encore un geste, j'en ai besoin. S'il ne vient pas, je reprendrai le cours de ma vie tel que je le gère depuis longtemps déjà, sans regret ni remords, peut-être marqué d'un rien de plus d'amertume; s'il vient, il me faudra mettre tout à plat même si je l'en sais incapable de discuter, mais cette étape m'est indispensable. Serons-nous prêts ? Je ne sais...

Enfin ! On verra bien ! J'vais pas vous plomber la fève avec mes histoires de famille. Encore une fois, bonne année à tous !Justifier