30.10.06

Maintenant, je sais, je me souviens

J'avais oublié la douceur et l'apaisement ressentis. J'en voulais les embruns sans en (re)connaître les saveurs. J'avais oublié la force qui se dégage de sa simplicité, de son évidence presque. J'avais oublié combien il était chaud de puiser à ce sourire, combien il était nécessaire à l'équilibre vital.

Assis à ses côtés, au retour de ces déambulations dans ces rues, assis à ses côtés à regarder les champs défiler dans la nuit, j'ai été saisi par ce bien-être rassurant, j'étais heureux, tout simplement...

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