31.8.05

Aphorismes # 3

"Timeo Danaos et dona ferentes"

Virgile, Enéide, II, 49

30.8.05

Des rencontres sur la Toile aux parfums d'adolescence

Je me suis surpris dernièrement à lire tout un blog perso. Ce blog, malin et brillant s’il en est, m’a fait subitement replonger en adolescence. Hmmmm ! Quels embruns magiques de se retrouver soudainement sur les bancs du lycée… Les efforts de mémoire que m’a demandés cette lecture a fait revivre en moi des sensations non pas oubliées mais enfouies, profondément.

Je me suis revu, sale garnement que j’étais, cancre plus souvent qu’à mon tour, à observer et écouter certains cours. J’ai retrouvé certaines choses… ah doux flash-back en noir et blanc.

J’ai donc entendu mes profs de latin et de grec un à un, défilant face à moi récitant, déclamant leurs textes d’auteurs. J’ai revu Christine M. se perdant dans un fou rire après avoir fait ce qu’elle avait cru être son meilleur jeu de mots « Les enfants, excusez-moi, mais j’ai les lèvres gercées, il faut que je me remette un peu de Labello Gallico ». Et nous restions là médusés et stupéfaits. Elle, cette grande bourgeoise, s’était essayé à l’humour de philologue et cela nous sonnait comme de la vulgarité.
Je revois Gisèle G., la plus sévère d’entre toutes, nous dévisageant chacun de son air terrifiant. Perchée sur son estrade, le regard froid souligné de son éternel maquillage vert pomme, sa voix grave de fumeuse, ne manquant jamais de se fendre de la remarque la plus cassante qui soit, elle dont la garde-robe s’était désespérément arrêtée en 1963, je la revois nous parlant de la Conjuration de Catilina ("Quo usque tandem abutere Catilina patientia nostra? (…) Ô tompora ! Ô mores ! Senatus haec intellegit, consul uidet…") avec tant d’intelligence et d’analyse que j’en étais béat.
Je vous revoyais aussi Marie-Claire H., vous la passionnée, celle dont l’enseignement était une véritable vocation. Comme vous aviez dû être belle plus jeune et combien l’étiez-vous encore lorsque vous tentiez de faire ressortir chez nous le meilleur de nos interprétations dans nos versions grecques. Vous représentiez à vous seule ce parangon de la pensée grecque, vous étiez le
panu kalloV kagaqoV . La manière dont vous viviez les textes que vous nous soumettiez était belle à voir, votre ferveur nous fascinait, nous gosses de merde en pleine crise d’adolescence, nous qui nous amusions à nous répéter que la seule phrase sensée en Grec n’était que cette phrase débile qui n’a de sens que dans sa phonétique francophone (ouk elabon polin, alla gar, elpiV efh kaka) nous vous respections et finissions par nous attacher à vos auteurs.

Mon dieu comme c’était il y a longtemps déjà et dire que j’ai presque tout oublié…

Faut-il laisser parler ses mécanismes d'autodéfense?

Forse è difficile cosi' ma non so che cosa fare
Credo che sia logico, per quanto io provi
A scappare... lui c'è

Non vorrei che tu fossi un' emergenza
Ma tra bene ed amore c'è
Solo N e la mia coscienza

Se vuoi ci amiamo adesso, se vuoi
Pero' non è lo stesso ora so
C'è ancora il suo riflesso tra me e te
Mi dispiace ma non posso, N c'è
Se vuoi ci amiamo adesso oh no
mi casca il mondo addosso ora so
c'è ancora il suo riflesso tra me e te
mi dispiace ma non posso N c'è
N c'è


(inspired by Nek)

…. désolé ..... je ne sais ......

29.8.05

Question # 3

Comment fait-on pour poster de la musique sur un article?

Humeur # 5

Lundi matin. Je suis (très) à la bourre...et je m'en moque!

28.8.05

Humeur # 4

Je crois que j'ai posté assez de notes pour aujourd'hui ;o)

Humeur # 3

L'arrivée du soleil en fin de week-end a ce côté exaspérant qu'il nous encourage à nous faire porter pâle dès le lundi matin.

Regarde!

Regarde !
Quelque chose a changé.
L'air semble plus léger.
C'est indéfinissable.

Regarde !
Sous ce ciel déchiré,
Tout s'est ensoleillé.
C'est indéfinissable.

Un homme,
Une rose à la main,
A ouvert le chemin
Vers un autre demain.

Les enfants,
Soleil au fond des yeux,
Le suivent deux par deux,
Le cœur en amoureux.

Regarde !
C'est fanfare et musique,
Tintamarre et magique,
Féerie féerique.

Regarde !
Moins chagrins, moins voûtés,
Tous, ils semblent danser
Leur vie recommencée.

Regarde !
On pourrait encore y croire.
Il suffit de le vouloir
Avant qu'il ne soit trop tard.

Regarde !
On en a tellement rêvé
Que, sur les murs bétonnés,
Poussent des fleurs de papier

Et l'homme,
Une rose à la main,
Etoile à son destin,
Continue son chemin.

Seul,
Il est devenu des milliers
Qui marchent, émerveillés
Dans la lumière éclatée.

Regarde !
On a envie de se parler,
De s'aimer, de se toucher
Et de tout recommencer.

Regarde !
Plantée dans la grisaille,
Par-delà les murailles,
C'est la fête retrouvée.

Ce soir,
Quelque chose a changé.
L'air semble plus léger.
C'est indéfinissable.

Regarde !
Au ciel de notre histoire,
Une rose, à nos mémoires,
Dessine le mot
« ESPOIR »

(Barbara, Regarde, 1981)

Question # 2

Qui a mangé mes chocolats Marcolini que je me gardais pour mes dimanches passés à lézarder?

Je vous aimais


09.06.1930-24.11.1997
Monique Serf dite
BARBARA

Question # 1

Pourquoi à la question augmentation, mon patron n'entend-il qu'augmentation de travail?

Humeur # 2

Pourquoi la fin du mois de septembre a-t-elle commencé déjà maintenant?

Humeur # 1

Je suis content que la rentrée approche. Je vais enfin perdre ce sentiment, illusoire certes mais ô combien présent, d'être le seul à travailler.

27.8.05

Que sont nos amours devenues?

Dans le désordre de mes tiroirs, dans le fouillis des papiers entassés ça et là, je vous ai tous retrouvés. Et la violence des souvenirs n'entraîne qu'un sourire immense au parfum de bonheur...

Bes


Quel doux plaisir, quelle heureuse saveur que de se mettre à ranger chez soi! Ranger en profondeur est un plaisir lent et rare (surtout rare). Lent car il vous permet de retomber sur des vieilleries sur des tas de choses que vous aviez enfouies au fond d'une malle pour une raison ou pour une autre.
Et voilà qu'en procédant à ce rangement, càd en vidant le contenu de ladite malle sur le sol de mon appartement puis en réorganisant le tout qui doit refinir à l'intérieur de cette même malle, je tombe sur ma collection de cartes postales.
Inutile de dire que j'ai abandonné là le rangement pour les regarder et les relire rapidement. Jusqu'à ce que mon oeil s'arrête sur l'une d'elles.
La carte est une photo d'une statuette ithyphallique du Dieu égyptien Bes conservée au Musée d'Ephèse. Elle m'a été envoyée il y a quelques années par l'un de mes plus grands amis (si pas le plus grand) avec pour seule mention:
"Ne t'y brûle pas l'oeil, c'est un dieu. Bizz "

Je ne sais pas vous mais moi ce commentaire m'a fait hurler de rire!

26.8.05

1309

Cher Monsieur Dieu,
Je ne sais qui vous êtes, nous ne sous sommes jamais rencontrés. Je n'ai jamais su de vous si vous étiez le Père, le Fils ou le Saint-Esprit, ne l'ai jamais compris. Pour être tout à fait sincère, je n'ai jamais cru bon non plus de croire en vous mais puisqu'il paraît que vous êtes Pardon, je sais que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.
Excusez mon effronterie mais si j'ose m'adresser à vous de façon aussi directe plutôt qu'à vos saints, ce n'est pas par snobisme, ne croyez pas cela, je suis plutôt de ceux qui respectent la hiérarchie et la bureaucratie que votre administration impose, mais simplement parce que je voudrais faire appel au responsable direct de ce qui se passe ici.
Honnêtement, mon vieux, qu'est-ce que vous foutez? Vous êtes resté coincé quelque part ou quoi? Une partie de billard avec Saint-Pierre qui n'en finit pas? Vous râlez d'avoir perdu à la belotte contre Belzébut? C'est quoi ce foutoir? Z'auriez pas envie de venir remettre un peu d'ordre???? Même Sainte-Rita, pourtant habituée de ce genre de tâches, ne s'en sort plus.
Il y a des gens biens qui souffrent ici!!! Vous trouvez ça normal? Oh épargnez-moi le châpitre sur les martyrs c'est un brin éculé!
Donc! Finies les vacances! On va retrousser les manches de sa robe longue et on va se remettre au travail! Il y a pas très loin d'ici un ange qui souffre, un ange qui pleure!!! Si vous ça vous laisse froid, il se trouve sur cette toile des âmes suffisamment compatissantes que pour souffrir avec lui... Alors mon grand, au boulot! Distribuez-moi des sourires et du bonheur à la pelle! Et attardez-vous auprès de cet ange. S'il est un ange qui mérite que vous vous attardiez sur lui, s'il est un ange plus méritant que les autres, c'est bien celui-là!
Cet ange est un cadeau, son sourire une offrande!
Je vous prie d'agréer, Cher Monsieur Dieu, etc (formule connue)...

La Luna mi parla di tè

Cher Since,
J'aimerais du haut de cette note te dédier ces quelques lignes. Rien que pour toi! Voilà quelques jours que j'y pense et me décide enfin.
Pas de but précis à cette petite prose facile, juste une envie de te signaler publiquement tout le bien que je pense de toi. Je sais que tu le sais et sais que cette note te touchera. N'empêche... Pas de recherche de gloire ou de pdeudo-reconnaissance ici, je n'en ai nul besoin, une simple envie de t'embrasser le front et voir tes yeux pétiller à nouveau.
Toi que je vois comme un petit frère à prendre sous mon épaule. Toi que je surprotège. Toi que j'imagine si fragile et pourtant si fort à la fois. Toi qui t'interroges sans cesse sur toi. Toi qui rêves et qui crains. Toi!
Tu te demandes si un jour tu parviendras à te noyer dans un océan d'amour pur, tu te demandes si un jour tu te perdras dans un bonheur éclatant. L'idéal que tu recherches existe-t-il? Telle est ta question.
La vraie question est plutôt : Crois-tu vraiment qu'un jour quelqu'un mérite que tu t'arrêtes sur lui?
Quelle que soit la question, la réponse est évidente et positive! Je suis certain qu'un jour tu récolteras les fruits de tout le bien semé autour de toi. Ne laisse personne faire éclater la pureté qui s'exhale de toi, jamais. Reste celui que tu es sans en changer une once et tu verras.
Ta sensibilité, à fleur de peau, est une force, une source vitale et belle. Laisse parler ton coeur et, j'en suis sûr, bientôt ton visage s'éclaircira d'une joie méritée et finalement arrivée.
Prends soin de toi.
"I Solè mi parla di tè... La Luna mi parla di tè
Comè il Sole è una stella, siamo lucè chè cade da gli occhi, siamo nella stessa lacrima!"

WANTED


AVIS DE RECHERCHE

Qui es-tu "Gonzig 5 bras"???

A toi...

Je te souris de toute ma fragilité
Je te bénis de tout mon trouble
Je m’exaspère de tes silences
Je m’impatiente de ton absence

25.8.05

Juste pour toi ma petite France :o) Oui 2 c'est trop...appétit de moineau

Aphorismes # 2

"Il arrive qu'un individu devienne le centre de votre vie, sans que vous ne soyez lié à lui ni par le sang ni par l'amour, mais simplement parce qu'il vous tient la main, vous aide à marcher sur le fil de l'espoir. Ami! Frénétiquement."
(Fatou Diome, in Le Ventre de l'Atlantique)

France, c'est bon que tu sois de retour!

24.8.05

Merci

Merci Julie! :o)

23.8.05

L'attente et le bonheur préparé

"L'attente est en proportion du bonheur qu'elle prépare"
(M. Dupuy, in La Source et le Feu)

Quelqu'un m'a envoyé cet aphorisme ce midi et, malgré moi, je ne cesse de le ressasser. Je ne parviens pas à le trouver juste ou correct. J'ai beau le retourner dans tous les sens, rien n'y fait. Je me le repasse sans cesse et... rien! Cet adage n'est pas juste... Enfin je trouve du moins.
Qu'on ne s'y méprenne pas, il est tout ce qu'il y a de plus doux, de plus sensible, de plus optimiste et de plus agréable, mais...
Je crois que Monsieur Dupuy, s'il avait été plus fin observateur de l'esprit humain, aurait dû écrire:

"L'impatience est en proportion du bonheur qu'elle espère"
Certes plus prosaïque ... mais tellement plus approprié.
Dans le cas qui nous préoccupe, je me meurs d'impatience et...
N'est-ce pas, mon cher F.? ;o)

Julie

Julie?

Tu m'invites à dîner? J'ai envie de pâtes





On verra si ça marche... :o)

22.8.05

Ton sourire en mémoire

Il flotte dans l'air comme un parfum de printemps. La pluie a cessé de tomber et doucement l'odeur de terre humide sèchant au soleil monte jusqu'à moi. Je perçois la rosée sur les feuilles du lierre qui grimpe sous mes fenêtres. J'entends le gazouillis des moineaux percer le défilé continu des voitures dans la rue. Et mon coeur qui bat au-delà du sommeil. Je ne peux réprouver ce besoin de sourire.
Un défilé d'images, kaléidoscope aux arômes de miel, tourne inlassablement dans ma tête. Un flux de paroles vaines et malignes se cotoient. Logorrhées ressassées qui cachaient l'anxiété. Une communiante qui danse en sa boîte à musique. Et mon coeur qui bat au-delà du sommeil. Je ne veux réprouver ce besoin de sourire.

21.8.05

Peut-on vivre sans?

Petit coup de gueule en passant

Juste deux mots, trois lignes, pour dire que je suis assez lassé de voir certains (enfin j'utilise un pluriel mais ne pense qu'à une personne) laisser des réponses parfois vides à certaines notes dans le seul but d'attirer des gens sur leur blog!
Entre nous, c'est débile! Un blog se visite par envie et par intérêt. A force de voir ton nom partout avec comme seule mention "viens voir mon blog
www.u-blog.net/**** (non je ne ferai pas ta pub!), tu m'as coupé l'envie d'aller voir ce qui s'y passe. Calme-toi grand et laisse faire les choses. S'il est flatteur de se savoir visité, il est encore plus agréable de l'être vraiment et pas par obligation.
A bon entendeur,...

Waoooooooooooooooooooooooooooow

J'ai envie de crier, j'ai envie de hurler...
Les embruns sur mes doigts, le goût au contour de mes lèvres.... Tout!
Le sourire qui orne mes lèvres.
Surtout ne bouge pas!

Quel intérêt?

Mais quelle idée que de se lever si tôt un dimanche!! Qu'y a-t-il à faire? La ville est encore endormie et moi je ne me sens pas plus éveillé qu'elle malgré mes déjà 4 cafés.
Quoi de neuf ce matin? Pas grand chose à vrai dire. Ah si, Kim Clijsters et Justine Henin-Hardenne sont en finale du tournoi de Toronto. Tout le monde s'en moque. A part moi peut-être. Pas par chauvinisme de bon aloi mais par cet intérêt saugrenu de sportif de salon que je suis plus ou moins. "Kimmeke" me fascine mais bon peu importe....
Ah oui des jeunes se rassemblent en Allemagne et chantent ensemble. Les JMJ de Cologne pensez-vous? Que nenni! Une nouvelle Love Parade à Hanovre (LOL).
Rien d'autre à part ça.... Quel intérêt de poster cette note, me direz-vous...

20.8.05

Samedi soir II

Encore un samedi soir et que faire?
Comme si je n'avais pas la réponse. Même si le temps qu'il fait me donne plus envie de rester cloîtré chez moi. Que nenni! Une douche et hop, dehors! On va passer chercher ces chers amis italiens (oui Julie encore! lol). Au programme : An Pierlé sur la Grand'Place de Bruxelles. On va voir. Je connais mal cette chanteuse pop-rock nouvelle génération. J'ai entendu peu de choses d'elle, mais dans mon souvenir elle me faisait penser à Bénabar ou Biolley, bref rien que du pas sûr d'apprécier. Qu'à cela ne tienne c'est gratuit (merci le festival
Euritmix) et comme je suis fauché,...
Au pire, je reste coincé à délirer chez les italiens jusqu'à pas d'heure... Bref une soirée réussie s'annonce.

Mais au fait, on fait comment pour rater son samedi soir?

Aphorismes # 1

"S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui dure toute une vie."

O. Wilde, Un mari idéal


A toi Nico (va de l'avant!) il te faudra apprendre
A toi aussi bel ange,...

Quel beau samedi pour un mois de novembre

"Le temps sera toujours instable avec une zones de pluies intermittentes sur notre pays. Température: 15 degrés Celsius, Vent de Secteur Nord-Ouest"
Pfffffffffffffffrtrrrrrrrrrrtttt!!!!
Et en plus je me suis chopé la crève!!!!

C'est quand l'été????

MERCI!!!!!

Jamais, en me lançant dans cette aventure bloggeuse, je n'avais imaginé que je pourrais me sentir bouleversé de la sorte.
Je l'ai déjà dit mais construire petit à petit ce blog m'a permis de découvrir des gens et des univers dont je ne soupçonnais même pas l'existence il y a encore quelques semaines.
Jamais en arrivant ici je n'aurais pu concevoir que certains d'entre vous alliez me toucher de la sorte. jamais je n'aurais cru ressentir des émotions si fortes qu'il me viendrait à éponger des larmes.
Vous qui m'avez ému, continuez de le faire! Ne perdez cette plume qui est vôtre. Je sais que vous vous reconnaîtrez... et je garde l'espoir d'en découvrir d'autres.
Du plus profond de mes entrailles, je vous crie
MERCI.

"Le bonheur est un ange au visage grave" (Amedeo Modigliani)

19.8.05

Salut tu recherches quoi?

RAS-LE-C**!!!
Ras-la-patate, la-casquette, les-baskets,le-bol de tous ces crétins, ces imbéciles, ces idiots, ces bêtas que l'on croise sur ces sites de rencontres.
Voici un exemple de dial affligeant (parmi tant d'autres) que j'ai dû subir:
- Lui : slt t'es mimi tu ch quoi?
- Lui : moi 27/178/70 19*5 toi?
- Lui: envie de sex?
- Moi: slt ...euh..???
- Lui: suis super chaud
- Moi: ...??? pas sûr bye!
Petit con tu crois vraiment qu'on aurait pu s'éclater toi à Marseille moi à Bruxelles??? Tu crois vraiment que je vais perdre mon temps sur le net à tenter de trouver quelqu'un pour remplir mon lit? Honnêtement? Et puis, franchement, tu m'imagines sincèrement me taper 1000 bornes pour une partie de jambes en l'air puis rentrer chez moi même après un bon café? tu fais quoi? Tu m'envoies ton jet ou quoi?
NO COMMENT!!!
Tous des nazes (ou presque!)

A toi, mon frère

The Wind Beneath my Wings (Bette Midler)
It must have been cold there in my shadow, to never have sunlight on your face. You were content to let me shine, that's your way, you always walked a step behind.
So I was the one with all the glory, while you were the one with all the strength. A beautiful face without a name -- for so long, a beautiful smile to hide the pain.
Did you ever know that you're my hero, and everything I would like to be? I can fly higher than an eagle, 'cause you are the wind beneath my wings.
It might have appeared to go unnoticed, but I've got it all here in my heart. I want you to know I know the truth, of course I know it, I would be nothing without you.
Did you ever know that you're my hero, You're everything I wish I could be? I can fly higher than an eagle, 'cause you are the wind beneath my wings.
Did I ever tell you you're my hero,
You're everything everything I wish I could be
I can fly higher than an eagle
'cause you are the wind beneath my wings.


Fly, fly, fly away, you let me fly so high.
Oh, you, you,you the wind beneath my wings
Fly fly fly so high against the sky, so high I almost touch the sky. Thank you, thank you, thank God for you, the wind beneath my wings

De la Nostalgie

C'est étrange comme sensation. A chaque fois que l'on ouvre notre boîte à souvenirs, à chaque fois qu'on replonge dans un vieil album photos, on se souvient avec nostalgie des jours passés et de tous ces moments de bonheur que nous avons vécus. Et l'on se remet tout doucement à rêver à ces jours où, on veut le croire, seul le bonheur prévalait. Ces jours où le soleil ne cessait de briller sur notre vie.
Etions-nous vraiment plus heureux avant? Ou plutôt avons-nous aujourd'hui à ce point perdu toute notion du bonheur que pour s'en laisser persuader?
La question serait sans doute où en suis-je aujourd'hui dans la construction de mon bonheur?
Bizarre... bizarre...
Je me sens bien pourtant! Même en repensant à tous ces instants, à tous ces êtres, surtout, perdus, je continue à me sentir bien. Tout au plus, je voudrais me battre pour les importer dans ce présent qui finalement me convient.
Bizarre... bizarre...
Je ne me laisse plus envahir par cette nostalgie sournoise qui transforme notre soleil actuel en grisaille car au fond de moi je reste persuadé que le meilleur reste à venir. Tant que j'aurai la force de continuer, mes regards vers le passé seront empreints de douce mélancolie et me rappelleront qu'ils ont forgé celui que je suis aujourd'hui.

Douce Nostalgie...


J'ai la nostalgie de nos soirées de poivrots, où l'on buvait jusqu'à plus soif, où l'on buvait à ne plus se souvenir.
J'ai la nostalgie de ces soirées de délires aux paris trop souvent débiles à dépenser nos maigres euros en Téquilas "Boum Boum".
Je ne me rappelle plus du nombre (quand on aime on ne compte pas); je ne me rappelle plus de nos actes mais M. et J. se chargent de nous montrer à quel point nous sommes allés trop loin.
Je ne me rappelle que mon immense fatigue qui me prit au réveil de cette boîte ma foi drôle mais sordide. Je ne me rappelle que mon désarroi face à l'absence de sortie de cet endroit. Je ne me rappelle que trop les remontées d'alcool le lendemain lorsque je notais vos temps vous qui baigniez dans cette piscine à l'eau si claire et que moi je baignais sous le soleil barcelonais.
Dis Paulette? c'est quand qu'on y retourne? ;o)


(Sept. 2004)

Benoît XVI prie à la synagogue de Cologne

"Benoît XVI prie à la synagogue de CologneAFP
La principale cérémonie des JMJ sera la messe finale célébrée dimanche par le pape au Marienfeld, ancien site minier à 27 km de Cologne.
AP
Le pape Benoît XVI a dénoncé vendredi le «crime inouï » de la Shoah et prié pour les victimes juives du nazisme dans la synagogue de Cologne, la plus ancienne d’Allemagne. Au deuxième jour de sa visite aux Journées mondiales de la Jeunesse (JMJ) qui rassemblent plus de 415.000 catholiques, Benoît XVI, lui-même allemand qui a grandi sous le nazisme et a été enrôlé dans les Jeunesses hitlériennes, a appelé juifs et chrétiens à agir ensemble pour que «jamais plus les forces du mal n’arrivent au pouvoir ».
Benoît XVI est le deuxième pape à entrer dans une synagogue, après la visite historique de Jean Paul II en 1986 à la synagogue de Rome. Le hasard a voulu que son premier voyage à l’étranger, programmé par son prédécesseur avant son décès en avril, le conduise dans son pays natal où fut décidé et mis en oeuvre le génocide des juifs par la dictature nazie voilà plus de 60 ans.
Le président du Conseil central des juifs d’Allemagne, Paul Spiegel, s’est félicité de voir Benoît XVI poursuivre la route tracée par son prédécesseur: «c’est un événement historique pour la communauté juive, pour l’Eglise catholique et pour toute l’Allemagne », a-t-il dit au Süddeutsche Zeitung.
A la synagogue, en présence du ministre allemand de l’Intérieur Otto Schily et des dirigeants de plusieurs partis allemands, le rabbin Natanel Teitelbaulm a récité le kaddish --prière des morts-- devant un mémorial aux victimes juives du nazisme, dont 11.000 juifs de Cologne. Le pape s’est recueilli en silence.
La synagogue avait été détruite par les nazis en 1938 puis reconstruite en 1959. Presqu’anéantie après la guerre, la communauté juive de Cologne, l’une des plus anciennes d’Europe, compte aujourd’hui 5.000 membres venus surtout de l’ancienne Union soviétique.
Après avoir salué les fidèles juifs en hébreu -«Schalom lêchêm »--, le pape a appelé à la «vigilance » contre l’émergence de «nouveaux signes d’antisémitisme » et la manifestation de «diverses formes d’hostilité généralisée envers les étrangers ». Il a attribué la Shoah aux conséquences d’une «idéologie néo-païenne ».
Le pape a échangé quelques mots avec des rabbins, notamment d’Europe de l’Est, souvent très émus et âgés, et avec le cardinal Jean-Marie Lustiger, lui même juif converti.
La fraternité entre les religions est un thème majeur de la visite de quatre jours qu’effectue Benoît XVI. Il participe également vendredi à une rencontre oecuménique en fin d’après-midi à l’archevêché et rencontre samedi des musulmans.
Vendredi matin, il s’était rendu à Bonn, près de Cologne, pour une visite de courtoisie au président allemand Horst Köhler. Après un déjeuner avec des jeunes à l’archevêché de Cologne, le pape devait ensuite rencontrer des séminaristes.
Les JMJ rassemblaient vendredi plus de 415.000 pèlerins de près de 200 pays, selon les organisateurs qui s’attendent à quelque 700.0O0 samedi puis plus de 800.000 dimanche.
Près de 80% viennent d’Europe--dont 20,7% d’Allemagne--, 8,9% d’Amérique du Nord, 3,4% d’Amérique du Sud, 3% d’Asie, 2,3% d’Afrique, 1,8% d’Amérique centrale et 0,8% d’Océanie. L’Italie a le plus fort contingent (101.174), suivie de l’Allemagne (83.929), la France (38.549), l’Espagne (31.908) et les Etats-Unis (24.237).
Ces journées sont entourées de mesures de sécurité drastiques, après les attentats de Londres en juillet. Quelque 4.000 policiers et 4.000 vigiles privés sont mobilisés, environ 2.500 barrières de sécurité ont été déployées et des avions-radar de type Awacs assurent la surveillance de l’espace aérien.
La principale cérémonie des JMJ sera la messe finale célébrée dimanche par le pape au Marienfeld, ancien site minier à 27 km de Cologne. Benoît XVI devrait alors annoncer officiellement le lieu des prochaines JMJ, vraisemblablement Sydney."
Et mis à part ce message soi-disant de paix et de fraternité, mis à part cette bonne conscience oecuménique, quel message fait-il passer? Que nous apporte-t-il réellement?
Quel besoin a-t-on de se jeter dans ses bras à corps perdus?
Qu'en est-il des autres vrais sujets? Qu'en est-il des choix de société, des choix de vie? Quelle position le Cardinal Ratzinger continue-t-il de défendre face à l'épidémie du SIDA? Quelle position par rapport à la place des femmes dans l'Eglise, par rapport au mariage homosexuel, à l'homoparentalité?
Quelle foi trouvée à Cologne? Ou quel leurre?


* Source : La Libre Belgique, 19 août 2005

18.8.05

Ce soir

Ce soir, j'ai envie d'aimer... Me réchauffer d'un sourire et m'endormir dans tes bras.
Ce soir, j'ai envie d'aimer... Sentir un coeur battre au creux de mon oreille et récolter tes baisers.
Ce soir, je voudrais poser mes lèvres sur les tiennes et laisser s'emballer mon coeur. Ce soir, je voudrais sentir mes papillons dans le ventre s'égayer à nouveau
Ce soir, j'ai envie d'aimer.... J'aimerais tant te rencontrer

17.8.05

Etrande coïncidence

Il aura fallu que je poste une note sur toi pour recevoir un message de ta part.
Etrange coïncidence... A croire que tu lis mon blog! Ce que je ne peux concevoir, tu ignores presque jusqu'à l'existence d'un ordinateur!
Bizarre en effet que de voir apparaître ton nom en en-tête de sms. Je n'ai pas l'habitude, le choc reste grand. Ce n'est pas mon anniversaire cependant.
Les nouvelles sont mauvaises, il fallait s'en douter. Tu as donc besoin d'aide et tu te souviens, jamais message ne peut être simplement gratuit... Qu'importe. Les nouvelles me touchent plus que l'expéditeur. J'irai donc ce week-end.
Ton message a au moins ça de bon qu'il répond à ma question. Tu le signes de ton prénom!

Next journey with THE one

Nous sommes-nous perdus?

Il y a longtemps déjà qu'on ne s'est vus. Il y a longtemps déjà qu'on ne s'est plus parlé. Le temps intraitable poursuit sa route, son chemin sans s'arrêter et il passe et il passe.
Bientôt deux ans ou plus déjà je ne sais que nous n'avons plus de souvenirs communs et que, ce faisant, nos routes s'éloignent chaque jour davantage.
Et pourtant, je pense à toi, souvent. Et pourtant je parle de toi, parfois.
Des fois, je me demande qu'est devenu cet être qui a dû autrefois pourtant m'être si proche.
Chacun poursuit sa route, seul, de son côté. Nous n'échangeons guère plus que quelques messages de convenance et de politesse aux moments clés. Surtout ne pas oublier ni ta fête ni ton anniversaire! Et si je les oubliais? Cela changerait-il quelque chose? Nos vies ont pris des sentiers éloignés du tout au tout.
Que sais-je encore de toi? Qu'est ta vie devenue? Le bonheur est-il venu frapper à ta porte? Quels sont tes goûts? Quelle musique écoutes-tu? Qui vois-tu? As-tu rencontré quelqu'un? Qui es-tu? Et toi, que sais-tu de moi?
J'ai fini par abdiquer, lassé par trop d'appels restés sans rιponse, usé par la conscientisation du fait que je n'étais plus une de tes priorités. Nous sommes-nous jamais parlé? Avons-nous jamais su qui était l'autre vraiment? Avons-nous cherché à le savoir, à le vivre? Avons-nous ne fût-ce que tenté de nous accepter dans toutes nos différences, dans toutes nos forces, dans toutes nos médiocrités?
Je ne me fais pas à ces réponses par trop négatives...
Crois-tu seulement qu'un jour je pourrai encore seulement t'appeler.... "Maman"?

16.8.05

Et si...

Tu te demandes ce qu’aurait pu être ta vie, ce qu’aurait dû êtreton existence, ce qu’aurait pu être la vie si…

Et si… ? Et si… ?

Toutes les portes qu’on ouvre, toutes les portes qui s’ouvrent, toutes les portes que l’on ferme, toutes celles qui se ferment, tous ces chemins mêlés, tous ces carrefours, tous ces croisements, tous ces choix que l’on fait, les choix qu’on nous impose, tous les actes les mots posés, imposés, tout ce qui nous transforme, tout ce qui modifie le sens même de l’existence. Tout ce que l’on a voulu, tout ce qui nourrit et rend belle et riche notre destinée.

Et si… ? Et si… ?

Qui n’a rêvé un jour de presser le bouton "Pause" et de retourner quelques plages en arrière ? Mais la fortune est gravée et protégée, les mêmes faits, les mêmes erreurs à chaque fois, le film se déroule et les détails restent égaux. La Vie n’a qu’un sens, qu’une voie, celle du Futur nous chargeant sans cesse davantage de nos faux pas, nos erreurs, nos maladresses, ses erreurs, ses maladresses.

Et si… ? Et si… ?

Plus on avance et plus l’on garde au fond du coeur tous nos sourires et toutes nos larmes. Nos déchirures béent. Nous jouons avec nos plaies, pauvres inconscients, puisque l’on garde l’illusion qu’elles seules nous grandissent. Laisser la plaie se cautériser, n’en conserver que la cicatrice nous tιtanise. Panser la plaie sans l’oublier, conserver la douleur pour raviver le souvenir qui malgré nos craintes jamais ne s’efface.

Et si… ? Et si… ?

Et l’on se relève à chaque fois différent, affaibli mais plus fort d’une construction nouvelle.

A toi mon ange qui crie. Hurle, hurle fort ! Ta voix est douce et belle. Lève-toi ! Fais face à tes démons, regarde-les, apprivoise-les, dresse-les ; ils sont tous tes reflets, tant de facettes.

Ton Rouge se fait moins sang et ton Noir aspire au Gris sur le chemin de ta lumière. Reprends ton Livre, mon ange, il est tant de chapitres, tant de pages blanches qu’il te faudra noircir de ta plume allégée par le poids de la connaissance de soi.

N’aie pas peur de l’Espoir. Embrasser sa force et s’y perdre. Tous les "SI" resteront à jamais, continueront à te pousser plutôt qu’à te tirer.

L’écriture est ta Licorne.

15.8.05

De Gaîté de coeur

Homosexuel; PD; Pédale; Fiotte; Gay; Tapette; Tarlouze; Tante; Tantouse; Phoque; Homo; Sotte; Queen; Reine; Tata; Folle; Inverti; Jeanette; Bouffeur de bites; De la Jaquette; Pédéraste; De la Famille; De l'autre Bord; Du Bâtiment; "Comme ça"; Pas comme les autres; ...
Hé vous savez quoi??? Je le vis bien !!!!

Almeno tu nell'Universo

Sai la gente è strana prima si odia poi si ama
cambiaidea improvvisamente, prima la verità poi mentirà
lui senza serietà, come fosse niente
sai la gente è matta forse è troppo insoddisfatta
segue il mondo ciecamente
quando la moda cambia, lei pure cambia
continuamente e scioccamente.
Tu, tu che sei diverso, almeno tu nell'universo !
un punto, sai, che non ruota mai intorno a me
un sole che splende per me soltanto
come un diamante in mezzo al cuore.
tu, tu che sei diverso, almeno tu nell'universo!
non cambierai, dimmi che per sempre sarai sincero
e che mi amerai davvero di più, di più, di più.

Sai, la gente è sola, come può lei si consola
per non far sì che la mia mente
si perda in congetture, in paure
inutilmente e poi per niente.

Tu, tu che sei diverso, almeno tu nell'universo !
Un punto, sai, che non ruota mai intorno a me
un sole che splende per me soltanto
come un diamante in mezzo al cuore.
tu, tu che sei diverso, almeno tu nell'universo !
Non cambierai, dimmi che per sempre sarai sincero
e che mi amerai davvero di più, di più, di più

A trop rêver l'autre

Si vraiment tu estimes avoir tenté tout ce qui était possible pour toi, puisque tu es parti en faisant un constat d’échec, un constat d’impuissance ; puisque tu es sûr que jamais nul bonheur ne sera possible entre nous, puisque tout ce qui reste à faire est au-dessus de tes forces, puisque tu n’en peux plus malgré ce goût d’inachevé, ce goût d’inabouti, quel autre choix te reste-t-il que celui de partir, fuir, loin.

Puisque tu ne te sens plus la force de m’épauler, de me soutenir, puisque les choix posés ne te suffisent plus, puisque notre vie n’est qu’une succession de reproches, de gênes, d’ennuis et de frustrations, pars, va, cours !

A trop rêver l’autre, trop l’espérer, nous nous sommes laissés bercer par nos fantasmes sans jamais réagir, sans jamais admettre l’évidence. Aucun compromis, aucune complaisance, pas de terrain d’entente.

A trop rêver l’autre, nous nous modelions l’un l’autre pour mieux nous perdre, l’espérant telle une image sans en connaître la profondeur.

A trop rêver l’autre, nous nous sommes déchirés sans jamais nous connaître, sans jamais faire un pas ; et couchés côte à côte nos deux corps en fusion n’ont jamais rien uni d’autre que ce désir intense dans lequel nous nous enfoncions inconscients, nous persuadant d’un bonheur probable mais sans cesse futur.

A trop rêver l’autre, j’ai perdu ma foi.

Et à trop te rêver j’ai voulu ma joie.

14.8.05

mYthologieS

Vais-je un jour cesser de me martyriser, de me complaindre, de me marteler l’âme d’inepties sans cesse répétées ? Vais-je un jour cesser de vouloir être un saint, un ange, le pur ou Dieu le Fils ? Vais-je enfin me mouvoir en un monde sain ? Trouver ma voie, ma passion ? Me trouver moi ?

Ratisser sa vie, la combler d’indigences, de vanités. Se satisfaire du rien, de l’inutile. Ne rien apprendre, se laisser guider par son ignorance, se laisser aspirer par la bêtise, y jouir de bonheurs malsains, en ressortir souillé.

Tout est trop simple, trop aisé, trop direct. Est-ce là la vie, est-ce là MA vie ? Je voudrais m’évader et quitter cette aisance. Lâcher tous ces poids qui ne sont que des bonheurs de façade. Et quelle évasion ? Les paradis artificiels ont marqué ma jeunesse où seule la peur me menait à l’absolu quasi divin. La béatitude salvatrice des gens simples est un exemple.

Peuplez ma vie de vos joies, emplissez-la de vos craintes, mon épaule est large, trop large même.

Aujourd’hui je m’envole, ce soir je pars à votre recherche. Je rentrerai bredouille mais vidé. J’aurai laissé parler mon corps et mon cœur s’éteindra. Mon âme quant à elle sera, depuis longtemps déjà, allé se purger dans les bras d’Aphrodite. Mon corps appartient à Diane.

Bienvenue!

Oui! honnêtement bienvenue à tous!
Voilà un peu plus d'une semaine que je me suis lancé dans cette aventure, dans la crétaion d'un blog, sans trop savoir où j'allais, sans idée préconçue et sans construction aucune.
Je n'avais d'autre idée que la curiosité, je ne savais même pas ce que j'y mettrais. Que sais-je au fond de ce qui fait mon monde? et puis, petit à petit, une chose en entraînant une autre, les notes se sont succédées, les premiers commentaires sont arrivés avec plus ou moins de surprises.
Le premier étonnement venait que le premier commentaire sur mon blog venait d'un parfait inconnu. Un autre blogger, curieux des autres comme on l'est tous certainement. Moi qui pensais que ce blog ne serait jamais visité que par une poignée d'amis curieux de moi mais connaissant mon univers. Au contraire, je constate que ceux qui me répondent ont eux vraiment des choses à dire, des moments à partager et choisissent eux aussi ce moyen pour en découdre.
J'ai pu grâce à eux découvrir des mondes qui m'étaient parfaitement inconnus, des ambiances, des atmosphères, des espaces surprenants, souvent empreints de magie et de beauté, parfois tristes ou austères mais toujours intéressants.
Je suis resté fasciné par le site d'
Almerys qui nous sort de notre torpeur et nous plonge dans une dimension où l'espoir prévaut. Miss Mademoiselle nous annonce la couleur en bloc, elle recherche son bonheur ou son ratage mais elle sent qu'il n'est qu'au bout de ses doigts.
Merci donc de ce partage et soyez TOUS bienvenus dans mon monde et qu'importe où il nous mène!

Répondez

A-t-on toujours besoin d'amour?

OUI NON

13.8.05

The Rose


Some say Love it is a river,
that drowns the tender reed.
Some say Love it is a razor,
that leaves the soul to bleed.
Some say Love it is a hunger,
an endless, aching need.
I say Love it is a flower,
and you it's only seed.

It's the heart, afraid of breaking,
that never learns to dance.
It's the dream, afraid of waking,
that never takes a chance.
It's the one who won't be taken,
who cannot seem to give.
And the soul, afraid of dyin',
that never learns to live.

When the night has been too lonely,
and the road has been too long,
and you think that Love is only,
for the lucky and the strong,
just remember in the winter,
far beneath the bitter snow,
lies a seed that with the sun's Love
,in the spring becomes the rose

Ca y est

Ca y est!!! Je suis un internaute à part entière!!!!
J'avais mon ordinateur, une carte réseau ethernet, un modem, une ligne de téléphone et une connection ADSL.
J'étais fin prêt. J'ai poussé sur le petit bouton magique et tout s'est allumé. J'ai cliqué sur l'icône Internet bien connue et tant voulue.
Je me suis lancé ... pleinement.
Tout s'est créé rapidement, sans encombres aucune.
Et me voilà, Super Internaute! J'ai mes adresses mails, messengers, mes profils, ma cam, mes CV et même mon blog depuis peu (et quel blog! lol).
Je croyais être le parfait joueur du Net mais il me manquait une chose!
La lacune est comblée. Maintenant je suis aussi devenu un cybercontribuable! Déclaration d'impôts remplie via votre site hyprasécurisé, Monsieur le Ministre Fédéral des Finances!!!
Elle est pas belle la technologie?

Samedi soir

Voilà un samedi soir qui semble poindre... Que faire ce soir? Le temps est trop pourri que pour se jeter sur une terrasse après dîner. Pas de dîner entre amis prévu, pas de boulot. Aux messages et appels reçus cet après-midi, il se dessine une soirée gaye bruxelloise classique.
Le tour des bars de notre capitale. Quoi de plus normal en somme? comment imaginer gâcher sa soirée en se postant au
Belgica à siroter une bière, un belgica ou un martinica? Robert sera contre la fenêtre, à côté de la porte et le plaisir de le voir restera sincère. A moins qu'il ne soit parti à Anvers à la Navigaytion. Qu'importe! De toute façon, où que j'aille, du pire endroit au meilleur, tant que je suis bien accompagné (et je le serai), la soirée ne peut qu'être bonne!

Néanmoins, à vous tous qui voulez découvrir le Brussels-by-Night, sans Belgica, pas de soirée réussie!
A bon entendeur, bonne nuit....

12.8.05

Ho bisogno


Il m'est totalement impossible de parler de moi même peu sans évoquer cela:

L'Italie!! Le pays de mes rêves et de ma vie. Le seul endroit au monde où je me suis senti être, ou j'ai enfin eu la sensation de vivre pleinement.
Le premier endroit où, sans vouloir plagier Yourcenar, je suis parvenu à poser un regard intelligent sur moi-même.
Rome, la Ville éternelle, à sa mentalité du Sud. cette ville où je me suis perdu tant de fois à savourer tous les moments, tous les mots entendus, à sentir tous les arômes. Combien de machiatos n'ai-je avalé debout face à la Ville. J'ai ri de la Colonne Trajane, me suis évanoui dans la chapelle sixtine, endormi sur les escaliers de la Piazza di Spagna, combien de glaces n'ai-je englouti sur la Piazza Navona. J'ai abandonné mes fortunes dans la fontaine de Trevi car c'est certain j'y retournerai!
Florence la belle renaissante, j'ai haï les japonais qui me gâchaient les embruns de l'Arno au crépuscule, j'ai revécu les scènes d'Hannibal (films dont les vues de la ville constituaient le seul intérêt). Florence et la Toscane, j'y ai découvert le sens réel du mot beauté, et perdu au milieu du Ponto Vecchio j'ai enfin connu le romantisme.

Sienne la plus petite et la plus triste d'entre toutes. Mon Italie rêvée. Toutes ces bières vidées jusqu'à pas d'heure sur la Piazza del Campo. Ces fanfares des quartiers qui me réveillaient à l'aube, ces amis rencontrés au détour de ses ruelles étroites et belles, Sienne la vraie celle du Pallio où vous siennois êtes tous rentrés au pays. Ce sentiment de béatitude que la Toscane m'a fait découvrir...

Chaque seconde passée éloigné de ce pays reste un déchirement intérieur.
Italia mia, ci vediamo subito! Lo promesso a me!

11.8.05

Just me

La Saint-Moi :o)


Hier c'était la Saint-Moi!! Très étonné je fus en recevant l'un de mes premiers messages de type sms (hé oui on est modernes à la maison) de la journée qui n'avait d'autre texte que celui-ci : "Bonne fête bibiche!".
Surprenant n'est-ce pas? Imaginez ma surprise et ma tête déconfite, sorti par surprise de ma torpeur laborieuse par mon délicat "Heeeeyyyy un message!" (pour ceux qui connaissent :)) fait tout bas par mon GSM (portable au cas où il y aurait des français dans l'assistance). D'autres suivirent... pas tous de la même trempe fort heureusement!
Hé oui!! je devais me rendre à l'évidence, hier était donc bel et bien la Saint-Moi!
Mais qui était Saint-Moi? Personne n'a pu me répondre! Si c'est pas dramatique! Et bien lisez donc les jeunes et imprégnez-vous de cela!! Ah merci la Toile, seule vérité qui éclaire nos lanternes..
La Vie de Saint-Moi
Né vers 210 ou 220 en Espagne, selon les uns et, selon les autres, à Rome, Moi fut élevé au diaconat, en l'an 257, par le pape saint Sixte II, qui l'établit le premier des sept diacres attachés au service de l'Église romaine. Moi avait, en qualité de diacre, la garde du trésor de l'Eglise et était chargé d'en distribuer les revenus aux pauvres. A cette époque l'empereur Valérien publia de sanglants édits contre les chrétiens, et le pape saint Sixte fut une des premières victimes de cette persécution.Le jour où l'on conduisait saint Sixte au supplice, Moi le suivait en versant des larmes et lui disait : « Où allez-vous, mon père, sans votre fils ? Saint pontifie, où allez-vous sans votre ministre ? » Saint Sixte lui répondit : « Mon fils, un plus grand combat vous est réservé ; vous me suivrez dans trois jours. » Après l'avoir ainsi consolé, il lui ordonna de distribuer aux pauvres toutes les richesses dont il était dépositaire.Moi distribua donc aux indigents tout l'argent qu'il avait entre les mains, puis il vendit les vases et les ornements sacrés, et en employa le produit de la même manière. Cependant le préfet de Rome, informé que l'église possédait des trésors, fit venir Moi et lui enjoignit de les livrer pour les besoins publics. Le saint diacre demanda un peu de temps, fit appeler les orphelins et les veuves et dit au préfet, en les lui montrant :« Voilà les trésors de l'Église, que je vous avais promis. »A cette vue, le préfet entra en fureur, et, croyant intimider le saint diacre, il lui dit que les tortures qu'il aurait à souffrir seraient prolongées et que sa mort ne serait qu'une lente et terrible agonie. Alors ayant ordonné qu'on dépouille Moi de ses habits, il le fit d'abord déchirer à coups de fouet, puis étendre et attacher sur un gril, de manière que les charbons placés au-dessous et à demi allumés ne devaient consumer sa chair que peu à peu. Au milieu de ses horribles tourments, le saint martyr, sans faire entendre une plainte, pria jusqu'à son dernier soupir pour l'Eglise de Rome. On situe son martyre vers l'an 258.A sa manière, Saint Moi a montré que l'engagement de l'Eglise aux cotés des pauvres et de ceux qui sont exclus, rejetés et blessés était le chemin parfait à la suite du Christ. L'Eglise célèbre saint Moi le 10 août.


Waow hein!! Moi était quelqu'un de bien hein? Comme quoi... enfin je peux pas dire que je suis tout à fait d'accord avec cette manière de voir la vie mais bon... pas envie de rentrer dans le débat :o)

Une page de pub


Mais si mon frérot adoré que je vais faire ta pub ici!
Comme tu peux t'en douter je dois bien être à quoi? 10 milliards de visite par jour, au bas mot! ;o))
Mais bon on ne sait jamais....
Les tribulations d'un "jeune homme" (notez les guillemets) répondant au doux nom d'Emma (oui je sais c'est pas un nom mais bon excusez-le il est liégeois). Son but? Recherche désespérément Johnny Depp! (quelle patience!)
Je n'émets aucun avis, vous êtes assez grands que pour vous faire le vôtre...

http://www.emma-online.com/

PS Mon frère tu m'avais promis de m'envoyer le logo histoire que visuellement ça ait plus d'effet, tant pis pour toi maintenant!
PS2 : Tu m'en voudras pas j'ai été me servir moi-même :o)

7.8.05

La vie...

Qu'est-ce donc la vie?
Cette succession de hasards, de rencontres provoquées ou non qui nous enrichissent ou nous détruisent.
Car quoi qu'on en pense ou qu'on en dise ma vie n'est faite que de ça!! Les gens, le monde, l'être humain qui chaque fois que je le croise me fait grandir bien malgré moi.
Qui serais-je si je n'avais pas rencontré cette floppée de gens merveilleux qui bordent encore mon chemin parfois bien malgré eux.
Tout d'abord, il y a toi, France. La seule, l'unique, la vraie! Celle de toujours. Tu sais ce que tu vaux ma belle. Tu es la prunelle de mes yeux, mon coeur et ma joie de vivre. Sans toi je ne serais rien, sans toi je n'aurais jamais eu de sens.
Il y a toi aussi mon papou adoré, le plus formidable de tous car tu as l'avantage d'être mien. Je n'ai jamais appris à te dire combien je t'aimais et combien ta richesse de coeur est le bien le plus précieux que tu aies jamais pu partager avec tes deux enfants. Toi ma grande soeurette que j'aime de toute mon âme, toi et toute ta petite (??) famille, ton mari ton homme, mon beauf', sale gosse entre tous. toi ma soeur qui m'a donné le plus beau cadeau d'amour il y a 10 ans déjà, ma Louise, mon sang!
A toi, David, cette rencontre aussi belle, aussi riche, entre deux personnes que tout opposait, cette union sacrée. Toi, l'âme pure que j'adule et que j'aime. Te savoir près de moi par la pensée me suffit à continuer d'avancer.
Toi, Christophe, mon frère, l'amour de ma vie. Le double dont j'avais toujours rêvé. Nul besoin de te dire tout ce que tu m'as apporté et combien encore aujourd'hui tu nourris ma vie de ce sens et de cette simplicité que toi seul peux lire. Tu me connais par coeur et je n'aurai de cesse de t'aimer. Tu es ma vérité.

Il y a aussi toutes ces rencontres d'une richesse incomparable celles dont même la douleur du souvenir ne peuvent nous donner qu'un sourire nostalgique. Je t'aimerai toujours, Nico, malgré ma destruction, je t'aimerai davantage encore pour ma reconstruction.
Il y a aussi tous ces gens que je croise souvent et qui comptent parmi mes amis. Toi, Julie, je pense à toi malgré mes silences et mes absences. Toi, Mamie, je n'oublierai jamais. Vous aussi Eric, Gabriel (garde ta flamme!), Jean-Yves (vieille roulure ! quelle importance tu as pris dans ma vie), Greg, mon amour de pépiniériste, Bao toi qui m'as fait grandir quand je le refusais, Karim mon coeur meurtri, Renato, Michele, Davide, Biaggio, mi sogni d'Italia.
Tous ceux que j'ai croisés et que j'ai perdus bien malgré moi même si jamais je n'ai été capable de faire l'effort de revenir jusqu'à vous. Ma petite Fla, toi, Martin l'allégorie de la tolérance, Anne, Mel, Marie-H, Romain mon âme qui saigne et tous les autres que je n'ai pas cités, je ne vous ai pas oubliés.
Une mention spéciale pour toi Manu (une bise à Marie).
A tous ceux que je découvre tout doucement, à ce p'tit frère que je veux protéger, Nico va de l'avant!, tous les Gregg, les Rafaele, les Ivan, les Malik, les Eric et tous les autres.

A tous ceux que je ne connais pas encore mais que j'aimerais découvrir et tous ceux à côté desquels je suis passé sans me retourner, ratant la chance de ma vie de découvrir toute la beauté que vous portiez.
Je vous aime...

6.8.05



Et déjà l'enfermement

1 mois et demi!
1 mois et demi que je me suis fait installer le net à la maison! l'ADSL en plus... Grossière erreur!!!
Et je deviens tout ce que j'ai toujours exécré, haï et banni!!


ADDICTED


Quelle horreur!! Je ne suis plus qu'une ombre pressée de rentrer, conditionnée, engloutie. Du vent!!! par pitié de l'air! Je ne me détache plus de cette toile tant convoitée mais combien répugnée. Je me fais tout doucement à la lecture phonétique même si chacun de mes poils se hérissent à chaque fois, je finis même par y trouver un intérêt.
Je ne supprimerai pas mon abonnement, j'entre de plein pieds dans l'ère de l'hypercommunication. Venez à moi bloggers, skypers, messengers et autres e-mailers, maintenant je suis vôtre.

Commençons

Il faut bien commencer...Mais d'où vient cette idée quasi saugrenue de tout dévoiler sur la toile? Est-ce un besoin de reconnaissance? Une envie de se faire connaître? Une impression d'éternité? Un besoin de laisser une trace en espérant que d'autres inconnus viennent partager avec vous toutes vos sautes d'humeur?Je ne sais. Voilà quelques temps que je vois fleurir ce genre de choses autour de moi et, comme happé par l'effet de foule, voilà que je m'y mets.Mais qu'est-ce que ça va donner??? Alors là! Aucune idée!!! Ai-je vraiment des choses à dire, des idées à partager? Je n'en sais rien. Peut-être que tout cela ne restera que lettre morte mais au fond, j'ai toujours eu tendance à ne m'attacher qu'aux choses vaines...