Sur la route

Un public acquis, logique. Un public différent de celui que je lui imaginais, c'est sans doute le côté le plus décevant du concert; des midinettes en délire me hurlant dans l'oreille à m'en détruire le tympan au point qu'elles se sont entendu demander de baisser de ton et de, surtout, chanter dans le rythme. Une chaleur étouffante à faire tomber les anorexiques, ce qui fut le cas, plus la soirée avançait, plus le concert approchait, plus il y avait de place dans la fosse de cette horrible salle.

Quant à lui, oh ! lui !!! Je suis encore plus concquis qu'auparavant. J'ai découvert sur scène un artiste généreux, plein de talent. On aime ou on n'aime pas, une chose est sûre, il reste vrai et inspiré une fois devant son public. Qu'importe si tout est préparé, on lit dans son regard comme une lueur, une étincelle. Son sourire reste timide, presque gêné d'être aimé. Il manque de prétention lorsqu'uil fait mention de ses victoires de la musique, remercie sincèrement les gens d'être là et accepte autant qu'il donne. Il est parfois irrité aussi quand des hurlements fusent lorsqu'il met du coeur à chanter "Schengen" ou d'autres de ses chansons où il parle de ces gens perdus et baffoués. Il s'engage et semble espérer que son public le suivra dans la voie de son engagement.

Au final, un concert plein d'émotions, de vérités. J'ai aimé ! Beaucoup. Dis, Nat, on y retournera ?

Ce soir

Vous proposiez Tata Yoyo ?

Mon cher collègue m'a offert, en guise d'"adieu" temporaire, la possibilité de me retirer du crâne cette chère chanson à texte dont je parlais précédemment. Certes, Manu me proposait d'opter pour une autre de nos gloires nationales et pour son 'hymne au grand chapeau', mais mon collègue, à force de me passer ce petit clip en boucle toute la matinée d'hier, y est parvenu sans (trop) de mal.
Bon d'accord, la chanson est en néerlandais et semble faire un tabac en Flandres et aux Pays-Bas, donc désolé mes amis français, vous n'aurez pas la chance de l'entendre à la radio. Ceci dit, le clip est assez explicite pour que vous ayez une idée de ce dont il s'agit (sinon demandez à Rafaele dont les progrès en néerlandais sont épatants - et cela est dit sans ironie aucune) Mais regardez ce clip attentivement. Maintenant, imaginez-vous au boulot, en ligne avec un client, travaillant et vous concentrant sur votre travail avec le plus grand sérieux; là, observez votre collègue, assis face à vous en train de faire la chorégraphie du refrain (les gestes du Monsieur dans le clip). Continuez de répondre à votre client sans éclater de rire... Comment voulez-vous travailler dans des conditions pareilles ? En tout cas, moi, j'adore !!!! Et dire que lorsque je suis arrivé là-bas, le silence au travail était la règle...

Parfois, je m'étonne

du chemin parcouru par certains pour arriver ici ! Si Miss F. ou Mary P. me rapporte l'un ou l'autre passager, je ne m'étonne qu'à demi; mais je me concevais peu comme une "idée de cadeau à Bruxelles" (je fais comment ? en string et noeud pap' rouge et je sors du gâteau ?). A celui qui recherche désespérément l'adresse msn de Johnny Depp : si tu la trouves, tu me l'envoies ? Si les recherches contenant des "rafaele", des "morale du roman de Jacqueline Harpman" me flattent, si celles concernat le fontainas ne me surprennent pas, je reste un peu pantois par rapport à ceux qui cherchent des modèles de lettres d'amour et d'excuses. On s'est brouillé avec madame et on veut réparer ? Mais là où j'ai le plus de mal c'est la croyance qui tend à se répandre dans les moteurs de recherche que mon blog est un blog fétichiste (c'est la quatrième ou la cinquième fois) et, surtout, un blog de "bouffeur de b****" ! Même si dans les faits, on n'est pas loin de la réalité, je n'avais jamais eu le sentiment d'avoir été aussi cru...

Eente

J'ai une chanson en tête depuis hier soir, c'est "La Danse des Canards".

Alors, maintenant que vous êtes là à arborer votre sourire moqueur à m'imaginer sautillant, remuant du bas des reins (en faisant coin coin), en vous remémorant petit à petit les paroles ô combien relevées de cette douce mélopée, en laissant doucement aller vos lèvres au rythme de "toutes les heures la fêtes, sens dessus dessous, ...", eh bien maintenant vous verrez à quel point c'est mesquin une chanson de ce type, ça s'immisce, ça vous pénètre et ne vous quitte plus. Vous êtes contents hein que je vous ai fait partager ça ! Sans rancune... ;o)

Remote

Ainsi s'achève, de plein droit, mon contrat de travail. Demain, je me lèverai une dernière fois dès potron-minet pour aller prendre mon train et, une utlrime fois, m'asseoir à ce bureau ! Voilà qui est fait.
Dès lundi, mes pas me (re)porteront vers les administrations avec, je l'espère, plus de bonheur qu'il y a quelques mois. J'ai compris le "truc" je crois ;o). Inscription à l'ORBEM, retour au syndicat, carte de pointage, etc, etc,... Que du bonheur ! Le point positif : plus de réveil-matin, à nouveau un peu de temps libre, du beau (et bon) temps en perspective avec mon lamoureux, la possibilité de suivre la première semaine de Wimbledon (je sais, je suis monomaniaque !), bref, la possibilité de profiter et de savourer !!!

Et j'aime ça !!!!

Ensuite, dès le 3 juillet, retour au turbin pour de nouvelles aventures....

Lou

11 ans, déjà...

Question # 72

Les lunettes de soleil, ça fait pas un peu fashion victim ?

Fait calme hein !

Un p'tit peu en panne d'inspiration et en manque de temps ces temps-ci ! Bah ! C'est pas que ça vous manque à ce point mais bon, j'ai aussi envie de l'alimenter ce blog (et pas qu'avec des âneries même s'il s'agit là d'une de mes spécialités). Non ! J'ai même envie d'écrire, envie de m'étendre un peu. J'admets qu'il me manque un peu le temps (béni ?) où les occasions de vous lire et d'écrire étaient plus nombreuses. Le calme relatif de ma blogosphère ressemble à une léthargie temporaire, j'espère. Je devrais dégager plus de temps à retirer les mauvaises herbes qui poussent ça et là aux coins de cette page, prendre part plus activement à certains débats qui se déroulent sur des blogs voisins, etc, etc,... Ce n'est pas un voeu pieu, c'est un désir réel. Je m'y atèlerai... sous peu...

corde au cou

Un bien beau mariage ! Ai bien mangé... et pas (trop) bu !

je montre les dents (et les grince)

M'énerveront toujours ces gens qui passent leur journée à râler sur le manque d'évolution de leur situation professionnelle alors qu'ils ne sont déjà pas fichus de faire correctement le boulot pour lequel ils sont engagés ! J'avais pourtant toujours cru qu'il fallait au minimum faire ses preuves avant de prétendre à autre chose...

Le week-end des 23, 24 et 25 juin, c'est NOTRE week-end !!!

Plus que quelques nuits à dormir, et ce sera le week-end des 15 ans du BGS ! A événement exceptionnel...
Vendredi 23: soirée lounge et expo photo. Evoquer les vieux souvenirs, proposer de nouvelles activités ou tout simplement boire un verre tranquillement? Le Pathé Palace ouvre ses portes rien que pour nous (ancien Kladaradatsch, 85 boulevard Anspach). Invitez vos amis et faites leur découvrir le monde merveilleux du BGS, c'est ouvert à tout le monde !
Samedi 24 : c'est LA soirée des 15 ans. Le BGS a mis les petits plats dans les grands pour que la fête soit totale. Comme au Concert Noble (mais cette fois au Pathé Palace), la musique sera pilotée par les DJ Luuuk et Sylvie. Différentes ambiances au rez et à l'étage, cocktail de bienvenue avant minuit ainsi... qu'une surprise ! N'oubliez pas d'inviter tous ceux que vous croisez, l'entrée est à 7 euros. Et pour pour les membres du BGS, c'est gratuit !
Dimanche 25 : pic nic dans un parc. Un petit pic nic pour atterrir en douceur le dimanche après-midi. Réservations sur bgs@bgs.org

15 ans de sport et d'amitié, ça se fête !

& by the way

Raf is back ! et tout bronzé en plus !!! ;o)

Quoi qu'en pense Edouard,

je suis pour le maintient de Serge July à la tête de Libération. Non seulement parce qu'il en est l'un des fondateurs (avec Sartre, faut-il le rappeler) mais aussi parce que, de (ce) fait, il en est également le garant de l'indépendance idéologique et phraséologique et, ce, malgré les impératifs financiers qui semblent ronger le quotidien français. Libé n'est pas France Soir !


Par ailleurs, je suis triste de la disparition de Raymond Devos... mais ça n'a rien à voir...

d'après vous ?

Certains me disent qu'il faut que je le fasse mais je n'en ai aucune envie. Il m'en coûterait même beaucoup de le faire. Ceux qui me poussent à le faire ne développent pas un argumentaire richement garni si ce n'est un amoncellement de poncifes. Alors, d'après vous ? Je le fais ou pas ?

Archange

Vais encore me faire engueuler parce que je ne poste pas assez !

estate

La chaleur, étouffante et moite, me donne la flemme. Taper plus de trois lettres sur un clavier me demande plus d'effort que de gravir, à pied, la butte du lion (de Waterloo) (bon pour ceux qui ne visualisent pas directement, remplacez "butte du lion" par "tour Eiffel", l'effet est comparable !). Voilà ce que je n'aime pas à l'été bruxellois : l'absence d'air et la moiteur. Ce sentiment de transpirer même sous la douche, de ne jamais se sentir frais. C'est usant, exaspérant ! Le moindre contact vous étouffe, le souffle amoureux sur le cou vous brûle et vous empêche de respirer ! Alors que la couleur du ciel vous pousse à des matins Ricoré, vous ne pouvez qu'une chose : vous étaler au sol dans la seule pièce de l'appartement n'ayant pas de fenêtre.... J'arrête le post ici, les doigts me collent et trempent le clavier...

Humeur du jour...

R(éponse à) G. 2006

Bon Anniversaire, Kim Clijsters ! ;o))

Nahr 6.0

A la question "Ai-je envie de te revoir ? Ai-je envie de te voir ce soir ?". La réponse est un grand OUI hurlé, sourire aux lèvres

RG06

Et une Belge en finale, une !

Au fait...

Ségolène Royal est-elle la candidate idéale.... de l'UMP ?

je suppose que vous vous en doutiez...

C'est le week-end et il fait beau !

Pentecôte ? Pentecôte ? Truisme ou pléonasme ?

Allez ! Hop !

C'est donc fixé sur mon avenir professionnel que je pars au boulot ce matin. Discussions, palabres, rires et boissons hier soir avec mon patron jusqu'après minuit pour des avancées que j'espère significatives.
A terme, il va donc falloir que je remette cravate et costume mais cela ne me gêne pas, c'est synonyme de retour de province pour, enfin, retravailler dans ma capitale européenne. Au programme, un an de formation aux différents métiers de la boîte qui m'emploie, des boulots les plus exaltants, aux plus ennuyeux, pas de spécialisation a priori mais une ouverture complète, un tour d'horizon intéressant et enrichissant. Tout apprentissage est une réussite aux regards de mes choix.
Sur un plan plus "terre à terre", sans demander un alignement de la part de mon boss sur ce qu'on me proposait ailleurs (une proposition alléchante au niveau financier mais rédhibitoire au niveau du boulot proposé), j'ai eu la joie d'entendre mon patron admettre que mes émoluments actuels ne reflétaient en rien ma valeur et qu'il était évident que j'étais sous-payé. Une proposition chiffrée et imaginative (en avantages extra-légaux) tombera dans ma boîte mail ce matin avant 10 h.
C'est bizarre. Pour la première fois de ma vie, je me sens voir un boulot à long terme, j'imagine, de concert avec mon employeur, une ébauche de plan de carrière (Diantre ! que je déteste ce terme). Hé bien, non que je trouve cela rassurant, mais néanmoins, je trouve cela... agréable !