30.10.06
Maintenant, je sais, je me souviens
J'avais oublié la douceur et l'apaisement ressentis. J'en voulais les embruns sans en (re)connaître les saveurs. J'avais oublié la force qui se dégage de sa simplicité, de son évidence presque. J'avais oublié combien il était chaud de puiser à ce sourire, combien il était nécessaire à l'équilibre vital.
Assis à ses côtés, au retour de ces déambulations dans ces rues, assis à ses côtés à regarder les champs défiler dans la nuit, j'ai été saisi par ce bien-être rassurant, j'étais heureux, tout simplement...
Assis à ses côtés, au retour de ces déambulations dans ces rues, assis à ses côtés à regarder les champs défiler dans la nuit, j'ai été saisi par ce bien-être rassurant, j'étais heureux, tout simplement...
29.10.06
27.10.06
24.10.06
21.10.06
comédie
Il vous dira "je le savais, tout est sa faute".
Il vous dira tous ses essais, tous ses efforts.
Il vous dira, vous montrera combien il s'est sacrifié,
quelle importance il accordait à tout, à lui,
surtout.
Il vous dira que je savais, devais savoir tout ce que j'ignorais.
Il vous dira, vous maniera, vous montrera toute la bêtise que j'incarne.
Il vous dira de vous méfier. Il vous dira quelle victime il a été.
Il vous dira qu'il aura cru, vous montrera ses fêlures, ses éraflures qui n'en sont guère.
Il vous dira tout ça, vous acquiescerez.
Je vous dirai cet homme est fou, il m'a brisé.
Je vous dirai cet homme se blesse et blesse
pour mieux détruire.
Vous ne me croirez pas, alors tant pis, autant le fuir !
Il vous dira tous ses essais, tous ses efforts.
Il vous dira, vous montrera combien il s'est sacrifié,
quelle importance il accordait à tout, à lui,
surtout.
Il vous dira que je savais, devais savoir tout ce que j'ignorais.
Il vous dira, vous maniera, vous montrera toute la bêtise que j'incarne.
Il vous dira de vous méfier. Il vous dira quelle victime il a été.
Il vous dira qu'il aura cru, vous montrera ses fêlures, ses éraflures qui n'en sont guère.
Il vous dira tout ça, vous acquiescerez.
Je vous dirai cet homme est fou, il m'a brisé.
Je vous dirai cet homme se blesse et blesse
pour mieux détruire.
Vous ne me croirez pas, alors tant pis, autant le fuir !
Et pourtant
Je l'ai aimé.
Bien au-delà de moi,
à en souffrir, à en mourir.
Et pourtant, j'ai partagé
du meilleur de moi, j'ai tout donné.
Et pourtant, j'avais voulu...
Mais seul on ne peut rien.
Qu'il s'acharne donc.
Ma vie, seule, m'importe...
Bien au-delà de moi,
à en souffrir, à en mourir.
Et pourtant, j'ai partagé
du meilleur de moi, j'ai tout donné.
Et pourtant, j'avais voulu...
Mais seul on ne peut rien.
Qu'il s'acharne donc.
Ma vie, seule, m'importe...
14.10.06
Un peu de calme...
L'homme qui hante mes jours et peuple mes nuits (et inversément) ayant décidé de m'abandonner ce week-end pour sa Batavie natale, j'ai passé mon vendredi soir non à sortir et abuser de tout alcool se trouvant sur mon passage mais à végéter comme une grand-mère devant mon poste de télévision. La belle affaire ! J'ai donc, enfin, vu une émission de télé du vendredi soir, une saga palpitante, la strar brol numéro 6 !!! Waow ! Quel programme !!! Non, sans rire, j'ai vu le petit regard de M Pokora que je n'avais encore jamais vu, j'ai vu à quel point tout était "extraordinaire" "merveilleux" "grandiose". Ahurissant comme on s'y auto-congratule, comme on rivalise de superlatifs pour un programme rondement mené. J'ai vu une blonde en manque d'argent et en mal de promo régler ses comptes dans ses petits souliers, etc, etc... J'ai tenu bon et regardé jusqu'au bout (oui, je mérite une médaille). Quelle belle soirée ! Promis, la semaine prochaine, je regarde qui se fait éjecter en me bourrant la tronche, ça évitera le mal de crâne vers 23h...
Sinon, à part ça, ça va ! Et vous ?
Sinon, à part ça, ça va ! Et vous ?
11.10.06
4.10.06
dans ma boîte mail
une photo de toi
une photo de moi
Et, dans ma boîte mail, comme une émotion,
une explosion de tendresse.
Et, quotidiennement, un sourire au portable, une envie de l'embrasser
Et, quotidiennement, tes yeux verts posés sur moi
Pour un estomac qui s'emballe
Jij bent daar, ik ben blij !
une photo de moi
Et, dans ma boîte mail, comme une émotion,
une explosion de tendresse.
Et, quotidiennement, un sourire au portable, une envie de l'embrasser
Et, quotidiennement, tes yeux verts posés sur moi
Pour un estomac qui s'emballe
Jij bent daar, ik ben blij !
3.10.06
Mal au crâne...
En pleine formation professionnelle, j'ai trois mois pour emmagasiner des notions qui me sont aussi éloignées que le B A BA de toute langue non indo-européenne. Je suis vanné en rentrant chez moi et même la Star Ac' me semble une émission réservée à l'élite intellectuelle.... Pas gagné j'vous dis, pas gagné...
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