31.5.06
30.5.06
Je rattrape mes retards
29.5.06
interrogation : à quand le passage à l'heure adulte ?
28.5.06
27.5.06
Y a comme un juke-box à daubes dans ma tête
First I was afraid
I was petrified
Kept thinking I could never live
without you by my side
But I spent so many nights
thinking how you did me wrong
I grew strong
I learned how to carry on
and so you're back
from outer space
I just walked in to find you here
with that sad look upon your face
I should have changed my stupid lock
I should have made you leave your key
If I had known for just one second
you'd be back to bother me
Go on now go walk out the door
just turn around now
'cause you're not welcome anymore
weren't you the one who tried to hurt me with goodbye
you think I'd crumble
you think I'd lay down and die
Oh no, not I
I will survive
as long as i know how to love
I know I will stay alive
I've got all my life to live
I've got all my love to give
and I'll survive
I will survive
It took all the strength I had
not to fall apart
kept trying hard to mend
the pieces of my broken heart
and I spent oh so many nights
just feeling sorry for myself
I used to cry
Now I hold my head up high
and you see me
somebody new
I'm not that chained up little person
still in love with you
and so you felt like dropping in
and just expect me to be free
now I'm saving all my loving
for someone who's loving me
(Gloria Gaynor, I will survive, )
Finally it has happened to me
Right in front of my face
My feelin's can't describe it
Finally it has happened to me
Right in front of my face
And I just cannot hide it
Meeting Mr. Right, the man of my dreams
The one and only true love or at least it seems
With brown coco skin and curly black hair
It's just the way he looks at me, that gentle lovin' stare
Finally you come along
The way I feel about you it just can't be wrong
If you only knew the way I feel about you
I just can't describe him oh no no
CHORUS
CHORUS
It seemed so many times he seemed to be the one
But all he ever wanted was to have a little fun
But now you've come along and brightened up my world
In my heart I feel it I'm that special kind of girl
Finally you come along
The way I feel about you it just can't be wrong
If you only knew the way I feel about you
I just can't describe him oh no no
CHORUS
CHORUS
Finally
Ooooooooh finally yeah yeah
Oh
RAP: True love, a feelin' I never knew
Until you came into my life and now it's real
I never knew that I would find the time
Before you I thought love was blind
And my life was coastin' out my emotion
Too strong for words, you're set for devotion
A-pushin' me from mutual attraction
True love, the chemical reaction
Then my actions
Reflect those of a way to makin' this a better love
A never ending plan like man and wife
Flavourful to my life like a spice
Summon me to death, you're my big mean of protection
My one and only source of affection
So I'm puttin' all games behind me
I've been lookin' for the key to love and I've found it finally
CHORUS (to fade)
(Ce Ce Peniston, Finally)
Ah ben oui ! cet aprèm, c'est la Gay Pride, ce doit être de l'entraînement inconscient
26.5.06
25.5.06
Pensée légère à l'égard de moi-même ... (et des autres)
L'octroi du droit de vote aux résidents étrangers, l'union et l'adoption par des couples de même sexe, par des familles monoparentales, toutes ces revendications sont d'emblée accordées !
C'est injuste de devoir se battre pour le respect d'un principe acquis il y a plus de 200 ans !
Nier ce principe, le mettre à mal, c'est s'attaquer aux fondements mêmes de nos sociétés. N'en déplaise à Monsieur Vanneste, il n'existe pas de citoyens inférieurs, le supposer, le suggérer, même en se retranchant derrière le principe (fallacieux) de la liberté d'opinions, c'est se mettre "hors-la-loi", c'est bafouer, injurier, insulter, l'ensemble de l'espèce humaine.
La Démocratie individuelle n'existe pas, cela se nomme au mieux la tyrannie, au pire la dictature !
La base de la Démocratie
Tous les Hommes naissent et demeurent égaux en droits.
Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen, 26 août 1789
24.5.06
Quelle famille !!!
L'invasion gémellique
Je me devais de lui dire que je savais que l'enfant qu'elle attendait serait une fille puisque nous étions le 22 mai, que cette enfant serait gémeau et qu'il semble exister une espèce de prédestination familiale à ne faire que des filles gémeau dans cette satanée famille. Cela avait commencé quelques décénnies auparavant, ma grand-mère lançait la mode en naissant, poursuivait avec sa fille aînée qui, elle-même, perpétuait la tradition en devenant la génitrice de ma soeur. Ma tendre soeur n'avait pas pu échapper à la régle avec sa première fille et là, au moment de l'arrivée imminente de son deuxième enfant, espérait échapper à un destin répétitif.
Mais au matin du 22 mai 2002, alors que mon oreille chauffait à entendre des sonneries sans fin d'un téléphone qu'on ne décroche pas, des messageries vocales qui vous transmettent le même message de manière enjouée, Grande Soeur donna naissance à un magnifique bébé qui fut baptisé... Juliette. L'honneur était sauf, les traditions familiales sauvegardées. Quatre ans et deux jours pour ce bébé. Et, il y a trente-quatre ans aujourd'hui, Papou d'amour craquait pour la première fois face à tes grands yeux verts....
Bonne anniversaire, soeurette !
22.5.06
Récapitulons
Ayez des amitiés aviaires, je vous jure !!!
21.5.06
20.5.06
keep on smiling
Sûrement un feu de paille !
19.5.06
18.5.06
Titillé par une folle envie de changement, dans la continuité, j'ai donc essayé un nouveau goût pour mes yaourts Vitalinea 0% de sucres (ajoutés).
Sentiment d'utilité
17.5.06
you got mail
14.5.06
Toekomst à venir
Pour rappel, un zinneke désigne, en bruxellois, un chien bâtard qui était noyé dans la Senne (Zinne). Par extension et analogie, il désigne le bruxellois qui se trouve à la croisée du flamand et du wallon. Cet événement, mis en place pour la première fois il y a six ans dans le cadre de "Bruxelles 2000", a d'emblée adopté un principe très simple : tenter de mettre fin à l'élitisme de fait de l'accès aux Arts et à la Culture en l'amenant dans la rue et en partant de la rue, en allant rechercher, forcer la créativité des gens de la rue. Pendant deux ans, chaque atelier, chaque "zinopôle", prépare ce défilé en faisant preuve d'imagination, en confrontant les idées créatives. Ces ateliers font se rencontrer des gens de milieux divers, pas toujours amenés à se rencontrer. Elle tente de mettre en exergue les notions de cosmopolitisme, de diversités, de rencontres et de partages qui font la force et la richesse de notre capitale. Démarche intéressante aux résultats contrastés et riches. Il y va de l'appréciation de ces créations comme de celles que l'on rencontre dans les espaces plus confinés des musées; on aimera l'oeuvre ou pas.
Mais en tout état de cause, la fête est à chaque fois une réussite qui ne se dément pas, on se laisse gagner par la bonne humeur ambiante, on se reconnaîtra toujours dans l'un ou l'autre aspect de l'événement.
J'aime cette fête populaire qui oblige à décloisonner, qui amène la rencontre et, donc, la connaissance de l'autre et de soi.
Pfffffff ! Encore deux ans à attendre, vivement 2008 !
13.5.06
In the spring,...
Nous sommes là, profitant de chaque rayon, déplaçant les tables et chaises des terrasses au gré de Râ, en pleine quiétude, pleine insouciance, assumées, revendiquées. Car nous savons, nous nous doutons que cela ne durera guère. Si la chaleur se poursuit, nous savons que l'air partira. L'été bruxellois est un enfer, sans milieu. La chaleur y est moite, étouffante ou alors, c'est la pluie et le froid qui prennent ici leurs quartiers d'été. Si l'été est pourri, il y règne alors un temps de fin d'automne. Le printemps, seul, à Bruxelles, nous permet de croire aux origines latines de la cité. Et je profite et savoure, chaque minute de soleil frais est une victoire et je me sens d'emblée une âme de conquérant !
12.5.06
un printemps anversois
D'abord des mots et puis...
Le Premier ministre Guy Verhofstadt a raison lorsqu'il dit: «Nul ne peut désormais ignorer ce à quoi l'extrême droite peut mener.» Les récentes agressions contre des étrangers qui ont eu lieu en Flandre doivent inquiéter. Le climat raciste et xénophobe entretenu par le Vlaams Belang au nord du pays y est sans doute pour
quelque chose.
Certes, le temps n'est plus aux «sale juif», «sale nègre» ou «sale bicot». Ces mots-là traduisent trop crûment l'opinion de ceux qui les emploient. Ils restent réservés aux arrière-salles de café où l'on est entre soi.
Le Vlaams Blok s'est rhabillé en Vlaams Belang avec pour objectif d'être plus présentable. Il applique aujourd'hui, avec brio, une stratégie de langage de «contournement» pour exprimer ses thèses néoracistes. A «les étrangers dehors», il préfère aujourd'hui, inspiré par le Front national français, décliner ses arguments sur le thème de la «préférence nationale». On rappellera ici l'habileté de Le Pen déclarant il y a plus de 20 ans déjà: «J'aime mieux mes filles que mes cousines, mes cousines que mes voisines et mes voisines que des inconnus». Un apparent bon sens, qui n'est qu'une virtuosité verbale, pour faire passer une xénophobie douce qui a conquis une large part de l'électorat flamand. Mais le vieux fonds de commerce «sang, sol, racines, identité, patrie» est toujours bien présent.
C'est d'abord par les mots du quotidien que s'exprime le racisme. Les discours permettent ensuite le passage à l'acte, la mise en pratique politique. Dans tous les cas, le racisme joue sur le fantasme de la différence dont il faut se prémunir, se protéger puisqu'elle constituerait un danger. Les dynamiques psychologiques que met en oeuvre le racisme sont puissantes: elles jouent sur la peur, désignent l'étranger comme bouc émissaire responsable de toutes nos frustrations.
Sur les esprits faibles, le racisme aggrave ces perceptions en «rationalisant» la perception de l'étranger comme la cause du malheur. Le meurtre de Joe Van Holsbeeck a montré combien une collectivité tend à être désignée comme bouc émissaire. Un individu de «type nord-africain» stigmatisait tout un groupe social. Et la crainte manifestée par la communauté polonaise visait à éviter cette généralisation
absurde. Contrairement aux prétentions qu'elle se donne, la pensée néoraciste, malgré les apparences de logique, n'est pas une pensée rationnelle. Elle est d'abord un condensé de préjugés et sa force procède d'un principe d'évidence communément admis par une partie du corps social à un moment donné. A force de banaliser ce discours, à force aussi de voir les forces démocratiques - notamment en voulant rompre le cordon sanitaire - surfer sur ces thèmes, certains «fous» troquent les mots contre un revolver. Les mots aussi finissent par tuer.Michel Konen, in La Libre Belgique, vendredi 12 mai 2006, p.5
Ne deviens pas comme moi !
Ne deviens pas comme moi, ouvre-toi et souris ! Oh ! oui, souris ! Dieu que tu es beau quand tu souris, sincèrement, spontanément...
Et si le mal te ronge, et si l'envie t'en prend, viens me voir, comme un ami, le plus proche, celui qu'on gifle lorsque l'on souffre, celui au visage duquel on crache, sur lequel on vomit son venin et sa haine pour voir renaître son espoir.
Je serais cet ami car j'éprouve encore, pour toi, le plus fort des sentiments dont je suis encore capable :
Une infinie tendresse.
10.5.06
Catastrophe !
Dans le bus
9.5.06
C'est pas bientôt fini oui ?
Même au boulot !!! ça me poursuit !!!
Reçu un mail sur ma messagerie professionnelle d'une certaine Mme Cowder, inconnue au bataillon. Le sujet de son mail : "Burn body fat". Grrrrrrrr ! Co***** !!!!
Au passage, je remercie l'antivirus de mon boss qui prit la précatuion de noter [CAUTION : SPAM FOR SCAN MAIL PLEASE CHECK SENDER]
j'ajouterais, please kick sender off !!!
8.5.06
Résumé d'un week-end :
Alcool, fontainas et découverte...
j'ai aimé !!! ;o)
J'ai une chanson en tête...
The sum of all my fantasies
That's everything you are to me
You came around and made my senses fly
Shook me up when you took me to the sky
Never thought that I could ever get this high
Je t'adore
And I can't conceal it
Je t'adore
Anyone can see it
You give me just a little more
Of everything I've waited for
Je t'adore
Here's my heart so take it
Je t'adore
Only you can break it
You got me fallen to the floor
Anyway you want I'm yours
Ooh je t'adore
Bye bye to all the lies I've heard
You made a different kind of girl
You spun me out and you made my senses fly
Shook me up when you took me to the sky
Never thought that I could ever get this high
Je t'adore
I can't breathe without you
Je t'adore
I'm not me without you
You're the rush that I missed
Made a wish that I'd feel a kiss
Just like this
Je t'adore
Yeah you made me feel it
Je t'adore
And I really mean it
You give me just a little more
Of everything I've waited for
Je t'adore
Here's my heart so take it
Je t'adore
Baby don't you break it
You got me fallen to the floor
Anyway you want I'm yours
Ooh je t'adore
(Kate Ryan, Je t'adore, 2006)
7.5.06
6.5.06
En train de lire (ma table de chevet) # 10
Mon (humble) avis :
On change de registre cette fois-ci, avec Besson, et pourtant, on le retrouve tellement. Tout est récurrent chez lui, sans pour autant lasser. Encore une fois, il est question de la perte de quelqu'un, encore une fois, il est question d'amour, encore une fois, le roman est construit sur une base duale; d'un côté le narrateur, parlant à la troisième personne, semblant donner du recul à l'histoire, bien qu'impliqué, bien que convaincu, bien que militant; d'un autre, l'héroïne bien malgré elle de ce fait divers tragique. Basé sur un fait réel qui a secoué la France il y a un peu plus de vingt ans, le roman, car il s'agit avant tout d'un roman, retrace l'histoire du petit Grégory telle qu'elle aurait pu être vécue par les yeux de Christine Villemin. Véritable plaidoyer en faveur de la mère de l'enfant, Besson a imaginé ce qu'auraient pu être les sentiment, les paroles, les pensées de cette femme face à l'assassinat de son fils, face à l'enquête qui mena à son inculpation puis à la reconnaissance de son innocence par la justice. Documenté, il retrace les atermoiements du, ou plutôt des juges d'instructions successifs; il évoque la pression médiatique influant les direction d'une enquête, aujourd'hui classée et pourtant inaboutie, inachevée. Je ne rentrerai pas dans la polémique qui a déjà fait rage, sur les menaces de procès émanant de Christine Villemin à l'encontre de l'auteur; même s'il peut sembler étonnant de se constituer partie civile contre quelqu'un qui vous défend bec et ongle, qui tente à ce point de vous réhabiliter. Au niveau formel, on retrouvera ici tout ce qu'on aime, ou pas, chez Philippe Besson, son trait propre, son indéfectible besoin d'être simplement humain. Le thème même du récit est ce qu'il affectionne le plus. Survivre à la perte d'un être cher grâce à l'amour, tout simplement, comme dans Un Instant d'abandon, l'héroïne ici devra faire face à l'opprobre publique; comme dans Les Jours fragiles, le narrateur se met à la place de la femme, comme dans Un garçon d'Italie, comme dans En l'Absence des Hommes, le récit est construit de façon alternée, changeant de narrateur, presque de point de vue, à chaque chapître. Certainement aussi émouvant que son premier roman, moins puissant sans doute, cette oeuvre m'a malgré tout séduit, ému même si, au sortir de la lecture, je n'ai pas ressenti ce sentiment de douceur et de tendresse qu'il avait pu me procurer dans En l'Absence des Hommes et, surtout, dans l'Arrière Saison.