Aphorismes # 3
Virgile, Enéide, II, 49
Forse è difficile cosi' ma non so che cosa fare
Credo che sia logico, per quanto io provi
A scappare... lui c'è
Non vorrei che tu fossi un' emergenza
Ma tra bene ed amore c'è
Solo N e la mia coscienza
Se vuoi ci amiamo adesso, se vuoi
Pero' non è lo stesso ora so
C'è ancora il suo riflesso tra me e te
Mi dispiace ma non posso, N c'è
Se vuoi ci amiamo adesso oh no
mi casca il mondo addosso ora so
c'è ancora il suo riflesso tra me e te
mi dispiace ma non posso N c'è
N c'è
(inspired by Nek)
…. désolé ..... je ne sais ......
Regarde !
Quelque chose a changé.
L'air semble plus léger.
C'est indéfinissable.
Regarde !
Sous ce ciel déchiré,
Tout s'est ensoleillé.
C'est indéfinissable.
Un homme,
Une rose à la main,
A ouvert le chemin
Vers un autre demain.
Les enfants,
Soleil au fond des yeux,
Le suivent deux par deux,
Le cœur en amoureux.
Regarde !
C'est fanfare et musique,
Tintamarre et magique,
Féerie féerique.
Regarde !
Moins chagrins, moins voûtés,
Tous, ils semblent danser
Leur vie recommencée.
Regarde !
On pourrait encore y croire.
Il suffit de le vouloir
Avant qu'il ne soit trop tard.
Regarde !
On en a tellement rêvé
Que, sur les murs bétonnés,
Poussent des fleurs de papier
Et l'homme,
Une rose à la main,
Etoile à son destin,
Continue son chemin.
Seul,
Il est devenu des milliers
Qui marchent, émerveillés
Dans la lumière éclatée.
Regarde !
On a envie de se parler,
De s'aimer, de se toucher
Et de tout recommencer.
Regarde !
Plantée dans la grisaille,
Par-delà les murailles,
C'est la fête retrouvée.
Ce soir,
Quelque chose a changé.
L'air semble plus léger.
C'est indéfinissable.
Regarde !
Au ciel de notre histoire,
Une rose, à nos mémoires,
Dessine le mot
« ESPOIR »
(Barbara, Regarde, 1981)
1 mois et demi!
1 mois et demi que je me suis fait installer le net à la maison! l'ADSL en plus... Grossière erreur!!!
Et je deviens tout ce que j'ai toujours exécré, haï et banni!!
ADDICTED
Quelle horreur!! Je ne suis plus qu'une ombre pressée de rentrer, conditionnée, engloutie. Du vent!!! par pitié de l'air! Je ne me détache plus de cette toile tant convoitée mais combien répugnée. Je me fais tout doucement à la lecture phonétique même si chacun de mes poils se hérissent à chaque fois, je finis même par y trouver un intérêt.
Je ne supprimerai pas mon abonnement, j'entre de plein pieds dans l'ère de l'hypercommunication. Venez à moi bloggers, skypers, messengers et autres e-mailers, maintenant je suis vôtre.